AMBERTON — Cargo — État français.
Publié : mer. juin 21, 2017 10:04 pm
Bonsoir à tous,
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Question non résolue. Par quelle circonstance ce bâtiment se trouva-t-il momentanément intégré au patrimoine de l’État ?
Amberton — Cargo de 4.556 t. jb lancé le 22 mai 1902 par la société de construction navale Ropner & Sons, de Stockton-on-Tees (North Yorkshire, Royaume-Uni), pour le compte de la société d’armement Carlton S.S. Co., Ltd. (R. Chapman & Son), de Newcastle-Upon-Tyne (Royaume-Uni). № de chantier : 392.
▪ Tees Built Ships —> http://www.teesbuiltships.co.uk/view.ph ... l=AMBERTON
■ Historique.
— ... / ...
— ... 1915 : Affrété comme transport par l’Amirauté britannique.
— 5 novembre 1917 : Avarié par une torpille lancée par le sous-marin allemand UB-50 (Kapitänleutnant Franz BECKER) au Nord du cap Bon, par 37° 19’ N. et 8° 41’ E. Parvient néanmoins à s’échouer par 12 mètres de fond à l’Ouest du port de La Calle (Algérie).
— ... 1918 : Renfloué par la société « Les Affréteurs Réunis », puis remorqué jusqu’au port de Bône (Algérie). Attaqué à nouveau par un sous-marin lors de ce remorquage (L’Afrique du Nord illustrée, n° 96, 2 avril 1921, p. ...).
— 17 décembre 1919 : Arrive au port d’Alger.
— 14 avril 1920 : Mis en vente par le Bureau des Domaines de Toulon dans les locaux de la Préfecture maritime selon la procédure d’adjudication publique sur soumissions cachetées (L’Écho d’Alger, n° 2.929, Jeudi 1er avril 1920, p. 3). Procédure vraisemblablement déclarée infructueuse.
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— ... 1915 : Affrété comme transport par l’Amirauté britannique.
— 5 novembre 1917 : Avarié par une torpille lancée par le sous-marin allemand UB-50 (Kapitänleutnant Franz BECKER) au Nord du cap Bon, par 37° 19’ N. et 8° 41’ E. Parvient néanmoins à s’échouer par 12 mètres de fond à l’Ouest du port de La Calle (Algérie).
— ... 1918 : Renfloué par la société « Les Affréteurs Réunis », puis remorqué jusqu’au port de Bône (Algérie). Attaqué à nouveau par un sous-marin lors de ce remorquage (L’Afrique du Nord illustrée, n° 96, 2 avril 1921, p. ...).
— 17 décembre 1919 : Arrive au port d’Alger.
— 14 avril 1920 : Mis en vente par le Bureau des Domaines de Toulon dans les locaux de la Préfecture maritime selon la procédure d’adjudication publique sur soumissions cachetées (L’Écho d’Alger, n° 2.929, Jeudi 1er avril 1920, p. 3). Procédure vraisemblablement déclarée infructueuse.
• Le Sémaphore Algérien, n° 1.063, Vendredi 2 avril 1920, p. 2,
en rubrique « Informations maritimes ».
en rubrique « Informations maritimes ».
« La vente du vapeur "Amberton". — Le 14 avril 1920, le vapeur Amberton sera vendu aux enchères publiques sous soumissions cachetées, à la Préfecture Maritime de Toulon.
Le vapeur Amberton, de 4.556.tonnes de jauge brute, se trouve actuellement dans le port d’Alger.
Ce navire a été construit en Angleterre en 1902.
Rappelons que l’Amberton fut torpillé en Novembre 1917 près de La Calle où il s’échoua.
Il fut sauveté par la Société les Affréteurs Réunis qui y dépensa de gros efforts. »
— 17 juin 1920 : Adjugé à la Société algérienne de constructions navales et mécaniques, établie à Alger, au 2, boulevard Laférière, pour le prix de 4.175.500 fr. (J.O. 29 sept. 1920, p. 14.421 – Partie « Avis et communications »). Renommé Nord-Africain.
— Fin 1924 : Cédé à la compagnie Mora, Bersini, Samengo (M.B.S.), de Gêne (Italie) et renommé Aldo.
— 1er février 1928 : Livré à la démolition.
Le vapeur Amberton, de 4.556.tonnes de jauge brute, se trouve actuellement dans le port d’Alger.
Ce navire a été construit en Angleterre en 1902.
Rappelons que l’Amberton fut torpillé en Novembre 1917 près de La Calle où il s’échoua.
Il fut sauveté par la Société les Affréteurs Réunis qui y dépensa de gros efforts. »
— 17 juin 1920 : Adjugé à la Société algérienne de constructions navales et mécaniques, établie à Alger, au 2, boulevard Laférière, pour le prix de 4.175.500 fr. (J.O. 29 sept. 1920, p. 14.421 – Partie « Avis et communications »). Renommé Nord-Africain.
— Fin 1924 : Cédé à la compagnie Mora, Bersini, Samengo (M.B.S.), de Gêne (Italie) et renommé Aldo.
— 1er février 1928 : Livré à la démolition.
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Question non résolue. Par quelle circonstance ce bâtiment se trouva-t-il momentanément intégré au patrimoine de l’État ?
