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Joyeux Noël à tous!

je suis à la recherche de renseignements concernant le Ltt observateur Jean, Paul, André, Joachim, Marie, Antoine, Patrick O'Quin, qui commande la SAL 19 le 11.11.1918.
le parcours classique (MdH, Léonore, Gallica) ayant déjà été suivi, je cherche à savoir s'il fut breveté pilote (et le cas échéant quand et où), et quelle fut sa carrière aéronautique après guerre.

vous remerciant par avance,
Cdlt,
Fred

Bonjour
Sur le site Geneanet on trouve ,entre autres renseignements,
la date de sa mort :10 Janvier 1965
(nombreuse descendance ,9 enfants)
J'ai l'adresse e-mail de celui qui est à l'origine de son arbre généalogique
Peut-etre ce dernier pourrait vous renseigner ?
Cordialement
Bruno

Pas de brevet de pilote à ce nom en tout cas.

LM

Bonjour à tous,
Petite erreur Lucien, il y a bien un Lieutenant Patrick O'Quin qui a été breveté militaire le 2 Octobre 1918 !!
De plus il a bien un dossier au SHD qui porte la cote AI 1 P 28512 4, mais cette fois, le prénom est Jean ( va savoir !! )
Un petit tour à Vincennes s'impose pour avoir plus de renseignements.

Gerault

Exact, autant pour moi, mais j'avais une mauvaise orthographe du patronyme...

O'QUIN Jean, Paul, André, Joachim, Marie, Patrick, né le 22/08/1891 à Pau, décédé le 10/01/1965 à Bordeaux, lieutenant, breveté pilote n° 15670 le 02/09/1918.

Bonjour à tous,


Jean Paul André Joachim Marie Antoine Patrick O’QUIN


Né le 22 août 1891 à Pau (Basses-Pyrénées – aujourd’hui Pyrénées-Atlantiques –) et décédé le 10 janvier 1965 à Bordeaux (Gironde).


— Par décret du Président de la République en date du 1er avril 1914 (J.O., 3 avr. 1914, p. 3.105), étant élève officier de réserve, promu au grade de sous-lieutenant de réserve pour prendre rang à compter du même jour. Par décision ministérielle du même jour (ibid.), affecté au 61e Régiment d’artillerie de campagne.


— Par décret du Président de la République en date du 9 novembre 1916 (J.O., 19 nov. 1916, p. 9.964), promu au grade de lieutenant de réserve à titre temporaire pour prendre rang à compter du 2 août 1916. Par décision ministérielle du même jour (ibid.), maintenu au 61e Régiment d’artillerie de campagne, étant détaché au Service aéronautique.


— Cité en ces termes à l’ordre de l’armée (J.O., 15 sept. 1917, p. 7.291) :





— Par décision du Ministre de la Guerre en date du 22 juin 1920 (J.O., 6 juill. 1920, p. 9.499), demeurant lieutenant au 61e Régiment d’artillerie de campagne, affecté au 4e Régiment d’aviation d’observation pour l’encadrement des unités du 3e Régiment d’aviation d’observation.


— Par décision du Ministre de la Guerre en date du 1er août 1920 (J.O., 3 août 1920, p. 11.097), affecté au 34e Régiment d’aviation (observation).


— Par arrêté du Ministre de la Guerre en date du 16 mars 1921 (J.O., 13 avr. 1921, p. 4.669), inscrit en ces termes au tableau spécial de la Légion d’honneur pour le grade de chevalier :




(p. 4.674)


— En Juillet 1923, inscrit sur la liste nominative des officiers de complément passés dans l’arme de l’aéronautique (J.O., 7 juill.. 1923, p. 6.501) en exécution du décret du 20 juin 1923 pris pour l’application de la loi du 8 décembre 1922 créant l’arme de l’aéronautique.


— Par décret du Président de la République en date du 15 juillet 1925 (J.O., 17 juill. 1925, p. 6.752), promu au grade de capitaine dans la réserve de l’arme de l’aéronautique pour prendre rang à compter du même jour. Alors lieutenant au 34e Régiment d’aviation ; par décision ministérielle du même jour (ibid.), maintenu dans cette affectation.


— Par décret du Président de la République en date du 17 juin 1932 (J.O., 13 juill. 1932, p. 7.590), nommé dans le corps des officiers de réserve d’aéronautique à compter du jour de son admission à la retraite. Étant alors capitaine au Centre de mobilisation d’aviation n° 34, par décision ministérielle du 9 juillet 1932 (ibid.), affecté au 4e Groupe d’ouvriers d’aéronautique.

bonjour à tous,

pour commencer, toutes mes excuses pour ce long silence. j'étais en congés dans un de ces doux coins de France où internet ne passe pas encore: en somme, de vraies vacances

ensuite, je vous présente tous mes voeux pour cette nouvelle année.

enfin, je vous remercie tous pour ces infos que j'ai été bien incapable de trouver par moi-même.

cdlt,
fred

Bonjour à tous,
Petite erreur Lucien, il y a bien un Ltt Patrick O'Quin qui a été breveté militaire le 2 Octobre 1918 !!
De plus il a un dossier au SHD qui porte la cote AI 1 P 28512 4, mais cette fois, le prénom est Jean.
Un petit tour à Vincennes s'impose pour avoir plus de renseignements.
Gerault

re-
il semble que Jean soit le prénom retenu par l'Etat-civil, alors que Patrick est le prénom d'usage. c'est une pratique encore courante en Béarn à cette époque.

cdlt,
Fred

Bonsoir à tous,
Je prends le train en retard pour signaler un petit "truc" de généalogiste. Traditionnellement, le prénom que les parents voulaient comme "prénom d'usage" figurait en dernier de la liste declarée à l'état civil, accolé au patronyme. Dans ce cas, c'est Patrick. Il semblerait bien que ce soit l'armée en 1914-18 qui ait décidé, pour plus de simplicité (???) de retenir un seul prénom de la liste, le premier. Dans ce cas, c'est Jean (d'où l'intitulé du dossier de l'intéressé, CQFD) et cette pratique s'est imposée. C'est pourquoi dans nos générations, le prénom d'usage figure en premier de la liste de l'état civil.
Cordialement
J. Lassaque