■ 9e Escadron du train des équipages militaires. – « Dépôt de remonte mobile » formant partie de la « 8e Compagnie » du 9e E.T.E.M., devenu « ...e Groupe mobile de remonte », formant la « 70e Compagnie » du 9e E.T.E.M.
• « Historique du 9e Escadron du train des équipages militaires pendant la guerre 1914 ~ 1918. », Imprimerie Berger-Levrault, Nancy~Paris~Stasbourg, sans date, 48 p.
Gallica —> http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6 ... 1.image.r=
« Le onzième jour de la mobilisation, le chef d’escadron Chary, commandant alors le 9e Escadron du train des équipages militaires, quitte Châteauroux avec la 1re section du G. V. A. D. (1re compagnie) et arrive le treizième jour de la mobilisation au point de concentration à Liverdun, où il prend le commandement du 2e groupement des parcs et convois comprenant :
Les sections 1 et 2 du C. V. A. D. (1re et 2e compagnies).
Le dépôt de remonte mobile (partie de la 8e compagnie).
L'ambulance n° 5 (partie de la 5e compagnie).
Une section de réserve de C. V. A. D. (24 voitures réquisitionnées à Liverdun).
Ce groupement part pour Pompey et Frouard le 18 août 1914 et, le 19 août, pour Nancy, où il ravitaille divers éléments du 9e corps d’armée s’embarquant pour une autre destination. Le départ des troupes est arrêté à la suite des affaires de Morhange.
Le 21 août, rassemblement à Laxou où l’ordre est donné, dans l’après-midi, de faire embarquer d’urgence, pour une destination inconnue, toute la section n° 2 du G. V. A. D. (capitaine Gomien), le dépôt de remonte mobile (capitaine Fujard) et l'ambulance n° 5 (docteur Cazotte). » (op. cit., p. 5 et 6)
«
Le 5 février [1917],
le dépôt de remonte mobile cesse de faire partie de la 8e compagnie et passe à la 70e compagnie du 9e escadron du train.
Cette formation devient élément d'armée (Note du corps d’armée n° 567 E. S/C 9605 du 18 janvier 1917. Note n° 17.695 du 22 janvier du G. Q. G.). » (op. cit., p. 23)
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■ 10e Escadron du train des équipages militaires. – 8e Compagnie, dite « Dépôt de remonte mobile », devenue « 7e Groupe mobile de remonte », formant la « 80e Compagnie » du 10e E.T.E.M., et « 3e Groupe mobile de remonte », formant la « 81e Compagnie » du 10e E.T.E.M.
I. – « 7e Groupe mobile de remonte », formant la « 80e Compagnie » du 10e E.T.E.M.
• Journal des marches et opérations de la 8e compagnie du 10e Escadron du train des équipages militaires – 13 août 1914 ~ 1er juillet 1917 – : Service historique de la Défense, S.G.A. « Mémoire des hommes », Cote 26 N 1336/13.
— 14 août 1914 : Constitué à Fougères
(Ille-et-Vilaine) ; quitte cette ville le même jour à destination de Vouzier
(Ardennes).
« Le Dépôt de remonte mobile, élément du Corps d’armée, est rattaché au 10e Corps d’armée, Quartier général.
Le Dépôt de remonte mobile faisant partie du Service de l’arrière suit le Groupe des parcs et con..., escorté par une compagnie du 241e régiment d’infanterie. » (op. cit., p. num. 5 et 6)
A cette date, il se composait de :
– 2 officiers : le sous-lieutenant
Riguoz, commandant ; le vétérinaire aide-major
Geffroy ;
– un adjudant ;
– un maréchal des logis-chef ;
– un maréchal des logis-fourrier ;
– 2 maréchaux des logis ;
– un brigadier-fourrier ;
– 5 brigadiers, dont un brigadier maréchal-ferrant ;
– un ouvrier en fer ;
– un aide maréchal-ferrant ;
– un ouvrier bourrelier ;
– 55 conducteurs montés ;
– 4 conducteurs non montés.
Et il disposait de deux chevaux d’officiers, 121 chevaux de troupe et 9 mulets.
— 5 février 1917 : Dissous. Devient le
7e Groupe mobile de remonte, étant momentanément rattaché à la
70e Compagnie du
17e Escadron du train des équipages militaires.
