C'était il y a cent ans...
bonjour à toutes et tous
De tout coeur et neurones avec vous, Eric :
Il y a bel et bien un gouffre incom-mensurable, voire humainement "inadmissible" entre les vécus de nos Poilus et ces....

"Voltes de Vertugadins" officielles.
Nous autres, nous savons ces choses

...
Pour "eux".... les "officiels" : ils en sont, n'en doutons pas, tout à fait conscients également (je le suppute aisément) mais??? le "déni" face à l'enjeu d'une carrière, est une pécadille dont on s'accommode assez aisément [:achache:2] (supposition) nous nous accommodons tous de tas de choses dans nos vies et dans nos boulots...
Pour ma part : j'ai plutôt un sentiment de pitié pour ceux qui, conscients de la théâtralité de leur rôle, doivent l'assumer avec humilité. Quant à ceux qui n'en seraient pas conscients (je doute qu'il y en ait) , j'aurai encore davantage pitié... pour leurs inaptitudes... pas facile d'être un benêt.
Suis-je sévère? [:achache:2] Comprenne qui en est capable.
Bien à vous
Brigitte