Forum PAGES 14-18

Bonjour à tous,

Ou se trouvait le dépot du 172è RI une fois évacué de Belfort ? Je crois me souvenir de Montlucon dans l'Allier, mais je ne retrouve plus mes sources ...
Quelqu'un travaille t il sur ce régiment ?
Quelle est la bibliographie de ce régiment ( Naegelen,le nouveau "sac au dos" de M.Maire (signalé par "Ficelle")
+ .....?

Merci

Amicalement
Florent

Bonjour, je confirme Montluçon d'après cette source:


Laurent

Bonjour Florent,

Je confirme aussi pour Montluçon.

Côté sources, voici ce que je connais :

D'abord, sur internet, cette page qui donne le carnet de route d'un combattant qui fut affecté à ce régiment : http://perso.orange.fr/monument/Divers/ ... 0Route.htm

Ensuite, Naegelen a publié, en deux volumes, une autobiographie dans laquelle il revient sur la guerre :

"Cette vie que j’aime", vol. 1, Ed. Colbert, 1963
"Cette vie que j’aime. Les blessures", vol. 2, Ed. Hachette, 1965

Deux autres textes intéressants :

Général Cordonnier, "La Tranchée de la Soif. Episode des combats de la région de Saint-Mihiel", Berger-Levrault, 1922
Général Rouquerol, "La Brigade active de Belfort en Haute-Alsace. Septembre 1914", Chiron, 1919

Amicalement,

Stéphan

Merci à tous deux,

Ma "source" devait etre effectivement ce trés interessant tableau des dépots qu'un membre du forum avait posté il y a quelques mois ( merci a lui ).

Bonne soirée
Florent

Bonsoir à tous.
Je profite de cet échange sur le dépôt du 172° RI pour poser une question "plus générale". A propos du dépôt, il s'agit bien de Montluçon, caserne Richemont, qui a son "ouverture" en 1913 accueillait le 121° R.I. Mon grand-père y est passé après sa blessure (dépôt des récupérés). J'ai pu également vérifié sur la liste des dépôts des régiments acquise auprès du S.H.D..
Dans le livre sac au dos de Marcel Maire (Chroniques de guerre 1914-1918), à propos de la première bataille de Mulhouse, page 73, il écrit :"Nous avons appris par la suite, très longtemps après, que les sonneries du"cessez le feu" entendues la nuit sur toute la ligne de feu et au plus fort du combat (dans Mulhouse, dans la nuit du 9 au 10 Aout 1914), avait été ordonnées, non par des Français, mais par les Allemands, ruse de guerre. Ce qui amena notre départ précipité et créa la pagaille parmi nos troupes".
Cette assertion est-elle vérifiable ? Comment, quelle(s) pistes ? Merci à vous, bonne soirée, Cordialement, Claude.