Eugène-Mathilde. — Sloop de pêche de 14,75 tx jn construit en 1897 à Saint-Vaast-la-Hougue (Manche) ; immatriculé au Havre, f° 316, n° 948. Patron-armateur Léon Alfred SIMON, inscrit au quartier de Caen, n° 336 [H.S.].
Avec le côtre de pêche François-Georgette (Patron-armateur François Jean BUQUET), coulé le 9 juin 1917 par le sous-marin UB-40 (Oberleutnant zur See Hans HOWALDT) à 15 milles dans le N. 35 W. du cap de La Hève.
Portait alors quatre hommes, dont le patron-armateur Léon Alfred SIMON, qui furent recueillis le même jour dans une plate par le torpilleur d’escadre Francisque, alors commandé par le lieutenant de vaisseau André Émile BARBIÈRE.
Armé en dernier lieu à la petite pêche le 21 décembre 1916 au Havre, n° 285 ; désarmé administra-tivement le 11 juin 1917 au Havre, n° 125.
• Inscription maritime du Havre, Désarmement des bâtiments de commerce, 11 juin 1917, n° 125 : Ar-chives départementales de la Seine-Maritime, cote 6P6_780.
Avec le côtre de pêche François-Georgette (Patron-armateur François Jean BUQUET), coulé le 9 juin 1917 par le sous-marin UB-40 (Oberleutnant zur See Hans HOWALDT) à 15 milles dans le N. 35 W. du cap de La Hève.
Portait alors quatre hommes, dont le patron-armateur Léon Alfred SIMON, qui furent recueillis le même jour dans une plate par le torpilleur d’escadre Francisque, alors commandé par le lieutenant de vaisseau André Émile BARBIÈRE.
Armé en dernier lieu à la petite pêche le 21 décembre 1916 au Havre, n° 285 ; désarmé administra-tivement le 11 juin 1917 au Havre, n° 125.
• Inscription maritime du Havre, Désarmement des bâtiments de commerce, 11 juin 1917, n° 125 : Ar-chives départementales de la Seine-Maritime, cote 6P6_780.
• L’Ouest-Éclair — éd. de Caen —, n° 6.435, Mardi 19 juin 1917,
p. 2, en rubrique « Nouvelles maritimes. ».
p. 2, en rubrique « Nouvelles maritimes. ».
« PARIS. 18 juin. — Le François-Georgette et l’Eugène-Mathilde, barque de pêche du Havre, portant chacune quatre hommes d’équipage, ont été canonnés par un sous-marin, puis coulés a l’aide de bombes, dans la journée du 9. Un homme du François-Georgette avait été tué et un autre mortellement blessé. Lorsque ce bateau coula, le sous-marin apercevant la fumée d’un torpilleur qui approchait rapidement, prit les deux autres hommes à son bord et plongea en toute hâte. Le torpilleur recueillit l’équipage de l’Eugène-Mathilde. Le lendemain le sous-marin aborda encore deux autres bateaux de pèche ; il en coula un dont l’équipage et les deux prisonniers de la veille furent embarqués sur l’autre, qui put rentrer au Havre. »