Forum PAGES 14-18

Bonjour à tous
Je ne tiens pas du tout à être à l'origine d'une polémique, mais juste connaître l'origine de cette sanction.
Je sais juste ce que j'ai trouvé sur MDH à savoir: 336° R.I. né le 03/06/1874 (n'aurait-il pas dû être dans un R.I.T.?) fusillé le 17/03/1915 à Suippes et enterré à Le Chefresne (village natal de ma mère, mon grand-père, mon arrière grand-père).
Je crois que ce soldat était instituteur tout comme son épouse.
Je n'ai rien trouvé dans l'historique du 336° RI, aussi je me tourne vers vous.
Cordialement
Philippe

Bonjour Philippe,

En pianotant sur internet, vous trouverez de nombreuses informations sur l'affaire des caporaux de Souain. Ici par exemple :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_caporaux_de_Souain

Je vous recommande particulièrement l'ouvrage suivant (cité dans la biblio de l'article ci-dessus), il est vraiment très intéressant et répondra à toutes vos questions.

Fusillés pour l'exemple. Les caporaux de Souain, le 17 mars 1915. Jacqueline Laisné. Editions Alan Sutton. 2002.

Cordialement,

Anthony

Bonjour à tous,

Ci-joint une photo de Théophile Maupas.
Cordialement
Hannibal

Bonjour
Il y a sur le site de la BDIC quelques documents numérisés (taper maupas, ou souain dans la recherche simple), entrer par la Base Archives et images.
Cordialement
Alain

Bonjour



Lecture intéressante, à pratiquer en partie de préférence un jour de pluie bien froide, les pieds dans les labours, entre le monument Doncoeur et le cimetière de Souain, au Nord de la ferme des Wacques, à l'emplacement de l'ancien moulin de Souain, dont l'entonnoir de mine a malheureusement été comblé dans les années 80. En plus, si le vent vient de l'Est, les tirs de canon provenant du camp de Suippes ajoutent à l'ambiance...
J'ai rencontré en 1973 un habitant de Souain-Perthes les Hurlus, le père Dominique, ferrailleur. Il est décédé peu après des suites d'une intoxication à l'Ypérite, la Champagne recèle encore de nombreux pièges... Mais c'est une autre histoire...
Selon lui, les futurs fusillés auraient été attachés à des arbres, mais, vu la révolte qui grondait, on les aurait détachés pour aller les fusiller à l'arrière.
En 1973, toujours, j'ai lu dans le registre du cimetière de Souain-Perthes les Hurlus une demande : pourquoi n"y avait-il pas une stèle à la mémoire des 4 fusillés, alors qu'ils avaient été réhabilités ?
Quelques heures plus tard, je faisais la connaissance de l'équipe d'entretien de ce cimetière, qui revenait du massif de Moronvilliers, et travaillait à la réouverture du tunnel du Cornillet. Mais c'est aussi une autre histoire, empreinte d'émotions partégées et d'amitiés qui durent encore aujourd'hui...

Cordialement,
JPG

Ah la discipline militaire en temps de guerre, c’est terrible mais c’est nécessaire. »

on peut accéder au jugement en consultant les cartons d'archives de la division on y trouve les liasses des conseils de guerre les jmo pour la plupart ne mentionnent pas les executions ( celui du 63 que je photographie pour les freres faurillon créateurs du site remarquable sur le 63 ne mentionne pas l'execution de 4 soldats en 4/15 à flirely) se cantonnant a la narration des operations amities

Bonjour à tous,
Bonjour Mr Gilotin, pourriez-vous me dire quel est l'éditeur de ce livre: "Le fusillé", je compte le mettre sur ma liste destinée au père-Noël donc .... il y a urgence.
Merci et désolé de vous bousculer.
Cordialement
Philippe

Bonsoir

Editions "Isoète"

Cordialement,

JPG

Bonsoir,

Malheureusement épuisé. Les éditions Isoète ont abandonné l'idée d'une nouvelle édition. Il faut tenter sa chance sur les sites de livres d'occasion.

Cordialement,

Anthony