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Bonjour,

Photo trouvée sur le site de la BDIC - départ d'une tranchée pour un coup de main d'un groupe d'élite du 134e RI le 9 septembre 1917.

Belle photo.
Cordialement

François

Bonjour.

avec la photo! Est-ce un montage ou est-ce réellement le lancement de l'attaque?

Cordialement.

François

Bonjour François,

Cette photo doit être l'une des rares prises sur le vif ! En la regardant attentivement, je ne vois rien qui puisse dire qu'il s'agit d'un montage, ou d'une reconstitution.
Mais l'absence de preuve n'étant pas une preuve...

Bien cordialement,

Régis

Bonsoir,

Belle photo en effet, mais je doute.
L'officier un peux sur la droite est inactif.
L'infirmier volontaire qui s'élance mais sans sa trousse.

Cordialement.
Phil.

Bonsoir,

L'infirmier volontaire qui s'élance mais sans sa trousse.

Il ne s'agit sans doute pas d'un infirmier. J'ai étudié quelques coups de main et le port d'un brassard (blanc en l’occurrence - mais aussi d'une cravate blanche) était parfois de mise afin que les exécutants puissent s'identifier et être identifiés très rapidement.

Pour moi, rien ne vient mettre en doute que ces photos furent prises au départ d'un réel coup de main.

Bonne fin soirée.
Stéphan

Bonjour Stephan et Phil et tous
Il est inscrit en légende «brancardier volontaire suivant l'attaque»
Extrait


Salutations
Michel

Bonjour Michel,

Effectivement, je n'ai pas pris en compte la légende ! Merci de la rappeler.

Bonne journée.
Stéphan

Bonjour,


Sur cet extrait du JMO SSD/70, sont mentionnés des brancardiers pour un coup de main (du 42e BCP, le 24/11/1917) :



Leur rôle est d'évacuer au plus vite les blessés ou tués. Ni brancard ni matériel, tout va très vite (comme ce coup de main du 72e RI en février 1918 : 14 minutes chrono !). Dans la tranchée, un poste de secours spécial les attend :



J'ajoute également, comme l'a noté Stéphan, le port d'une "double tresse blanche" à chaque bras pour les volontaires d'un coup de main du 45e BCP au 18 mars 1918.

pour en revenir à la photo, les monticules de pierraille ressemblent bien au terrain de la Marne, les soldats sont équipés du strict minimum : fusil à la main, probablement des grenades OF dans les poches, avec quelques paquets de cartouches. Le brancardier sort en tout dernier, il restera en arrière. Je compte un dizaine de soldats, les exemples de coups de main que j'ai lu en comprennent 50 : on serait donc en fin de sortie ? L'officier, de dos, doit superviser l'affaire. Le photographe reste en arrière au fond de la ligne de départ, peut-être une ancienne tranchée. Enfin, il fait jour, ce qui correspond à l'horaire de 15h15 du JMO du 134e...


Bien cordialement,

Régis

Bonsoir à tous,
Je rentre de quelques jours de vacances.
Merci à tous pour vos réponses. Vu le JMO du 134e RI je pense aussi que la photo a été prise au moment du départ du coup de main. J'imagine, par cette photo, le départ de mon grand-père sur un coup de main à RIBECOURT en 1916 avec ses camarades du 5e RCA.
Encore merci à tous.
Cordialement.
François

Bonjour,

Montage de plusieurs séquences. Lors d'un assaut, certes, mais après les premières vagues (on perçoit des hommes au loin sur une séquence).
Pour moi, la photographie n'est pas extraite du film.

Cordialement,
Arnaud