Re: les couvre-chefs (képi,casque,calot) en 14-18
Publié : ven. mars 24, 2006 6:40 pm
Bonjour à toutes et tous,
Quand on regarde les photos de la Grande Guerre on remarque que le poilu portait le képi au début de la guerre ; puis le képi semble disparaître totalement ( à quel moment ?) et les soldats apparaissent avec des bonnets de police ( calots ? Y a-t-il un différence entre "calot" et "bonnet de police" ?). Ce changement a-t-il à voir avec l'introduction du casque ( dont la réception est signalée dans le JMO le 7 octobre 1915) ? Car il semble bien que dans les premiers mois les soldats partaient à l'attaque coiffés de leur képi qu'ils portaient aussi en dehors des combats . Alors que le bonnet de police n'apparaît jamais en première ligne ( of course...).
Mais pourquoi n'avoir pas gardé quand même le képi ( dont il était facile de changer la couleur) hors des zones de combat et avoir adopté le bonnet de police ? Serait-ce p.c.q. le bonnet de police est plus facilement escamotable ( on le glisse dans sa poche, son sac) ?
D'avance merci à mes "éclaireur(e)s".
Gérard.
Quand on regarde les photos de la Grande Guerre on remarque que le poilu portait le képi au début de la guerre ; puis le képi semble disparaître totalement ( à quel moment ?) et les soldats apparaissent avec des bonnets de police ( calots ? Y a-t-il un différence entre "calot" et "bonnet de police" ?). Ce changement a-t-il à voir avec l'introduction du casque ( dont la réception est signalée dans le JMO le 7 octobre 1915) ? Car il semble bien que dans les premiers mois les soldats partaient à l'attaque coiffés de leur képi qu'ils portaient aussi en dehors des combats . Alors que le bonnet de police n'apparaît jamais en première ligne ( of course...).
Mais pourquoi n'avoir pas gardé quand même le képi ( dont il était facile de changer la couleur) hors des zones de combat et avoir adopté le bonnet de police ? Serait-ce p.c.q. le bonnet de police est plus facilement escamotable ( on le glisse dans sa poche, son sac) ?
D'avance merci à mes "éclaireur(e)s".
Gérard.