Re: Fraternisations, 11 novembre et JMO
Publié : mer. juil. 27, 2005 10:25 am
Bonjour à tous,
Dans le cadre de la préparation de mon projet pédagogique de la rentrée sur le film Joyeux Noël (et plus généralement sur les fraternisations, trêves et ententes), je suis à la recherche d'extraits de JMO concernant le 11 novembre 1918 et les jours suivants. Toutes les unités, tous les secteurs m'intéressent. Je m'explique, je cherche des choses de ce genre (même très brèves) :
"11 novembre 1918 :
A onze heures, cessation des hostilités par suite de l'armistice conclu entre les alliés et l'Allemagne.
Les troupes conservent leurs emplacements de combat.
Une vingtaine d'Allemands, peu après la cessation des hostilités, se présentent sans armes devant nos lignes ; ils sont pris et faits prisonniers.
12 novembre 1918 :
Sans changement. Les troupes continuent à occuper leurs emplacements de combat.
Les Allemands tiennent toujours les lignes mais leurs sentinelles sont sans armes. L'ennemi se livre à des démonstrations bruyantes de joie et d'allégresse.
13 novembre 1918 :
...
Un Allemand se présente devant nos lignes ; il est pris et fait prisonnier."
(extraits du JMO du 163e R.I.)
Merci d'avance pour votre aide !
Bien cordialement
Eric Mansuy
Dans le cadre de la préparation de mon projet pédagogique de la rentrée sur le film Joyeux Noël (et plus généralement sur les fraternisations, trêves et ententes), je suis à la recherche d'extraits de JMO concernant le 11 novembre 1918 et les jours suivants. Toutes les unités, tous les secteurs m'intéressent. Je m'explique, je cherche des choses de ce genre (même très brèves) :
"11 novembre 1918 :
A onze heures, cessation des hostilités par suite de l'armistice conclu entre les alliés et l'Allemagne.
Les troupes conservent leurs emplacements de combat.
Une vingtaine d'Allemands, peu après la cessation des hostilités, se présentent sans armes devant nos lignes ; ils sont pris et faits prisonniers.
12 novembre 1918 :
Sans changement. Les troupes continuent à occuper leurs emplacements de combat.
Les Allemands tiennent toujours les lignes mais leurs sentinelles sont sans armes. L'ennemi se livre à des démonstrations bruyantes de joie et d'allégresse.
13 novembre 1918 :
...
Un Allemand se présente devant nos lignes ; il est pris et fait prisonnier."
(extraits du JMO du 163e R.I.)
Merci d'avance pour votre aide !
Bien cordialement
Eric Mansuy