« 7e Groupe de remonte mobile. — En exécution de la note n° 9.845 D.A. du 30 janvier 1917 et de l’instruction du Grand quartier général n° 17.695 du 22 janvier, le Dépôt de remonte mobile du 10e Escadron du train des équipages militaires est dissous et devient le 7e Groupe mobile de remonte.
Le 7e Groupe mobile de remonte est organe d’Armée et rattaché à la 70e Compagnie du 17e Escadron du train. » (op. cit., p. num. 17)
— 1er juillet 1917 : Le
7e Groupe mobile de remonte, cesse d’être rattaché à la
70e Compagnie du
17e Escadron du train des équipages militaires pour former la
80e Compagnie du
10e Escadron du train des équipages militaires « en exécution de la circulaire ministérielle n° 18.664 ~ 3/3 du 24 mai 1917. » (op. cit., p. 17)
• Journal des marches et opérations du 7e Groupe mobile de remonte du 10e Escadron du train des équipages militaires – 1er juillet 1917 ~ 9 mars 1919 – : Service historique de la Défense, S.G.A. « Mémoire des hommes », Cote 26 N 1331/28.
A cette date, il se composait de :
– 3 officiers : le sous-lieutenant
Frappé, commandant, le sous-lieutenant
Destrez, adjoint, le vétérinaire aide-major de 1re classe
Vallin ;
– un adjudant ;
– un maréchal des logis-chef ;
– un maréchal des logis-fourrier ;
– 3 maréchaux des logis ;
– un brigadier-fourrier ;
– 5 brigadiers ;
– 66 conducteurs.
Et il disposait de :
– 131 chevaux ;
– 18 mulets ;
– une fourragère ;
– une forge ;
– une voiture de réquisition à quatre roues ;
– une voiture de réquisition à deux roues ;
– un van hippomobile.
— 9 mars 1919 : Dissous à Caveggiara
(Italie), pays où il avait été envoyé en Décembre 1917.
• « 10e Escadron du train des équipages militaires. Historique de la guerre 1914 ~ 1918. », Imprimerie Fougeraise, Fougères, 1920, 27 p.
Gallica —> http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6 ... 1.image.r=
«
80e Compagnie. — Formée à Chartres le 14 octobre 1914, attachée au 33e C. A., elle effectue le service de remonte et d’évacuations de ce corps d’armée (7e groupe mobile de remonte).
Elle stationne avec lui dans le Pas-de-Calais (août 1915), puis dans la Somme (mars 1916).
Dirigée sur Toul, elle séjourne aux environs jusqu’en août 1916.
La compagnie revient ensuite dans la Somme où elle reste jusqu’en mars 1917. En avril et mai 1917, elle cantonne à Breuil-sur-Vesle (environs de Fismes), puis dans les environs de Bussang (Vosges).
Cantonnée au début de novembre à Pontoise, elle est dirigée sur l’Italie après la retraite de Caporetto. Le 11 novembre 1917, elle cantonne à Lonato (province de Vicence) puis le 3 décembre à San-Nicolo. Le 7e G. M. R. est stationné à Fornast le Brecht.
Pendant l’été 1918, la 80e compagnie est cantonnée à Caveggiara.
Dissoute le 9 mars 1910. »
II. – « 3e Groupe mobile de remonte », formant la « 81e Compagnie » du 10e E.T.E.M.
• « 10e Escadron du train des équipages militaires. Historique de la guerre 1914 ~ 1918. », Imprimerie Fougeraise, Fougères, 1920, 27 p.
« 81e Compagnie. – Fonctionne comme 3e groupe mobile de remonte. Assure la remonte et les évacuations d’un corps d'armée.
En 1918, elle se trouve à Bussang (Vosges) qu’elle quitte le 3 décembre pour se rendre à Haguenau (Alsace) où elle arrive le 6.
Elle cantonne au camp d’Oberhoffen jusqu’à sa dissolution qui a lieu le 16 juin 1919. » (op. cit., p. 18)
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■ 11e Escadron du train des équipages militaires. – « Dépôt de remonte mobile du 1er Corps d’armée colonial », devenu « 4e Groupe mobile de remonte », formant la « 81e Compagnie » du 11e E.T.E.M.
