Forum PAGES 14-18

Bonjour,
En vue de la commémoration de centenaire 14-18, je travaille pour ma commune à la rédaction de fiche biographique sur chacun des 86 inscrits sur notre monument.
L’un d'eux était dans le génie et son parcours me pose questions.
Voici les étapes de son parcours avec mes interrogations ajoutés par moi et que je voudrais voir se transformer grâce à vos lumières en point d’exclamation.
Le 14 juillet 1894 : Naissance de Paul
Le 19 décembre 1912 : Engagement
Le 20 décembre 1912 : 4e RG compagnie 14/2
Le 11 novembre 1913 : Soldat musicien
Printemps 1914 : Conseil de révision...Paul est mécanicien
Du 3 septembre 1915 au 24 août 1916 : 59e section de projecteurs de montagne
Le 17 septembre 1916 : SPC Section Projecteurs de Campagne ?
Le 1 octobre 1916 : 1ier RG
Le 17 octobre 1916 : Mont Valérien (MV)
Le 1ier novembre 1916 : Evacué blessé : 4/26 Ambulance 4/26 ou compagnie 4/26 du 1ier RG celle de Fernand Léger ! ?
Le 1 juillet 1917: 21e RG
Le 12 janvier 1917 : Rentre au dépôt
Le 24 janvier 1917: Passe à SPC
Le 16 mars 1917 : Quitte MV passe à 169e Son Dre de projecteurs Section Divisionnaire de projecteurs ?
Le 10 novembre 1917 : Passe à la 104e SPA Section des Projecteurs de campagne d’Armée ?
Le 28 novembre 1918 : trouvé écrasé sur le voie ferrée à Liverdun (M&M)
Merci de valider mes hypothèses et dans le cas contraire de me fait part de votre savoir …ou de formuler de nouvelles hypothèses et surtout de me dire s'il est possible de connaître son parcours géographique.
J’ai lu le JMO pour la 59e section de projecteurs de montagne mais pour la 169e S(ecti)on D(ivisionnai)re ( ?) de Projecteurs et la 104e SPA, je n'ai rien trouvé.
Vous m’aideriez aussi bien sûr en me fournissant des pistes (journal privé ou militaire, carnet personnel…) et vos réflexions pour comprendre la fin tragique de son parcours.
De cette fin tragique, 15 jours après l’armistice, j’ai pensé, dans la mesure où Paul est mentionné comme trouvé écrasé (et c’est souligné sur sa page matriculaire), que Paul n’était pas tombé d’un train (auquel cas il y aurait eu des témoins) mais qu’il errait seul sur les voies à l’aller ou au retour d’un rendez-vous « galant » ou bien que déprimé, il s’est suicidé. En effet, s’il revenait d’une soirée arrosée, il n’aurait pas été seul et ses compagnons auraient sûrement témoigné de l’accident ayant causé sa mort.
Une beuverie à plusieurs, 15 jours après l'armistice, aurait certainement pardonnée à un engagé d'avant guerre et après un si long parcours.
A moins que leur sortie ou sa sortie ait eu une motivation vraiment très crapuleuse.
Les hypothèses autour de son mystérieux décès ne figureront évidemment pas dans la fiche biographique.
Merci pour votre aide dans la recherche de son parcours et pour votre opinion concernant son décès.
Dans l’attente de vous lire, recevez mes cordiales salutations.
Pierre-Charles

Bonjour Pierre Charles,
Actuellement je travaille comme vous à rédiger une fiche biographique de chaque soldat inscrit sur le monument aux morts de la commune de Liverdun. J'ai étendu mon travail à tous les soldats, né ou décédé dans cette commune, c'est pourquoi le cas de Paul m'intéresse. Son acte de décès figure dans les registres de la commune sans autres précisions que : "décédé sur la ligne de chemin de fer à 100 m de la gare". Il traversait peut-être les rails car il y a des maisons des 2 côtés de la voie ferrée.
Cordialement
Michèle

Bonjour,
pris par beaucoup d'activités de commémoration 14-18 je ne découvre qu'aujourd'hui votre réponse.
D'abord merci pour votre apport mais pouvez-vous aussi contacter les occupants de ces deux maisons pour savoir si la mémoire transmise de cet accident demeure chez l'un d'eux ?
Auquel cas j'ajouterai cet apport à mon ouvrage en cas de réédition.
Pour enquêter, j'avais tenté de consulter les archives des journaux locaux mais n'avais pu aboutir.
Voyez-vous une piste de ce côté-là ?
Au plaisir de vous lire.
Pierre-Charles

Bonjour,
pris par beaucoup d'activités de commémoration 14-18 je ne découvre qu'aujourd'hui votre réponse.
D'abord merci pour votre apport mais pouvez-vous aussi contacter les occupants de ces deux maisons pour savoir si la mémoire transmise de cet accident demeure chez l'un d'eux ?
Auquel cas j'ajouterai cet apport à mon ouvrage en cas de réédition.
Pour enquêter, j'avais tenté de consulter les archives des journaux locaux mais n'avais pu aboutir.
Voyez-vous une piste de ce côté-là ?
Au plaisir de vous lire.