Forum PAGES 14-18

Bonjour à tous,

Je suis nouvelle sur ce forum. Je recherche des informations sur le parcours de mon grand-père survivant de la guerre 14-18.
J'ai retrouvé 1 photo:

Le 13 septembre 1918, il figure parmi les survivants du torpillage de l'Amiral Charner .
Sur internet j'ai retrouvé les informations suivantes sur ce bateau:
L'amiral Charner était un navire auxiliaire (1902-1918) ex cargo à vapeur Hungarian puis South-Point. Réquisitionné lors de la première guerre mondiale le 27 septembre 1915 au Havre, il navigua en Méditerranée, et fut déréquisitionné le 25 janvier 1918. Il fut, par la suite, coulé le 13 septembre 1918 par le sous-marin autrichien U41.
à 44 miles W of Pantellaria 36.36N, 12.58E sur le trajet Marseille - Salonica et tranportait des chevaux.
Mon grand-père m'avait mentionné qu'il avait été sauvé par un navire anglais et qu'il aurait ensuite subi un deuxième naufrage ?? Il disait aussi avoir combattu en ex-yougoslavie.
Je trouve très peu d'infos sur la guerre des Dardanelles.
Un trés grand merci par avance pour votre aide

Bonjour,
et bienvenue, Marguerite, sur ce Forum.

En entrant: amiral Charner
dans le moteur de recherche (haut de page à droite près de la loupe) vous trouverez de nombreuses ocurrences à ce propos et donc, très probablement, de nouvelles informations sur ce bâtiment.
Notamment:

pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviati ... _209_1.htm

Pour ce qui concerne votre grand père, il serait nécessaire que nous connaissions au moins son unité (régiment) pour pouvoir vous renseigner sur son parcours, notamment aux Dardanelles, sur lesquelles la documentation de ce Forum commence quand même à s'étoffer ça et là...

Bien à vous,

[:achache:1]

Le 13 septembre 1918, il figure parmi les survivants du torpillage de l'Amiral Charner .

Bonsoir,
torpillé un vendredi 13. Quand on dit que ce jour ne porte pas chance
Cordialement

Bonjour Marguerite,

D'abord, bienvenue parmi nous. Et merci d'avoir songé à nous faire connaître l'existence de cette très rare photographie de groupe des survivants français du torpillage du cargo Amiral-Charner. En raison de son indéniable intérêt historique, j'ai pris la liberté de la replacer sous le sujet dont fait l'objet ce bâtiment en rubrique « Marine » (V. le lien ci-dessus indiqué par achache). J'espère que vous ne m'en tiendrez pas grief...

Bien amicalement à vous,
Daniel.

Merci Achache, je suis allée voir la rubrique Marine qui est trés intéressante. Et Merci à DAniel d'avoir replacé ma photo à la bonne rubrique.
Oui Dominique le vendredi 13 peut porter chance!
Je ne connais pas le régiment de mon grand-père. Il était creusois mais les archives de Guéret m'ont répondu qu'il n'avait pas été incorporé en Creuse. Il travaillait à Lyon avant guerre, je vais essayer de contacter les Archives militaires à Lyon.
J'ai une photo en uniforme datée de Mars 1917. Peut-être les inscriptions sur le col pourraient fournir une piste. Il est assis 3ème à partir de la gauche.

Bien amicalement
Marguerite

Bonjour Marguerite,
bien que n'étant pas un spécialiste de l'identification je me lance.
Tout d'abord le plus simple serait d'avoir la copie de la fiche du registre matriculaire. Voir pour cela le message de Jerome Charraud pages1418/qui-cherche-quoi/recherches-p ... 4840_1.htm
Puisqu'elle n'est pas dans la Creuse peut etre est-elle aux AD du Rhone s'il est allé s'installer dans le rhone avant son 20° anniversaire.
Pour le numero du régiment sur le collet je n'arrive pas à le lire. Je pense qu'avec un loupe vous y arriverez plus facilement.
Ensuite vous pouvez chercher le numero du régiment dans la liste que nous propose chtimiste
http://www.chtimiste.com/regiments/regi ... stquoi.htm
D'autre part on voit, me semble-t-il trois brisques sur sa manche, donc au moins deux ans de présence au front lors de la photo
Et après on fouille.
Bon courage

Dominique

Merci Dominique. Je viens de questionner par mail les archives du Rhône.

Cordialement
Marguerite

Bonjour Dominique,

En suivant votre conseil, avec une loupe, je pense avoir réussi à déchiffrer 38 sur le collet.
S'agirait-il du 38 eme régiment d'infanterie St Etienne- Lyon (avant 1914 il travaillait à Lyon)
Ou comme il était né en Novembre 1886, du 38 RIT ?

Je lis sur le site de chtimiste que le 20 janvier 1918 les officiers et hommes de troupe des classes 98 et 99 sont versés dans l'active et partent pour l'albanie.
Peut-être il en faisait partie bien que de la classe 06?

Merci de votre avis.
Bien cordialement
Marguerite

Bonjour Marguerite,
bien que n'étant pas un spécialiste de l'identification je me lance.
Tout d'abord le plus simple serait d'avoir la copie de la fiche du registre matriculaire. Voir pour cela le message de Jerome Charraud pages1418/qui-cherche-quoi/recherches-p ... 4840_1.htm
Puisqu'elle n'est pas dans la Creuse peut etre est-elle aux AD du Rhone s'il est allé s'installer dans le rhone avant son 20° anniversaire.
Pour le numero du régiment sur le collet je n'arrive pas à le lire. Je pense qu'avec un loupe vous y arriverez plus facilement.
Ensuite vous pouvez chercher le numero du régiment dans la liste que nous propose chtimiste
http://www.chtimiste.com/regiments/regi ... stquoi.htm
D'autre part on voit, me semble-t-il trois brisques sur sa manche, donc au moins deux ans de présence au front lors de la photo
Et après on fouille.
Bon courage

Dominique

Bonsoir Marguerite, Bonsoir à tous,
38° RI pourquoi pas. Mais pour quelqu'un né en 1886, lors de la mobilisation, en 1914, il relevait de la réserve d'active mais pas de la territoriale. Donc il aurait pu rejoindre le 238°, réserve du 38° mais le 38°RIT qui, de plus, est à Montargis me semblerait curieux.
Je crois qu'il faut vraiment trouver la fiche de registre matriculaire pour éviter de se perdre en hypothèses.
Cordialement

Bonsoir,
J'aimerai savoir s'il existe une liste des combattants des Dardanelles, car je recherche des renseignements sur un grand oncle, qui n'est jamais revenu de la guerre, et, bien que né en Algérie, mais de parents Italiens, il n'a pas été considéré comme Français, et, ses parents n'ont jamais eu de réponses sur sa disparition, ni reçu aucunes compensations. Il avait une vingtaine d'année et se nommait OLIVERE.