Forum PAGES 14-18

Bonjour ,
Nous avons entendu dire que les paysans avaient des permissions "agricoles" pour les travaux des champs. Nous voudrions savoir si c'était vrai et si oui comment celà se passait.
Merci d'avance .
La classe de CE-CM

Bonjour à toutes et à tous,

Vous avez dans le forum de nombreuses références à ce sujet, dont un des remarquables "Au détour d'un JMO" de maître Carobbi ici

Plus officiel, un extrait du Dalloz :



Source Dalloz dans Gallica

Cordialement
IM Louis Jean
sesouvenir

Bonjour l'école
quelques infos sur le forum
forum1.php?config=pages1418.inc&cat=3&p ... earchall=2
bonne lecture
alain

Rebonjour ,
Merci de la réponse, c'est vrai qu'il y a beaucoup d'informations très intéressantes à ce sujet sur le forum. Vu son âge et sa situation, PJ Glehen n'avait pas droit aux 13 jours supplémentaires. Du coup, dans la lettre, nous avons expliqué qu'il n'était pas très content .
Cordialement,
La classe de CE-CM

Bonjour les petits écoliers Bretons,


Pour les natifs de la Bretagne-Sud — Anne de Bretagne était née à Nantes, et la Bretagne d’Ancien régime s’étendait jusqu’au Pays de Retz —, le régime des permissions de vendanges pour l'année 1916 :


● Le Temps, n° 20.127, Lundi 14 août 1916, p. 2, en rubrique « Armée ».





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Bien amicalement à vous,
Daniel.

Bonjour ,
Merci de votre réponse. C'était très intéressant même si le nôtre était cultivateur et pas viticulteur.
Notre travail avance beaucoup en ce moment.
Cordialement,
La classe de CE-CM

Bonsoir,

Pour garnir ce sujet, voici un exemple d'un soldat détaché agricole (catégorie B). Ceci était vu je pense comme faisant partie d'un acte militaire au vue de son titre de Mort pour la France.



Cordialement,
Shark

Bonjour.
Il faut savoir que lors de la mobilisation, le haut commandement français avait prévu que les gens du Nord iraient dans les Ardennes. C’est ainsi que Georges Cocquelin, classe 1912, de Yonville – commune de Citernes dans la Somme, fut incorporé au 120e Régiment d’Infanterie de Stenay, quartier Chanzy. En 1914, en tant que cultivateur, il avait reçu une permission pour rentrer les foins.
Son sergent lui avait dit : “ Je crois que tu seras de retour avant la fin de ta permission .” Hélas ! oui.
Un matin, la maréchaussée à cheval a frappé à la porte.
Georges préparait la soupe aux cochons (chez nous, en Gaume, c’est la cuj’nâye ou caboulâye - cuire des pommes de terre pour les cochons). Consternation, il fallait repartir et il s’embarqua à la gare de Wiry-au-Mont.

Nous pensons que tous ces paysans, ces gens de la terre (80 % de la population française) étaient bien plus préocupés des récoltes que d’aller en découdre avec les Allemands -(avis personnel).

(extrait de « 22 août 1914. Un samedi sanglant - Ein schrecklicher Tag.» René Bastin - édition 2004.
Joyeuses Pâques.
René