Re: La Franc-Maçonnerie pendant la Grande Guerre
Publié : dim. juin 11, 2006 11:18 pm
Bonjour à tous,
« La maçonnerie à pour but l’amélioration du sort de l’Humanité »
Joffre était Maçon, était-il sensible au sort de ses soldats ? D’après ce que l’on sait, pas vraiment.
Blaise Diagne était Maçon, premier député noir africain à l'Assemblée nationale, inscrit dans le groupe de l'Union républicaine radicale et radicale-socialiste il appela « les populations africaines au loyalisme patriotique, au rassemblement sous les plis du drapeau de la " Mère Patrie " ».
En 1917, CLEMENCEAU le nomma Commissaire de la République, avec pour mission de mener une nouvelle campagne de recrutement en Afrique noire, en proposant aux indigènes des primes, des allocations, la création d'écoles, l'exemption de l'indigénat, voire pour les fils de chef qui s'engageraient, la promesse d'accéder à la citoyenneté française en échange de « l'impôt du sang ».
Pétain qui lui n’était pas Maçon avez l’air plus proche apparemment de ses soldats et peut-être plus humain, mais malheureusement on connais son attitude pendant la seconde guerre mondiale.
Pershing était aussi Franc-Maçon, et lorsque l’on voit le déploiement important de logistique afin que ses soldats puissent combattre dans des conditions plus « normales ».
Lui aussi apparemment était proche de ses hommes : d’après ce que j’ai vu dans un documentaire, il aurait même fait construire une résidence secondaire en France près d’un cimetière américain afin d’être au plus proche de ses hommes.
Et ne parlons pas des ambulances américaines…
La Franc-Maçonnerie en France a t’elle joué un rôle philanthropique pendant la Grande Guerre ?
Le simple soldat ou l’officier Maçon français, allemand ou allié a-t-il joué un rôle dans les trêves ou fraternisations sur le front ?
Existe-t-il des exemples décrits dans des ouvrages ?
Bien à vous, Robin Denoyelle
« La maçonnerie à pour but l’amélioration du sort de l’Humanité »
Joffre était Maçon, était-il sensible au sort de ses soldats ? D’après ce que l’on sait, pas vraiment.
Blaise Diagne était Maçon, premier député noir africain à l'Assemblée nationale, inscrit dans le groupe de l'Union républicaine radicale et radicale-socialiste il appela « les populations africaines au loyalisme patriotique, au rassemblement sous les plis du drapeau de la " Mère Patrie " ».
En 1917, CLEMENCEAU le nomma Commissaire de la République, avec pour mission de mener une nouvelle campagne de recrutement en Afrique noire, en proposant aux indigènes des primes, des allocations, la création d'écoles, l'exemption de l'indigénat, voire pour les fils de chef qui s'engageraient, la promesse d'accéder à la citoyenneté française en échange de « l'impôt du sang ».
Pétain qui lui n’était pas Maçon avez l’air plus proche apparemment de ses soldats et peut-être plus humain, mais malheureusement on connais son attitude pendant la seconde guerre mondiale.
Pershing était aussi Franc-Maçon, et lorsque l’on voit le déploiement important de logistique afin que ses soldats puissent combattre dans des conditions plus « normales ».
Lui aussi apparemment était proche de ses hommes : d’après ce que j’ai vu dans un documentaire, il aurait même fait construire une résidence secondaire en France près d’un cimetière américain afin d’être au plus proche de ses hommes.
Et ne parlons pas des ambulances américaines…
La Franc-Maçonnerie en France a t’elle joué un rôle philanthropique pendant la Grande Guerre ?
Le simple soldat ou l’officier Maçon français, allemand ou allié a-t-il joué un rôle dans les trêves ou fraternisations sur le front ?
Existe-t-il des exemples décrits dans des ouvrages ?
Bien à vous, Robin Denoyelle