Re: Albert Vigon, fourrier au 42e RIC. Carnets découverts en 2014 !
Publié : dim. nov. 16, 2014 9:05 pm
Bonjour à tous,
Par le plus grand des hasards, en janvier dernier mon cousin a découvert dans le grenier de notre grand-mère les carnets/agendas, cartes postales et photographies de notre arrière-grand-père, Albert Vigon, caporal puis sergent fourrier au 42e régiment d'infanterie coloniale. Nous n'en avions jamais entendu parler.
J'ai donc entrepris de tout faire numériser et je poste chaque jour sur http://www.albertvigon.fr. J'alimente également une page Facebook : https://www.facebook.com/albertvigon1418
Le parcours de notre AGP épouse totalement celui du 42e RIC, de la mobilisation jusqu'à la démobilisation. De par sa situation privilégiée (Un planqué ? Non, ça ne me donne pas cette impression…) Albert n'a pas subi une seule égratignure.
Il raconte le front dans la Meuse, puis Vauquois, et le départ au 31 décembre 1916 pour la Macédoine. Ensuite le récit est essentiellement composé de cartes postales des environs de Monastir.
Je ne suis pas du tout un expert en histoire, mais ce récit me semble digne d'intérêt, et il fera l'objet d'une publication intégrale sur le web ; ensuite pourquoi pas un livre ?!
Si certains d'entre vous sont intéressés par ce personnage, je serai ravi d'échanger sur le sujet.
Par le plus grand des hasards, en janvier dernier mon cousin a découvert dans le grenier de notre grand-mère les carnets/agendas, cartes postales et photographies de notre arrière-grand-père, Albert Vigon, caporal puis sergent fourrier au 42e régiment d'infanterie coloniale. Nous n'en avions jamais entendu parler.
J'ai donc entrepris de tout faire numériser et je poste chaque jour sur http://www.albertvigon.fr. J'alimente également une page Facebook : https://www.facebook.com/albertvigon1418
Le parcours de notre AGP épouse totalement celui du 42e RIC, de la mobilisation jusqu'à la démobilisation. De par sa situation privilégiée (Un planqué ? Non, ça ne me donne pas cette impression…) Albert n'a pas subi une seule égratignure.
Il raconte le front dans la Meuse, puis Vauquois, et le départ au 31 décembre 1916 pour la Macédoine. Ensuite le récit est essentiellement composé de cartes postales des environs de Monastir.
Je ne suis pas du tout un expert en histoire, mais ce récit me semble digne d'intérêt, et il fera l'objet d'une publication intégrale sur le web ; ensuite pourquoi pas un livre ?!
Si certains d'entre vous sont intéressés par ce personnage, je serai ravi d'échanger sur le sujet.