Re: Couteau de poche
Publié : ven. mai 27, 2016 7:50 pm
Bonsoir,
Il faudra alors expliquer pourquoi toutes les troupes chargées des coups de main et autres opérations spéciales dans le monde entier et pour ce qui nous intéresse ici, les unités françaises, britanniques, américaines, italiennes, allemandes, autrichiennes et autres, ont toutes été dotées de couteaux de combat. Cette remarque vaut d'ailleurs pour tous les conflits jusqu'à nos jours inclus.
Il faut donc croire que si le pistolet, la grenade, le lance-flammes, le bidon incendiaire et autres joyeusetés sont bien les armes privilégiées pour ces missions, le couteau a aussi son utilité, n'en déplaise à monsieur Norton-Cru, au brave tonnelier Barthas et à quelques autres "témoins".
Il y a peut-être une dimension psychologique ou du moins agressive qui plaide pour la distribution de ces accessoires. Bien sûr, ce n'est pas dans la littérature humaniste qu'on trouvera la solution mais bien dans les rares écrits qui évoquent la formation de ces "gens à part" qui s'en vont de nuit tenter de faire des prisonniers et d'imposer la terreur aux combattants "ordinaires" qui, eux, c'est vrai, répugnent à porter ces armes et parfois les jettent (pour éviter surtout d'en être porteur en cas de capture).
Sinon, comment expliquer qu'une vingtaine de gaillards décidés et volontaires puisse pénétrer jusque dans les deuxièmes lignes allemandes et d'en ramener de 1 à 20 prisonniers, sans compter ceux qui ont été massacrés dans leurs abris et ceux qui ont fui le contact?
Cordialement,
Guy François.
Il faudra alors expliquer pourquoi toutes les troupes chargées des coups de main et autres opérations spéciales dans le monde entier et pour ce qui nous intéresse ici, les unités françaises, britanniques, américaines, italiennes, allemandes, autrichiennes et autres, ont toutes été dotées de couteaux de combat. Cette remarque vaut d'ailleurs pour tous les conflits jusqu'à nos jours inclus.
Il faut donc croire que si le pistolet, la grenade, le lance-flammes, le bidon incendiaire et autres joyeusetés sont bien les armes privilégiées pour ces missions, le couteau a aussi son utilité, n'en déplaise à monsieur Norton-Cru, au brave tonnelier Barthas et à quelques autres "témoins".
Il y a peut-être une dimension psychologique ou du moins agressive qui plaide pour la distribution de ces accessoires. Bien sûr, ce n'est pas dans la littérature humaniste qu'on trouvera la solution mais bien dans les rares écrits qui évoquent la formation de ces "gens à part" qui s'en vont de nuit tenter de faire des prisonniers et d'imposer la terreur aux combattants "ordinaires" qui, eux, c'est vrai, répugnent à porter ces armes et parfois les jettent (pour éviter surtout d'en être porteur en cas de capture).
Sinon, comment expliquer qu'une vingtaine de gaillards décidés et volontaires puisse pénétrer jusque dans les deuxièmes lignes allemandes et d'en ramener de 1 à 20 prisonniers, sans compter ceux qui ont été massacrés dans leurs abris et ceux qui ont fui le contact?
Cordialement,
Guy François.