Re: VILLE DE VERDUN - Compagnie Havraise Péninsulaire
Publié : lun. janv. 21, 2008 9:28 am
Bonjour Yves,
Bonjour Olivier,
Deux précisions concernant la relation, version française du torpillage :
Dans l'ouvrage de Charles Limonier "Les 110 ans de la Havraise Péninsulaire", l'auteur ne précise pas l"origine du texte retranscrit, même dans les sources bibliographiques mentionnées en fin de livre. Etant donné le style de la narration, je suis enclin à penser qu'il s'agit d'un texte ancien, rédigé pendant ou peu de temps après le conflit.
Concernant la postion donnée dans cette même relation : "Ville de Verdun ne disparaît pas qu’après avoir reçu une deuxième torpille (38°03N et 00°36W)" , la postion n'est pas donnée dans le texte d'origine, c'est moi-même, et vous voudrez bien m'excuser de ne pas l'avoir précisé, qui l'ai rajouté pour une meilleure compréhension de lecture. Ces informations proviennent (je n'ai rien inventé) de la liste des navires coulés par U-Boot qu'Yves connaît bien.
Je répète donc, cette position, et en particilier la longitude qui pose problème n'a pas été donnée par le Cdt Herry, je n'ai fait que l'insérer dans le texte, il est vrai que j'aurais du en faire mention, mais j'étais loin d'imaginer sur le moment que ceci allait nous entraîner vers une enquête plus poussée.
Ceci étant, les interrogations subsistent, l'insistance de Canaris à préciser sa position, faire admettre au Cdt Herry qu'il était bien dans les eaux internationales, et s'il a bien aperçu le cargo sur son bâbord (même si celui ci met la barre à gauche - pour foncer vers la côte ayant vu le sous-marin - ?), que le cargo a pris la torpille par le travers bâbord, le sous-marin était fatalement entre la côte et le cargo, sans doute très près de la côte espagnole...
Et nous ne sommes même pas certain que le bateau soit allé au fond direct.
Et je n'ai toujours pas de photo attestée de Ville de Verdun
Et je me demande toujours quelle est cette épave à 4 mâts dans la coupure de presse.
Et je me dis que Canaris connaît très bien cette côte espagnole (Cf. sujet Sous-marin français dans lequel il est évacué par le U 35 en tant qu'agent de renseignement), et qu'il est sans doute ein gross filou. Il n'en reste pas moins que c'est la seule trace écrite officielle dont nous disposons pour le moment.
Et que le danger sous-marin représenté sur la carte d'Olivier est peut-être bien notre bateau.
En tous les cas, c'est passionnant.
Amicalement et bonne semaine,
Franck
Bonjour Olivier,
Deux précisions concernant la relation, version française du torpillage :
Dans l'ouvrage de Charles Limonier "Les 110 ans de la Havraise Péninsulaire", l'auteur ne précise pas l"origine du texte retranscrit, même dans les sources bibliographiques mentionnées en fin de livre. Etant donné le style de la narration, je suis enclin à penser qu'il s'agit d'un texte ancien, rédigé pendant ou peu de temps après le conflit.
Concernant la postion donnée dans cette même relation : "Ville de Verdun ne disparaît pas qu’après avoir reçu une deuxième torpille (38°03N et 00°36W)" , la postion n'est pas donnée dans le texte d'origine, c'est moi-même, et vous voudrez bien m'excuser de ne pas l'avoir précisé, qui l'ai rajouté pour une meilleure compréhension de lecture. Ces informations proviennent (je n'ai rien inventé) de la liste des navires coulés par U-Boot qu'Yves connaît bien.
Je répète donc, cette position, et en particilier la longitude qui pose problème n'a pas été donnée par le Cdt Herry, je n'ai fait que l'insérer dans le texte, il est vrai que j'aurais du en faire mention, mais j'étais loin d'imaginer sur le moment que ceci allait nous entraîner vers une enquête plus poussée.
Ceci étant, les interrogations subsistent, l'insistance de Canaris à préciser sa position, faire admettre au Cdt Herry qu'il était bien dans les eaux internationales, et s'il a bien aperçu le cargo sur son bâbord (même si celui ci met la barre à gauche - pour foncer vers la côte ayant vu le sous-marin - ?), que le cargo a pris la torpille par le travers bâbord, le sous-marin était fatalement entre la côte et le cargo, sans doute très près de la côte espagnole...
Et nous ne sommes même pas certain que le bateau soit allé au fond direct.
Et je n'ai toujours pas de photo attestée de Ville de Verdun
Et je me demande toujours quelle est cette épave à 4 mâts dans la coupure de presse.
Et je me dis que Canaris connaît très bien cette côte espagnole (Cf. sujet Sous-marin français dans lequel il est évacué par le U 35 en tant qu'agent de renseignement), et qu'il est sans doute ein gross filou. Il n'en reste pas moins que c'est la seule trace écrite officielle dont nous disposons pour le moment.
Et que le danger sous-marin représenté sur la carte d'Olivier est peut-être bien notre bateau.
En tous les cas, c'est passionnant.
Amicalement et bonne semaine,
Franck