Re: MARIE-JOSEPH Goélette
Publié : sam. juin 20, 2009 12:23 pm
Bonjour à tous,
MARIE-JOSEPH
Perte de la goélette MARIE JOSEPH
Cette goélette, immatriculée à Fécamp, se rendait de ce dernier port à Cardiff. Le 28 Février 1917 à 19h00, elle se trouvait par 49°43,5 N et 11’ E lorsqu’apparut, à faible distance par tribord, un sous-marin.
Il fit le tour du voilier et son commandant intima l’ordre au capitaine de la goélette de quitter son bord immédiatement avec ses hommes.
Le voilier fut coulé par une bombe placée à bord et son équipage le vit couler 25 mn plus tard. Le sous-marin fit ensuite route vers le NW.
L’équipage, composé de 7 hommes, s’était réfugié dans le canot et aborda à Etretat à 19h30.
Le capitaine du MARIE JOSEPH ne fut pas invité à se rendre à bord du sous-marin. Autant que l’obscurité permettait de s’en rendre compte, ce sous-marin ressemblait aux silhouettes des U 42 à 47, avec toutefois cette différence que la partie avant est plus élevée, que l’étrave présente une courbe à la flottaison et qu’il n’avait qu’un seul canon.
Le sous-marin attaquant
C’était l’UC 65 de l’OL Otto Steinbrick.
La position est à environ 1 mille des jetées d’Etretat.
MARIE-JOSEPH
Perte de la goélette MARIE JOSEPH
Cette goélette, immatriculée à Fécamp, se rendait de ce dernier port à Cardiff. Le 28 Février 1917 à 19h00, elle se trouvait par 49°43,5 N et 11’ E lorsqu’apparut, à faible distance par tribord, un sous-marin.
Il fit le tour du voilier et son commandant intima l’ordre au capitaine de la goélette de quitter son bord immédiatement avec ses hommes.
Le voilier fut coulé par une bombe placée à bord et son équipage le vit couler 25 mn plus tard. Le sous-marin fit ensuite route vers le NW.
L’équipage, composé de 7 hommes, s’était réfugié dans le canot et aborda à Etretat à 19h30.
Le capitaine du MARIE JOSEPH ne fut pas invité à se rendre à bord du sous-marin. Autant que l’obscurité permettait de s’en rendre compte, ce sous-marin ressemblait aux silhouettes des U 42 à 47, avec toutefois cette différence que la partie avant est plus élevée, que l’étrave présente une courbe à la flottaison et qu’il n’avait qu’un seul canon.
Le sous-marin attaquant
C’était l’UC 65 de l’OL Otto Steinbrick.
La position est à environ 1 mille des jetées d’Etretat.