• Journal des marches et opérations du 4e Groupe de remonte mobile du 10e Escadron du train des équipages militaires (81e Compagnie) – 1er juillet 1917 ~ 3 mars 1919 – : Service historique de la Défense, S.G.A. « Mémoire des hommes », Cote 26 N 1337/27.
— 1er juillet 1917 : Constitution du
Groupe mobile de remonte n° 4, auparavant
Dépôt de remonte du 1er Corps d’armée colonial.
«
Par décision ministérielle n° 18.664 ~ 3/3 du 24 mai 1917, le Groupe mobile de remonte n° 4, avant Dépôt de remonte du 1er Corps d’armée colonial, est constitué en unité administrative et devient, à la date du 1er juillet 1917, la 81e Compagnie du 11e Escadron du train, Groupe mobile de remonte n° 4 : il est organe de remonte du G.A.N. [Groupe des armées du Nord]. »
(op. cit., p. num. 4)
A cette date, il se composait de :
– 2 officiers : le sous-lieutenant de complément à titre temporaire
Lucas, commandant ; le vétérinaire aide-major de 2e classe à titre temporaire
Lambert ;
– un adjudant ;
– un maréchal des logis-chef ;
– un maréchal des logis-fourrier ;
– 2 maréchaux des logis ;
– un brigadier-fourrier ;
– 3 brigadiers, dont un brigadier-maréchal ;
– 76 conducteurs.
Et, disposant de 139 chevaux, il occupait les fermes de Béhancourt, sises sur le territoire de la commune de Sermaize (Oise).
— 27 mars 1918 : Devient organe du
Groupe d’armées de réserve (G.A.R.) de la
3e Armée. (op. cit., p. num. 5)
— 2 juin 1918 : Par ordre du Général commandant le
G.A.R., est rattaché à la
10e Armée. (op. cit., p. num. 5)
— 3 décembre 1918 : Passe à la
3e Armée. (op. cit., p. num. 5)
— 3 mars 1919 : Dissous à Crillon
(Oise). (op. cit., p. num. 5)
• « Historique du 11e Escadron du train. », éd. Henri Charles-Lavauzelle, Paris, 1920, 45 p. — V. p. 40.
Gallica —> http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6 ... 1.image.r=
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■ 12e Escadron du train des équipages militaires. – « Dépôt de remonte mobile » formant la « 9e Compagnie » du 12e E.T.E.M., devenu ... [?]
• « Campagne 1914-1919. 12e escadron du train des équipages militaires. Historique du Corps. », Librairie militaire H. Charles-Lavauzelle, Paris, 1920, 26 p.
Gallica —> http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6 ... 1.image.r=
«
9e ET 10e COMPAGNIES. — [...]
Le 1er août [1915],
la [9e]
compagnie constitue le D. R. M. du corps d’armée, sous les ordres d’un lieutenant.
Le capitaine est chargé d’administrer les services divers et les éléments non endivisionnés du 38ecorps d’armée. » (op. cit., p. 10)
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■ 13e Escadron du train des équipages militaires. – « Groupe mobile de remonte n° 1 », formant la « 80e Compagnie » du 13e E.T.E.M.
•
Capitaine G. I. : « Historique du 13e Escadron du train. », Imprimerie Chapelot, Paris, sans date, 42 p.
Gallica —> http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6 ... 1.image.r=
« 80e Compagnie. — La 80e compagnie est créée aux armées ; elle passe sous l’administration du 13e escadron du train, le 1er avril 1917. Elle cantonne à la Ville-aux-Bois, près Jonchery (Marne).
La 80e compagnie prend le nom de groupe mobile de remonte n° 1 ; son service consiste à recevoir les chevaux évacués, les soigner et les diriger sur les points indiqués par le commandement.
Le 16 juin 1917, le G.M.R. s’embarque à Jonchery, à destination de Belfort, où il cantonne au quartier Gérard et à la caserne Bougenel et fonctionne comme centre d’évacuation des
chevaux malades et blessés.
Le 30 novembre 1918, le groupe mobile de remonte n° 1 part à Dorlisham (Alsace), où il continue son service. Le 5 juin, il part au camp d'Oberhoffen (Basse-Alsace), où il séjourne jusqu'à sa dissolution. » (op. cit., p. 36)
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■ 14e Escadron du train des équipages militaires. – « 8e Groupe mobile de remonte », formant la « 70e Compagnie » du 14e E.T.E.M. (jusqu’au 16 juin 1917).
