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Re: Monument-aux-Morts français de Buenos-Aires
Publié : mar. oct. 14, 2008 12:43 am
par valier
Bonsoir à tous,
Je sais que ce n'est pas tout à fait le lieu, mais j'ai voulu en faire profiter le plus grand nombre ...
Voici, photographié hier, le Monument-aux-Morts des Français d'Argentine (ou du moins de la région de Buenos-Aires) pour 14-18 et 39-45.
Il est situé dans l'enceinte de l'Hôpital Français.
J'ai eu la surprise d'y trouver un gars de mon village !
Pour ceux que ça intéresse, j'ai des agrandissements des plaques.
Il y a également ce Poilu à proximité :
Pour le fun, il y a un peu plus loin cette plaque aux héros des Lignes Latécoère puis Aéropostale :
Elle est hélas en assez mauvais état; on y lit, entre autre, le nom de Jean Mermoz. Ca aussi ce fut une sacrée épopée. Je ne savais pas qu'ils avaient été si nombreux à mourir.
Bonne soirée à tous.
Jacques
Re: Monument-aux-Morts français de Buenos-Aires
Publié : mar. oct. 14, 2008 3:47 pm
par armand
Bonjour
Est ce que LORIN Maurice Jules né le 29-juil-89 à Buesnos Aires y figure ?
Cdt
Armand
Re: Monument-aux-Morts français de Buenos-Aires
Publié : mar. oct. 14, 2008 4:09 pm
par valier
Bonjour,
Non, votre Poilu n'y figure pas, mais j'ai d'autres exemples identiques. Je pense que seuls sont inscrits ceux qui étaient domiciliés là-bas. Et encore, je ne sais pas si ce MaM couvre la ville, la province ou tout le pays.
Cordialement
Jacques
Re: Monument-aux-Morts français de Buenos-Aires
Publié : mar. oct. 14, 2008 5:25 pm
par saintchamond
Bonjour Jacques,
Un essai : LEBOUC Enrique, Juan, caporal du 36e RI, né à BA (Buenos-Aires) le 4/05/1891, mort à NSV le 25/09 ? Sa fiche est sur MDH. Merci d'avance.
Jérôme
P.S. / Au passage, une question à la communauté. Où est à votre avis conservé le dossier militaire d'un soldat-sous-officier/officier, ainsi né à l'étranger et mort en France ? Merci
Re: Monument-aux-Morts français de Buenos-Aires
Publié : mar. oct. 14, 2008 5:34 pm
par Stephan @gosto
Bonjour,
Merci pour ces photos !
J'ai également un nom à vous soumettre :
Leclerc, Gabriel, Edouard, 74e R.I., né à Buenos Aires en 1889, décédé de maladie contractée en service le 11.11.1915, reposant aujourd'hui dans la nécropole de Marcelcave, dans la Somme.
Amicalement
Stéphan
Re: Monument-aux-Morts français de Buenos-Aires
Publié : mar. oct. 14, 2008 6:32 pm
par valier
Re: Monument-aux-Morts français de Buenos-Aires
Publié : mar. oct. 14, 2008 7:22 pm
par Jean-Claude Poncet
Bonsoir,
Très beau monument que je vous remercie de nous montrer.
L'Argentine est une terre d'expatriation pour les Savoyards et il existe beaucoup d'associations et de liens entre Savoie et Argentine. Sur votre monument il me semble que l'on ne trouve que les natifs de Buenos-Aires.
(Les archives de la Savoie possèdent un magnifique registre des expatriés).
Beaucoup de prêtres, missionnaires et religieux avaient également émigré vers l'Amérique du Sud après les lois de séparation de 1905.
Je trouve sur le beau monument Chiqué Isidore, natif de B-A.
Trois autres "Argentins" n'y sont pas :
Pasty Sylvain Louis
Kleindienst René Noël
Cadène Alexandre
Cordialement
Jean-Claude
Re: Monument-aux-Morts français de Buenos-Aires
Publié : mar. oct. 14, 2008 7:48 pm
par Jean RIOTTE
Bonsoir,
L'Argentine a également été une terre d'expatriation pour nombre d'Aveyronnais (création de la ville de PIGUË), de Basques et de Béarnais.
Nombreux originaires des Alpes-de-Haute-Provence (ex-Basses-Alpes) et plus particulièrement de la Vallée de l'Ubaye (Barcelonnette) ont émigré au Mexique. Encore appelés aujourd'hui par les "valléyans": les Méxicains!
Cordialement.
Jean RIOTTE.
Re: Monument-aux-Morts français de Buenos-Aires
Publié : mar. oct. 14, 2008 8:01 pm
par saintchamond
Merci Jacques
Jérôme
Et bien non, il n'y a ni l'un, ni l'autre, quoique il y a bien un Leclerc A.
Re: Monument-aux-Morts français de Buenos-Aires
Publié : mar. oct. 14, 2008 9:41 pm
par rolando
Bonjour à toutes et à tous,
Pour illustrer les propos de Jean-Claude, voici le cachet d’ un livre acheté en Argentine, L’Argot des Poilus par François Déchelette, édité en 1918.
(Union Nationale des Combattants, “Unis comme au front”, Section d’Argentine)
Bien cordialement,
Caballero.