Re: SAINTE MARIE Dundee
Publié : mar. oct. 20, 2009 9:24 pm
Bonjour à tous,
SAINTE MARIE
Dundee de 60 tx. Armateur Paranthoën et Guillon. Capitaine Paranthoën.
Le 3 Février 1917 vers 12h00 ; le dundee se trouve à 12 milles au nord de l’île de Batz, faisant route SSE à 5 nds. Il effectue une traversée Cardiff – Saint Brieuc.
Mer belle et vent variable de S à SSW.
Un sous-marin est aperçu à proximité du CONFIANTE autre dundee avec lequel il navigue de conserve.
Il coule le CONFIANTE, puis fait route vers le SAINTE MARIE.
Il tire deux coups de canon et l’équipage met alors le canot à la mer et y embarque. Même procédure que pour CONFIANTE. Le SAINTE MARIE est coulé au moyen de deux bombes.
Il y avait sur le dundee deux documents confidentiels que le capitaine a brûlés avant l’arrivée des Allemands.
Le capitaine déclare n’avoir rien remarqué concernant le sous-marin, mis à part que le kiosque était au milieu.
Toutefois l’officier enquêteur (LV Berry) signale à la fin de l’interrogatoire qui n’est pas signé :
« Le capitaine du SAINTE MARIE était légèrement pris de boisson et il a été impossible de lui faire confirmer ses déclarations… »
De fait, le dessin qu’il fait du sous-marin est très succinct. Mais c’est incontestablement un sous-marin et il indique même l’avant et l’arrière.

Ce sous-marin était l'UB 18 du KL Claus Lafrenz.
Cdlt
SAINTE MARIE
Dundee de 60 tx. Armateur Paranthoën et Guillon. Capitaine Paranthoën.
Le 3 Février 1917 vers 12h00 ; le dundee se trouve à 12 milles au nord de l’île de Batz, faisant route SSE à 5 nds. Il effectue une traversée Cardiff – Saint Brieuc.
Mer belle et vent variable de S à SSW.
Un sous-marin est aperçu à proximité du CONFIANTE autre dundee avec lequel il navigue de conserve.
Il coule le CONFIANTE, puis fait route vers le SAINTE MARIE.
Il tire deux coups de canon et l’équipage met alors le canot à la mer et y embarque. Même procédure que pour CONFIANTE. Le SAINTE MARIE est coulé au moyen de deux bombes.
Il y avait sur le dundee deux documents confidentiels que le capitaine a brûlés avant l’arrivée des Allemands.
Le capitaine déclare n’avoir rien remarqué concernant le sous-marin, mis à part que le kiosque était au milieu.
Toutefois l’officier enquêteur (LV Berry) signale à la fin de l’interrogatoire qui n’est pas signé :
« Le capitaine du SAINTE MARIE était légèrement pris de boisson et il a été impossible de lui faire confirmer ses déclarations… »
De fait, le dessin qu’il fait du sous-marin est très succinct. Mais c’est incontestablement un sous-marin et il indique même l’avant et l’arrière.

Ce sous-marin était l'UB 18 du KL Claus Lafrenz.
Cdlt