Forum PAGES 14-18

Bonsoir,
dans quelle caserne se trouvait ce Régiment, à sa constitution, à Troyes en août 1914?

Cordialement.
Jean-Pierre

Bonsoir

Je pense à la caserne Beurnonville où était le dépôt du 37e RI.

Cordialement

Bonjour,

D'autant plus d'accord avec Mikado, que le 37e RI est parti le 1er août 1914 d'une caserne de Nancy (Landremont si j'en crois le JMO), où se trouvait sa portion principale. Il y avait donc assez de place à Beurnonville pour accueillir les réservistes du 37e RI (2e échelon) et ceux du 237e, voire ceux du 47e RIT !

Cordialement
Bernard

Bonsoir,
merci à Mikado et à Bernard.
En effet il est logique logique que le 237e ait occupé les locaux du 37e RI.

Cordialement.
Jean-Pierre

Bonjour,

Le site du Ch'timiste localise le 237e RI à Troyes. Mais il faudrait consulter l'historique du régiment pour en être certain. Le lien vers cet historique indiqué dans Mémoire des hommes ne fonctionne pas.

Cordialement
Bernard

Bonjour à tous,

http://argonnaute.u-paris10.fr/search/r ... e6deb31891

Bonne journée.

Cordialement.

Evelyne.

Bonjour Evelyne

Merci pour ce lien. J'avais essayé par le biais du site de la BDIC, sans aboutir.
L'affaire est donc entendue : c'était bien Troyes.

Ce qui inciter à s'interroger sur le cas du grand-oncle de l'ami Monte-au-Créneau. Mobilisé en août 1914 au 237e, mais resté un certain temps dans la région du Creusot, Decize, Autun : n'était-il pas en sursis d'appel, de par une affectation spéciale du genre employé au chemin de fer ?..

Cordialement
Bernard

re à tous,
Bonjour Bernard,

La fiche du registre matricule (consultable aux AD de son lieu de naissance ou de résidence à ses 20 ans) de même que son livret militaire pourraient en dire davantage.

La toile nous propose :
Le Creusot et ses archives industrielles 14-18.
http://www.rfgenealogie.com/s-informer/ ... s-en-ligne

Autun, possédait des usines pour industrie de l’Armement.
Décize, des houillères, donc probablement métallurgie ou et sidérurgie.

Affecté spécial de par sa profession ou bénéficiant des lois de 1915, la guerre necessitait aussi fournir des munitions.
http://clg-anjou-72.ac-nantes.fr/1418/M ... lbiez.html


Bonne fin de journée.
Evelyne.

re-bonjour Evelyne

Les usines ont été vidées par la mobilisation et on ne s'est préoccupé d'y faire revenir les ouvriers nécessaires à la fabrication des munitions qu'à partir du mois d'octobre 1914. Ce ne devait donc pas être un motif de sursis. Quoi qu'il en soit, c'est là l'affaire de Monte-au-créneau ; qui doit à coup sûr disposer de la fiche matricule et savoir de quoi il retourne.

Cordialement
Bernard

Bonjour,

La fiche est, finalement, assez claire. Il a bien rejoint le 237e à Troyes le 3 août 1914, pour être affecté le lendemain à une compagnie de dépôt (la 30e). Il est donc resté à Troyes, jusqu'à son passage au 29e RI en novembre (Le 29e était à Autun. Au Creusot, il devait s'agir d'un bataillon créé et cantonné là après la mobilisation ).
Le passage au 37e en mars 1915 doit se comprendre comme un retour à Troyes, où était le dépôt commun 37e-237e. D'où son départ au front pour rejoindre le 237e. Ça aurait pu tout aussi bien être le 37e. La 20e compagnie faisait partie du 5e bataillon.
Pour la suite, il faudrait voir.

Cordialement
Bernard