Re: Léopold Girard est un meurtrier !!
Publié : mar. nov. 22, 2005 12:18 am
Bonsoir à tous,
Histoire de vous changer les idées, voici un article paru aujourd'hui dans le Figaro :
Un crime de 1913 élucidé grâce à des spéléologues :
Un squelette retrouvé dans une grotte a conduit les gendarmes au coupable. Serge Pueyo [21 novembre 2005]
«Les gendarmes ne renoncent jamais. 92 ans après, nous avons bouclé cette enquête débutée en 1913 par un collègue», annonce fièrement le capitaine Vincent Corbel, commandant de la compagnie de la Mure (Isère).
En 1913, le gendarme Cuchet écrit : «Le jeune Mouttet disparaît mystérieusement un soir après avoir passé la veillée dans un café de Gresse.» On ne le retrouvera pas.
Le test ADN a levé les derniers doutes
Mais en avril dernier, des spéléologues découvrent un squelette dans une grotte. Des gendarmes y collecteront des os, une vieille pipe et quelques pièces de monnaie. «C'est une pièce de 1913 qui nous a mis sur la piste de Jean-Henri Mouttet», explique le maréchal des logis Charbonnel. Une expertise établit que les os appartiennent à un homme d'une trentaine d'années qui boitait. Or le livret militaire du disparu précise qu'il avait été réformé pour claudication. Un test ADN lèvera les derniers doutes.
Mais les gendarmes veulent identifier le meurtrier. Le village suspecte Léopold Girard, un berger, qui convoitait, comme Jean-Henri Mouttet, la jeune Léoncie. En interrogeant les Girard, les enquêteurs tombent sur un secret de famille : Léopold serait le responsable. Blessé dans les tranchées en 1915, il avait révélé à un camarade, avant de mourir dans un hôpital militaire de la Marne, avoir fait disparaître le jeune Mouttet, mais sans indiquer où. Léoncie, elle, est morte il y a dix ans, sans rien savoir de la tragédie.
Bien modestement, j'ai mené moi-même l'enquête afin de retrouver sur MDH le "meurtrier", le voici.
Cordialement,
Olivier
Histoire de vous changer les idées, voici un article paru aujourd'hui dans le Figaro :
Un crime de 1913 élucidé grâce à des spéléologues :
Un squelette retrouvé dans une grotte a conduit les gendarmes au coupable. Serge Pueyo [21 novembre 2005]
«Les gendarmes ne renoncent jamais. 92 ans après, nous avons bouclé cette enquête débutée en 1913 par un collègue», annonce fièrement le capitaine Vincent Corbel, commandant de la compagnie de la Mure (Isère).
En 1913, le gendarme Cuchet écrit : «Le jeune Mouttet disparaît mystérieusement un soir après avoir passé la veillée dans un café de Gresse.» On ne le retrouvera pas.
Le test ADN a levé les derniers doutes
Mais en avril dernier, des spéléologues découvrent un squelette dans une grotte. Des gendarmes y collecteront des os, une vieille pipe et quelques pièces de monnaie. «C'est une pièce de 1913 qui nous a mis sur la piste de Jean-Henri Mouttet», explique le maréchal des logis Charbonnel. Une expertise établit que les os appartiennent à un homme d'une trentaine d'années qui boitait. Or le livret militaire du disparu précise qu'il avait été réformé pour claudication. Un test ADN lèvera les derniers doutes.
Mais les gendarmes veulent identifier le meurtrier. Le village suspecte Léopold Girard, un berger, qui convoitait, comme Jean-Henri Mouttet, la jeune Léoncie. En interrogeant les Girard, les enquêteurs tombent sur un secret de famille : Léopold serait le responsable. Blessé dans les tranchées en 1915, il avait révélé à un camarade, avant de mourir dans un hôpital militaire de la Marne, avoir fait disparaître le jeune Mouttet, mais sans indiquer où. Léoncie, elle, est morte il y a dix ans, sans rien savoir de la tragédie.
Bien modestement, j'ai mené moi-même l'enquête afin de retrouver sur MDH le "meurtrier", le voici.
Cordialement,
Olivier