• Journal des marches et opérations du 8e Groupe mobile de remonte du 18e Escadron du train des équipages militaires (80e Compagnie) – 16 juin 1917 ~ 31 déc. 1917 – : Service historique de la Défense, S.G.A. « Mémoire des hommes », Cote 26 N 1346/5.
— 16 juin 1917 :
« Le 8e Groupe mobile de remonte, qui était rattaché à la 70e Compagnie du 14e Escadron du train des équipages militaires, devient, à dater du 16 juin 1917, unité administrative et prend le titre de 80e Compagnie du 18e Escadron du train des équipages militaires et fait partie de la VIe Armée. » (op. cit., p. num. 4)
• « 14e Escadron du train des équipages militaires. Historique. Guerre 1914 ~ 1918. », Librairie militaire H. Charles-Lavauzelle, Paris, 1920, 44 p.
Gallica —> http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6 ... 1.image.r=
«
RAPIDE APERÇU D’ENSEMBLE. – [...]
Au point de vue du service de la remonte, environ 20.000 chevaux et 15.000 mulets ont été reçus et expédiés aux armées, sur le front français, en Orient et en Italie. » (op. cit., p. 7)
« La 70e compagnie (capitaine Deville) commença à fonctionner au Q. G., D. E. S. de la VIe armée, à Cagny (Somme). [...]
Du 30 janvier au 18 juin 1917, les cinq groupes mobiles de remonte de la VIe armée furent administrativement rattachés à la compagnie. » (op. cit., p. 30 et 31)
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■ 15e Escadron du train des équipages militaires. – Détachement de la 70e Compagnie du 2e Escadron du Train devenu le 1er juin 1917 « 28e Groupe mobile de remonte », formant la « 80e Compagnie » du 15e E.T.E.M.
• « Historique du 15e Escadron du train des équipages militaires pendant la campagne 1914 ~ 1918. », Imprimerie Rullière Frères, Avignon, 1920, 131 p.
Gallica —> http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6 ... 1.image.r=
«
Historique de la 80e Compagnie. (G. M. R. 28). – En exécution des prescriptions de la décision ministérielle n° 18.464 3/3 du 24 mai 1917, le G. M. R. 28, détachement de la 70e Compagnie du 2e Escadron du Train, se constitue en unité administrative le 1er juin 1917 et devient la 80e Compagnie du 15e Escadron du Train.
Son effectif était à la date de sa formation :
1 Lieutenant : Boussie,
2 Sous-lieutenants,
4 Sous-officiers – 6 brigadiers – 70 conducteurs – 542 chevaux ou mulets.
Du 1er juin 1917 au 14 janvier 1919 elle resta cantonnée à Souhesme-Ia-Petite (Meuse), alimentant en animaux les unités en secteur et recevant ceux indisponibles destinés aux hôpitaux vétérinaires de l'arrière. » (op. cit., p. 67)
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■ 16e Escadron du train des équipages militaires. – « Dépôt de remonte mobile » du 16e E.T.E.M., formant la « Compagnie 12 bis/16 », devenu « ...[?]... » du 16e E.T.E.M.
• « Historique des compagnies de Tunisie du 16e Escadron du train des équipages militaires pendant la guerre 1914 ~ 1918. », Imprimerie-Papeterie Finzi, Tunis, sans date, 19 p. — V. p. 10.
Gallica —> http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6 ... 1.image.r=
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■ 17e Escadron du train des équipages militaires. « 11e Groupe mobile de remonte », formant la « 80e Compagnie » du 17e E.T.E.M., et « 27e Groupe mobile de remonte », formant la « 81e Compagnie » du 17e E.T.E.M.
• « Historique du 17e Escadron du train pendant la guerre 1914 ~ 1918. », Imprimerie berger-Levrault, Nancy~Paris~Strasbourg, sans date, 40 p.
Gallica —> http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6 ... 1.image.r=
I. – « 11e Groupe mobile de remonte », formant la « 80e Compagnie » du 17e E.T.E.M.
• Journal des marches et opérations du 11e Groupe mobile de remonte du 17e Escadron du train des équipages militaires (80e Compagnie) – 1er juin 1917 ~ 4 juin 1918 – : Service historique de la Défense, S.G.A. « Mémoire des hommes », Cote 26 N 1343/9.
