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Re: Evacuations tardives

Publié : sam. août 30, 2014 11:02 pm
par Alain 57
Bonsoir à toutes et à tous,

Une petite question :
Lorsque les brancardiers, médecins, et infirmiers ne pouvaient s’approcher du champ de bataille en raison d’une poursuite intensive du feu, et ce durant un ou deux jours, qui s’occupait des malheureux blessés dans l’attente de l’arrivée des secours ? Cela ne relevait pas du rôle des soldats et encore moins de leur compétence.

Merci pour vos éclaircissements
Cordialement
Alain

Re: Evacuations tardives

Publié : lun. sept. 01, 2014 4:05 pm
par Jean RIOTTE
Bonjour Alain,
Hélas! plus personne...
A partir de ce moment là seuls la camaraderie et le compagnonnage d'armes jouent: un soldat moins blessé aide et soutient le ou les plus blessés que lui (soins, mise à l'abri plus sûre, soutien moral, partage de la gourde ou de ce qui reste de nourriture...) en espérant que "quelqu'un" viendra...
Le secours peut aussi venir de la tranchée amie la plus proche: un "courageux" décide "d'y aller"...
Autant de situations, autant de cas particuliers...
Cordialement,
Jean RIOTTE

Re: Evacuations tardives

Publié : lun. sept. 01, 2014 4:19 pm
par Alain 57
Bonjour Jean,

Merci à vous pour ce renseignement.
Je me doutais un peu de cette triste réalité, mais je voulais en avoir confirmation.

Bien cordialement
Alain

Re: Evacuations tardives

Publié : lun. sept. 01, 2014 7:02 pm
par Jean RIOTTE
Re-,
Effectivement une bien triste réalité.
Pour certains elle eut une fin heureuse... mais pour bien d'autres une fin solitaire et poignante.
Cordialement,
Jean RIOTTE