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Re: Permisions accordées avant offensive

Publié : sam. sept. 30, 2006 9:37 pm
par Robin Denoyelle
Bonsoir,
Les permissions étaient-elles toutes supprimées avant chaque grande offensive, je pense particulièrement à l'offensive Nivelle au Chemin des Dames, ou pouvaient-elles être accordées exeptionnellement ?
Si permission exceptionnelle accordée, quelle conditions fallaient-il remplir ?
Merci.
Bien à vous, Robin.

Re: Permisions accordées avant offensive

Publié : dim. oct. 01, 2006 7:56 am
par Alain ORRIERE
Bonjour Robin
J'ai rencontré le neveu du caporal DAUPHIN en 1998 a TAUVES (PUY-DE-DOME) qui m'a retransmis que l'oncle avait eu une permission en mars 17 juste avant l'offensive du chemin des dames(était-ce une permission exceptionelle????,je ne sais)
bonne journée

ORRIERE Alain

Re: Permisions accordées avant offensive

Publié : lun. oct. 02, 2006 9:29 pm
par Robin Denoyelle
Bonsoir,
Je vous remercie pour votre aide

L'objet de mon interrogation au sujet de ces permissions est le suivant :
D'après mes Oncles et Tantes mon Grand-père aurait eu la vie sauve grâce à son Capitaine qui lui aurait accordé une permission la veille d'une opération ou d'une grande offensive, j'ai pensé à l'offensive Nivelle car dans ces courriers, 8 au total, car aucun n'est daté du printemps 1917 ; je n'ai que 2 cartes de correspondance des armées datant du début septembre 1917.
Et d'après le JMO de son régiment, il y a eu beaucoup de perte dans sa Compagnie ; ce Capitaine ayant été lui-même évacué pour blessure lors de l'offensive du chemin des Dames.
Ma chère Marie,
" une petite modification vient de se produire pour les permissions; celles accordées pour le événements graves dans la famille qui avaient été suspendues, sont rétablies . Le tour des autres viendra aussi, mais il faut encore patienter. Il faut avant rosser les boches..."
Cela reste une enigme car aucun événement grave dans la famille ne s'est passé durant 14/18 et
malheureusement je n'ai pas retrouvé le reste de sa correspondance et mon aïeul n'était pas homme à confier ses souvenirs de guerre.

Bien à vous, Robin.