Re: In memoriam : 6 juin 1918
Publié : dim. juin 06, 2010 3:12 pm
Bonjour à tous,
Il y a 92 ans aujourd'hui, le 6 juin 1918, tombaient à Pourcy, sur la montagne de Reims les deuxièmes canonniers conducteurs au 266ème RAC, Maurice Marcellin (dit Marcellin) Rey, originaire de Sonnay, Nord Isère, et Henri Didier, natif de Pierrelatte, Drôme, victimes de l'explosion accidentelle d'un obus de 155. Henri et Marcellin reposent actuellement dans leurs sépultures de famille respectives.
Merci à tous ceux qui se penchent ou se sont à un moment ou un autre penchés sur cette explosion prématurée pour tenter de reconstituer les faits le plus précisemment possible.
Photo ni située, ni datée. Le soldat de gauche est Henri Didier, Marcellin Rey figure vraisemblablement lui aussi dans le groupe. J'éspère le déterminer un jour et donc être en mesure de rendre un visage et ainsi un peu de son humanité à celui qui n'est pour moi qu'un nom dans un dossier. Ce n'est pas impossible, Marcellin Rey était un artilleur de la classe 1903, il avait eû le temps de fonder une famille et des petits-enfants, ou arrières-petits-enfants conservent peut-être encore sa mémoire. J'ai une pensée particulière pour ces jeunes soldats de 20 ans qui, eux, ont pour beaucoup sombré dans l'oubli, faute d'enfants, d'épouse pour transmettre leur souvenir.
Cordialement,
Violette
Il y a 92 ans aujourd'hui, le 6 juin 1918, tombaient à Pourcy, sur la montagne de Reims les deuxièmes canonniers conducteurs au 266ème RAC, Maurice Marcellin (dit Marcellin) Rey, originaire de Sonnay, Nord Isère, et Henri Didier, natif de Pierrelatte, Drôme, victimes de l'explosion accidentelle d'un obus de 155. Henri et Marcellin reposent actuellement dans leurs sépultures de famille respectives.
Merci à tous ceux qui se penchent ou se sont à un moment ou un autre penchés sur cette explosion prématurée pour tenter de reconstituer les faits le plus précisemment possible.
Photo ni située, ni datée. Le soldat de gauche est Henri Didier, Marcellin Rey figure vraisemblablement lui aussi dans le groupe. J'éspère le déterminer un jour et donc être en mesure de rendre un visage et ainsi un peu de son humanité à celui qui n'est pour moi qu'un nom dans un dossier. Ce n'est pas impossible, Marcellin Rey était un artilleur de la classe 1903, il avait eû le temps de fonder une famille et des petits-enfants, ou arrières-petits-enfants conservent peut-être encore sa mémoire. J'ai une pensée particulière pour ces jeunes soldats de 20 ans qui, eux, ont pour beaucoup sombré dans l'oubli, faute d'enfants, d'épouse pour transmettre leur souvenir.
Cordialement,
Violette