Re: La localisation de projectiles dans le corps humain
Publié : dim. mars 09, 2008 12:25 am
Bonsoir,
grâce a notre ami Jacques Didier, j'ai le plaisir de vous faire partager un article de la science et la vie,de mars 1916.
Cet article écrit par le radiologue de l'hôpital complémentaire du lycée Buffon, retrace tous les moyens non radiologiques de localisation et de repérage des projectiles. On ne peut dire corps étrangers, car les projectiles étaient tous métalliques donc conducteur de l"électricité. Un corps étrangers pouvait être n'importe quoi, bois, morceau de capote etc, entraînés par les éclats d'obus.
La différence est très importante, puisqu'ils ne répondront pas du tout de la même façon aux moyens de détection.
Il fait une revue de "détails" de tous les moyens à la disposition des chirurgiens, en insistant sur leur complémentarité, de la balance de Hughes et ses dérivés, a l'electrovibreur de Bergonié qui clôt la marche. Un article bien illustré comme toujours dans science et vie !
Les radiologue de l'époque avait souvent trois casquettes, la radiologie (radiographie et scopie), la radiothérapie, et l'électrologie.
je vous laisse découvrir la retranscription --->ICI<---
ce sujet complète le fil commencé LA, mais lui qui prend en compte que les moyens radiologiques
Bonne lecture !
grâce a notre ami Jacques Didier, j'ai le plaisir de vous faire partager un article de la science et la vie,de mars 1916.
Cet article écrit par le radiologue de l'hôpital complémentaire du lycée Buffon, retrace tous les moyens non radiologiques de localisation et de repérage des projectiles. On ne peut dire corps étrangers, car les projectiles étaient tous métalliques donc conducteur de l"électricité. Un corps étrangers pouvait être n'importe quoi, bois, morceau de capote etc, entraînés par les éclats d'obus.
La différence est très importante, puisqu'ils ne répondront pas du tout de la même façon aux moyens de détection.
Il fait une revue de "détails" de tous les moyens à la disposition des chirurgiens, en insistant sur leur complémentarité, de la balance de Hughes et ses dérivés, a l'electrovibreur de Bergonié qui clôt la marche. Un article bien illustré comme toujours dans science et vie !
Les radiologue de l'époque avait souvent trois casquettes, la radiologie (radiographie et scopie), la radiothérapie, et l'électrologie.
je vous laisse découvrir la retranscription --->ICI<---
ce sujet complète le fil commencé LA, mais lui qui prend en compte que les moyens radiologiques
Bonne lecture !