Forum PAGES 14-18

Bonjour,
J'ai mon GP paternel qui a été blessé (avant-bras droit) le 9 septembre 1914 aux combats de Beauzée-sur-Aire; il a été évacué (dixit sa fiche matricule) et amputé du bras droit le 12 septembre 1914 à l'hôpital de Cosne-sur-Loire.
J'ai suis étonné par la "rapidité" (pour l'époque) d'évacuation...
J'ai contacté le Service Historique de Santé à Limoges, en envoyant la fiche matricule, le livret militaire, bref tout ce que j'avais (des copies...). Elle (c'est une dame commandant) m'a répondu que rien n'existait, ni pour cet hôpital, ni pour mon GP, ni même au titre de son régiment (le 155° RI)...
Autrement, il a reçu la médaille militaire, la croix de guerre et la Légion d'Honneur...
Bizarre, vous avez dit bizarre...
Cdt
Michel

Bonsoir,

Je ne vois là rien d'étonnant.
Les évacuations, et plus généralement tout le trafic ferroviaire fonctionnaient très bien... Une ou deux journées de train suffisaient largement à couvrir les quelques 300km qui séparent les deux lieux. D'autant plus qu'une blessure au bras ne nécessite sans doute pas une évacuation "couché".

Bien à vous,

[:achache:1]

Bonsoir,

Je ne vois là rien d'étonnant.
Les évacuations, et plus généralement tout le trafic ferroviaire fonctionnaient très bien... Une ou deux journées de train suffisaient largement à couvrir les quelques 300km qui séparent les deux lieux. D'autant plus qu'une blessure au bras ne nécessite sans doute pas une évacuation "couché".

Bien à vous,

[:achache:1]

Bonjour,
Merci de me répondre, mais il y a autre chose: l'absence TOTALE de trace... D'autre part, j'ai lu et relu le JMO du SS de Santé de la 3° Armée (dont dépendait le 155° RI) et j'ai été justement frappé par le dépassement de ce SS ( à cette époque, CaD en septembre 14). Et je suis d'accord sur le blessé qui pouvait marcher, mais ils étaient en pleine retraite, donc un peu désemparés... Enfin, j'espère qu'un jour je saurai pourquoi mon GP ne figure nulle part.
Cdt
Michel

Bonsoir,

Je ne vois là rien d'étonnant.
Les évacuations, et plus généralement tout le trafic ferroviaire fonctionnaient très bien... Une ou deux journées de train suffisaient largement à couvrir les quelques 300km qui séparent les deux lieux. D'autant plus qu'une blessure au bras ne nécessite sans doute pas une évacuation "couché".

Bien à vous,

[:achache:1]

Bonjour,
Merci de me répondre, mais il y a autre chose: l'absence TOTALE de trace... D'autre part, j'ai lu et relu le JMO du SS de Santé de la 3° Armée (dont dépendait le 155° RI) et j'ai été justement frappé par le dépassement de ce SS ( à cette époque, CaD en septembre 14). Et je suis d'accord sur le blessé qui pouvait marcher, mais ils étaient en pleine retraite, donc un peu désemparés... Enfin, j'espère qu'un jour je saurai pourquoi mon GP ne figure nulle part.
Cdt
Michel