Re: Qui faisait quoi et ou dans les hôpitaux du GMP entre 15- et 18
Publié : mar. mai 06, 2008 11:01 pm
Bonsoir,
Continuant toujours sur le même thème, la radiologie dans les hôpitaux du Gouvernement Militaires de Paris, et après avoir passé quelque temps à « normaliser » les noms et les lieux, je suis en mesure de vous proposer quelques tableaux autour du thème qui travaillait où.
J’ai pour des raisons de clarté sélectionné les lieux en fonctions d’une typologie personnelle.
J’ai divisé les structures en Hôpitaux militaires, Hôpitaux complémentaire (rattaché à un des quatre hôpitaux militaires), Hôpitaux bénévoles, hôpitaux annexe, hôpitaux mixtes, et autres structures.
Il est intéressant de noter la stabilité des équipages des voitures radiologiques.
Certes il serait souhaitable d’enrichir cette statistique avec le mois de décembre 1914, c’est promis cela sera fait dans le mois . le tout est de prendre RDV avec les autorités.
Les voitures Radiologiques:
Les premiers sont, comme dans les documents originaux, les voitures, radiologiques patrouillant dans tout l’espace du gouvernement de paris. En 1914 et 15 une voiture affrétée par le département de la Seine , est mise à la disposition, ce renfort ne perdure pas les autres années.
Deux voitures sont confiées par l’union des Femmes de France et deux par le service de santé lui même. On constate une stabilité des équipages, Aussi bien pour les voitures de l’uff que celle de l’armée. Concernant la deuxième voiture de l’uff, Le sergent Gallaud de la première voitures radiologique va être présent depuis 1914. Je n’ai pas vérifié à partir de quel mois il disparait des effectifs .
Les Hôpitaux Militaires
A part Le val de grâce qui montre une grande stabilité dans la responsabilité, Bégin et Villemin montrent quand à eux une plus grande mobilité des titulaires. Le sergent Breton, qui au début de la guerre est responsable du laboratoire de Begin est remplacé en 1916 par un médecin ( Warin). Villemin est sous la responsabilité d’un « civil » en 15, ou bien son titre militaire n’est pas recueilli dans le document
Cette « anomalie sera corrigée et toutes les structures militaires seront assurées par le service de santé.
Pour voir le travail accompli par ces structures je vous propose de retourner vers ce sujet
A part Antoine Béclère, je n'ai aucune donnée Biographique sur ces personnalités. Toute information sera la bienvenue
Continuant toujours sur le même thème, la radiologie dans les hôpitaux du Gouvernement Militaires de Paris, et après avoir passé quelque temps à « normaliser » les noms et les lieux, je suis en mesure de vous proposer quelques tableaux autour du thème qui travaillait où.
J’ai pour des raisons de clarté sélectionné les lieux en fonctions d’une typologie personnelle.
J’ai divisé les structures en Hôpitaux militaires, Hôpitaux complémentaire (rattaché à un des quatre hôpitaux militaires), Hôpitaux bénévoles, hôpitaux annexe, hôpitaux mixtes, et autres structures.
Il est intéressant de noter la stabilité des équipages des voitures radiologiques.
Certes il serait souhaitable d’enrichir cette statistique avec le mois de décembre 1914, c’est promis cela sera fait dans le mois . le tout est de prendre RDV avec les autorités.
Les voitures Radiologiques:
Les premiers sont, comme dans les documents originaux, les voitures, radiologiques patrouillant dans tout l’espace du gouvernement de paris. En 1914 et 15 une voiture affrétée par le département de la Seine , est mise à la disposition, ce renfort ne perdure pas les autres années.
Deux voitures sont confiées par l’union des Femmes de France et deux par le service de santé lui même. On constate une stabilité des équipages, Aussi bien pour les voitures de l’uff que celle de l’armée. Concernant la deuxième voiture de l’uff, Le sergent Gallaud de la première voitures radiologique va être présent depuis 1914. Je n’ai pas vérifié à partir de quel mois il disparait des effectifs .
Les Hôpitaux Militaires
A part Le val de grâce qui montre une grande stabilité dans la responsabilité, Bégin et Villemin montrent quand à eux une plus grande mobilité des titulaires. Le sergent Breton, qui au début de la guerre est responsable du laboratoire de Begin est remplacé en 1916 par un médecin ( Warin). Villemin est sous la responsabilité d’un « civil » en 15, ou bien son titre militaire n’est pas recueilli dans le document
Cette « anomalie sera corrigée et toutes les structures militaires seront assurées par le service de santé.
Pour voir le travail accompli par ces structures je vous propose de retourner vers ce sujet
A part Antoine Béclère, je n'ai aucune donnée Biographique sur ces personnalités. Toute information sera la bienvenue