— 1er juin 1917 ~ 24 mars 1918 : Séjour à Louvercy
(Marne), au Camp du Passant.
Le 21 août 1917, visite au
11e Groupe mobile de remonte d’une
Mission japonaise composée d’un colonel, chef de mission, d’un vétérinaire principal et de huit officiers, accompagnée du capitaine
Duby, de l’État-major de la IVe Armée
— 26 mars 1918 ~ 7 avril 1918 : Séjour à Récy
(Marne).
— 8 avril 1918 ~ 29 mai 1918 : Séjour à La Neuville-aux-Larris
(Marne).
II. – « 27e Groupe mobile de remonte », formant la « 81e Compagnie » du 17e E.T.E.M.
• Journal des marches et opérations du 27e Groupe mobile de remonte du 17e Escadron du train des équipages militaires (81e Compagnie) – 24 mai 1917 ~ 16 déc. 1917 – : Service historique de la Défense, S.G.A. « Mémoire des hommes », Cote 26 N 1343/10.
«
La 81e Compagnie (27e Groupe mobile de remonte) du 17e Escadron du Train des équipages militaires a été formée à la date du 1er juin 1917 suivant Ordre n° 18.464 ~ 3/3 du 24 mai 1917 de la Direction de l’Artillerie et procès verbal dont copie a été adressée au dépôt de Montauban.
A cette date la Compagnie se trouvait cantonnée à Rambluzin (Meuse).
A la date du 16 décembre 1917, aucun changement. Rien à porter à l’actif de al 81e Compagnie. »
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■ 18e Escadron du train des équipages militaires. 8e Compagnie, dite « Dépôt de remonte mobile », devenue « 8e Groupe mobile de remonte », formant la « 80e Compagnie » du 18e E.T.E.M.
I. – 8e Compagnie, dite « Dépôt de remonte mobile » du 18e E.T.E.M.
• Journal des marches et opérations de la 8e Compagnie – Dépôt de remonte mobile – du 18e Escadron du train des équipages militaires – 2 août 1914 ~ 31 déc. 1916 – : Service historique de la Défense, S.G.A. « Mémoire des hommes », Cote 26 N 1344/16.
« — 2 août 1914 au 20 mai 1916. – Le Dépôt de remonte mobile était portion principale de la 8e Compagnie.
Tous les renseignements figurent sur le Journal des marches et opérations de la 8e Compagnie du 18e Escadron du train.
— 21 mai 1916. – Le Dépôt de remonte mobile devient détachement de la 8e Compagnie. Cantonnement à Louppy-le-Chateau (Meuse). » (op. cit., p. num. 6)
«
— 20 décembre 1916. – [...]
Le Détachement quitte la IVe Armée et passe dans la Xe Armée. » (op. cit., p. num. 11)
II. – « 8e Groupe mobile de remonte », formant la « 80e Compagnie » du 18e E.T.E.M.
• Journal des marches et opérations du 8e Groupe mobile de remonte du 18e Escadron du train des équipages militaires (80e Compagnie) – 16 juin 1917 ~ 31 déc. 1917 – : Service historique de la Défense, S.G.A. « Mémoire des hommes », Cote 26 N 1346/5.
— 16 juin 1917 : «
Le 8e Groupe mobile de remonte, qui était rattaché à la 70e Compagnie du 14e Escadron du train des équipages militaires, devient, à dater du 16 juin 1917, unité administrative et prend le titre de 80e Compagnie du 18e Escadron du train des équipages militaires et fait partie de la VIe Armée. »
A cette date, il se composait de :
– 3 officiers : le lieutenant
Fernand Thiéry, commandant ; le sous-lieutenant
Jean-Billard ; le vétérinaire major de 2e classe
Raphaël Guittet ;
– un adjudant ;
– un maréchal des logis-chef ;
– un maréchal des logis-fourrier ;
– un maréchal des logis ;
– un brigadier aide-vétérinaire ;
– un brigadier-fourrier ;
– un brigadier-maréchal ;
– 5 brigadiers ;
– 61 conducteurs.
Disposant à cette date de 379 chevaux et de 119 mulets, il occupait alors la ferme de Mont-de-Soissons, sise sur le territoire de la commune de Serches
(Aisne). Il s’y trouvait encore le 31 décembre 1917.
