Forum PAGES 14-18

Bonjour à tous

Dans le cadre de nos études en journalisme à l'UCL, nous réalisons
actuellement une vaste enquête autour de la première guerre mondiale
destinée à être publiée sous forme d'un livre dès l'an prochain.

Ma collègue et moi-même avons entre autre à traiter de la retraire d'une
partie de l'armée belge vers les Pays-Bas suite à la prise du fort
d'Anvers.

Nous sommes donc à la recherche de tout témoignage susceptible d'enrichir
nos recherches à ce sujet. Toute personne dont un ancêtre aurait fuit vers
les Pays-Bas, y aurait été emprisonné ou accueilli par des hollandais nous
intéresse.

Si vous connaissez quelqu'un, n'hésitez pas à me contacter soit par mail ([email protected]), soit par téléphone: 0472/224963.

D'avance merci pour votre aide précieuse,

Ce sujet a été déplacé de la catégorie Pages vécues : récits & témoignages vers la categorie Forum Pages d'Histoire par Alain chaupin

Bonsoir, et bienvenue,


Deux références :

— Frère Martial LEKEUX, Franciscain, Commandant d’artillerie : « Mes Cloîtres dans la tempête », Librairie Plon-Nourrit & Cie, Paris, 1922, 301 p.

— P. Martial LEKEUX, Franciscain : « Le patelin de Notre-Dame (Oud-Struyvekenskerke) », Éditions Saint-Michel, Bruxelles, 1927, 191 p., avec des photographies , dessins et schémas hors texte.

Avec cet avertissement liminaire : « Ce livre est vendu pour l’érection d’un calvaire devant Dixmude. »


Édouard Martial Lekeux, né le 19 juin 1884 à Arlon (Belgique) ; décédé en 1962. Élève de l’École royale militaire de La Cambre. Après l’obtention de son brevet d’officier d’artillerie, affecté aux forts de Liège. Abandonnant la carrière militaire, entre comme novice, le 15 septembre 1911, au couvent franciscain de Turnhout et prend le nom de Frère Martial. A la déclaration de guerre, rejoint l’armée belge et participe à toute sa retraite, d’abord vers Anvers, puis vers l’Yser. A Oud-Stuyvekenskerke, au Nord de Dixmude, sert durant de longs mois comme observateur d’artillerie dans une tour dominant un hameau. La paix revenue, retourne dans son couvent, la santé néanmoins très diminuée. Ordonné prêtre le 8 septembre 1920.

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Bien amicalement à vous,
Daniel.

Re,


• « La preuve par le sang. Livre d'or du clergé et des congrégations (1914~1922 », Bonne Presse, Paris, 1925, Tome II., p. 120.