Re: Je t'écris de la tranchée
Publié : dim. janv. 13, 2008 3:12 pm
Bonjour à tous,
je commence la lecture de Je t'écris de la tranchée, les lettres de Roland Dorgelès. N'ayant jamais lu Les croix de bois,j'ai mis du temps à me pencher sur cet ouvrage et c'est un peu avec appréhension que je le parcoure. Appréhension somme toute non justifiée (mais pour la même raison je n'ai pu aller plus loin que les dix premières pages de Le feu de Barbusse) et Norton Cru est aussi passé par là !
Je dois dire d'ailleurs que le début (j'en suis à novembre 14) me plait assez. Je suis par ailleurs étonné qu'il avait, dès cette date-là, l'idée bien arrêtée d'écrire son témoignage sur cette campagne, d'en faire un livre.
Page 94, il écrit à sa mère (5 novembre 1914) : "Je voulais absolument voir la guerre, car comment écrire mon livre sans cela ?"
Dans la même lettre page suivante, je n'ai pu m'empêcher de sourire à cette phrase : "Ma petite mère, tu verras cela dans mon livre qui étonnera bien des gens". ma pensée va tout de suite à Norton Cru bien entendu.
Amicalement,
Olivier
je commence la lecture de Je t'écris de la tranchée, les lettres de Roland Dorgelès. N'ayant jamais lu Les croix de bois,j'ai mis du temps à me pencher sur cet ouvrage et c'est un peu avec appréhension que je le parcoure. Appréhension somme toute non justifiée (mais pour la même raison je n'ai pu aller plus loin que les dix premières pages de Le feu de Barbusse) et Norton Cru est aussi passé par là !
Je dois dire d'ailleurs que le début (j'en suis à novembre 14) me plait assez. Je suis par ailleurs étonné qu'il avait, dès cette date-là, l'idée bien arrêtée d'écrire son témoignage sur cette campagne, d'en faire un livre.
Page 94, il écrit à sa mère (5 novembre 1914) : "Je voulais absolument voir la guerre, car comment écrire mon livre sans cela ?"
Dans la même lettre page suivante, je n'ai pu m'empêcher de sourire à cette phrase : "Ma petite mère, tu verras cela dans mon livre qui étonnera bien des gens". ma pensée va tout de suite à Norton Cru bien entendu.
Amicalement,
Olivier