• Journal des marches et opérations du 8e Groupe mobile de remonte du 18e Escadron du train des équipages militaires (80e Compagnie) – 1er janv. ~ 31 déc. 1918 – : Service historique de la Défense, S.G.A. « Mémoire des hommes », Cote 26 N 1346/6.
— 24 mars 1918 : Le 2e conducteur
Curé (Matricule n° 2.207) est tué à 14 h 30 par un obus lors du bombardement de Braine
(Aisne).
— 27 avril 1918 : Le
8e Groupe mobile de remonte quitte la ferme de Mont-de-Soissons et s’embarque le lendemain à la gare de Berzy-le-Sec
(Aisne) à destination de Gravelines
(Nord).
— 1er mai 1918 : Cantonnement à Looberghe
(Nord), dans la ferme du sieur
Émile Landron.
— 25 juillet 1918 : Embarquement à Bourbourg (Nord) à destination de Sézanne (Marne).
— 27 juillet 1918 : Cantonnement à Baye
(Marne).
— 8 août 1918 : Cantonnement à La Caure
(Marne).
— 24 septembre 1918 : Cantonnement à Villeseneux
(Marne).
— 25 septembre 1918 : Cantonnement à Vitry-la-Ville
(Marne). La compagnie est rattachée à la
IVe Armée.
— 4 octobre 1918 : Cantonnement à Vanault-le-Châtel
(Marne).
— 16 octobre 1918 : Cantonnement à La Neuville-au-Pont
(Marne).
— 12 novembre 1918 : Cantonnement à Vouziers
(Ardennes).
— 21 novembre 1918 : La compagnie passe au
Groupe d’armées Maistre.
— 1er décembre 1918 : Cantonnement à Warmeriville
(Marne).
— 28 décembre 1918 : Cantonnement à Bouy
(Marne), au Camp du Tombeau des Sarrazins.
• Journal des marches et opérations du 8e Groupe mobile de remonte du 18e Escadron du train des équipages militaires (80e Compagnie) – 1er janv. ~ 21 avr. 1919 – : Service historique de la Défense, S.G.A. « Mémoire des hommes », Cote 26 N 1346/7.
— 2 janvier 1919 : Cantonnement à Vitry-la-Ville
(Marne).
— 20 avril 1919 : Dissolution du
8e Groupe mobile de remonte (Ordre du général commandant le 6e Corps d’armée de la VIe Région militaire n° 2.722 en date du 16 avril 1919).
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■ 19e Escadron du train des équipages militaires.
• « Historique du 19e Escadron du train des équipages militaires pendant la campagne 1914 ~ 1918. », Éd. H. Charles-Lavauzelle, Paris, 1921, 49 p.
Gallica —> http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6 ... 1.image.r=
Aucune mention de l’organisation de la remonte au sein du
19e E.T.E.M.
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■ 20e Escadron du train des équipages militaires. – « Dépôt de remonte mobile du 20e Corps d’armée », devenu « 22e Groupe mobile de remonte », formant la « 80e Compagnie » du 20e E.T.E.M.
• « Historique du 20e Escadron du train des équipages militaires pendant la guerre 1914 ~ 1918. », Imprimerie Berger-Levrault, Paris~Nancy~Stasbourg, sans date, 66 p.
Gallica —> http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6 ... 1.image.r=
« SUPPRESSION DU DÉPÔT DE REMONTE MOBILE. — En exécution de l’instruction du général commandant en chef, en date du 22 janvier 1917, n° 17.695, sur la réorganisation des remontes aux armées, le dépôt de remonte mobile du 20e corps d’armée est supprimé le 5 février 1917, et devient 22e groupe mobile de remonte rattaché à la 70e compagnie du 14e escadron du train des équipages (VIe armée) et forme la 80e compagnie du 20e escadron du train des équipages militaires. » (op. cit., p. 23)
• « Historique du 3e Escadron du train des équipages militaires. 1914 ~ 1918. », Édition Petit, Vernon, sans date, 48 p.
Gallica —> http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6 ... 1.image.r=
« En février 1917, le groupe de remonte mobile devient organe d’Armée et passe à la 70e Compagnie du 20e Escadron. » (op. cit., p. 21)
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Bien amicalement à vous,
Daniel.