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Re: wilfried owen

Publié : lun. sept. 03, 2007 11:51 pm
par carnot
bonjour à tous,
je suis en train de lire les poèsies de wilfried owen,grand poete anglais tué en novembre 1918:qu'en pensez vous?
en ce qui me concerne,je trouve cela vraiment bien.
bon,en traduction française,mon anglais étant très limité
bien à tous
bruno

Re: wilfried owen

Publié : jeu. sept. 06, 2007 7:22 pm
par Laurent59
je préfère Siegfried Sassoon, plus réaliste, plus controversé, plus enigmatique, plus satirique. Il a été grièvement blessé à St Floris par un de sa compagnie en 1918 ! qui a dit que Sassoon était génant ?

ses poèmes

Laurent :hello:

Re: wilfried owen

Publié : lun. oct. 01, 2007 12:17 am
par ginger
Tous les deux sont de grands poètes. Wilfrid Owen est étudié par presque tous les gamins britanniques de 15-16 ans puisque les poètes et écrivains de 14-18 sont au programme du certificat d'étude secondaire. La guerre est moins bannie des mémoire ici (j'habite l'Angleterre) qu'en France.
The Dug-Out, de Siegfried Sassoon est un magnifique exemple de cette poésie anglaise qui tout d'un coup à perdu tout bucolisme, tout romatisme pour retomber dans la boue de la guerre...
Je ne connais pas les traductions, mais j'espère qu'elles sont dignes des originaux...

Re: wilfried owen

Publié : lun. oct. 01, 2007 5:57 pm
par mibelius
bonjour à tous,
je suis en train de lire les poèsies de wilfried owen,grand poete anglais tué en novembre 1918:qu'en pensez vous?
en ce qui me concerne,je trouve cela vraiment bien.
bon,en traduction française,mon anglais étant très limité
bien à tous
bruno
Juste un mot pour dire qu'on trouve, ou trouvait, à Verdun, un tout petit livvre de poèmes an anglais:
Poems at the Great War- 1914-1918, Penguin Books,1998.
Parmi les Tommies : Aldington, Blunden, Brooke (Rupert)
Robert Graves, Gurney, McCrae, Manning, Rickword, Isaac Rosenberg, évidemment, Sassoon, évidemment, et quelques poétesses.
Pour les amis, je vous copie celui-ci:
Ivor GURNEY
Bach and the Sentry
Watching the dark my spirit rose in flood
On that most dearest Prelude ofmy delight
The low-lying mist lifted its hood,
The October stars showed nobly in clear night.

When I return, and to real music-making,
And play that Prelude, how will it happen then?
Shall I feel as I felt, a sentry hardly waking,
With a dull sense of No Man's Land again?

Mireille B.
En hommage à tous les Britanniques combattants et mes ancêtres gallois.