272e régiment d'infanterie
1915
JUIN 1915
C'est à ce moment que le 71e bataillon de marche, commandé par le capitaine DYE est adjoint au régiment pour former le 4e bataillon.
Engagé au mois de juin dans les attaques des Eparges - Calonne - ravin de Sonvaux, il résiste aux violentes contre-attaques que l'ennemi lance avec rage contre les positions perdues par lui.
Extrait de l'Historique du 272e régiment d'infanterie pendant la campagne 1914-1918
J.O. du 7 juillet 1915 page 4610
MUTATIONS
M.
DYE, chef de bataillon au 71e régiment d'infanterie, passe au 272e régiment d'infanterie.
M.
DELMERE (
Delmère), sous-lieutenant au 71e régiment d'infanterie, passe au 272e régiment d'infanterie.
M.
CONTREVILLER, sous-lieutenant au 71e régiment d'infanterie, passe au 272e régiment d infanterie.
M.
HOFF, sous-lieutenant au 71e régiment d'infanterie, passe au 272e régiment d'infanterie.
M.
VRAY, sous-lieutenant au 71e régiment d'infanterie, passe au 272e régiment d'infanterie.
J.O. du 21 octobre 1915 pages 7572 et 7573
Citations à l'ordre de l'armée.
Les militaires dont les noms suivent sont cités à l'ordre de l'armée :
BOURGEOIS (Jean-Louis), chef de bataillon au 272e régiment d'infanterie : officier remarquable et d'une rare énergie. Blessé le 24 juin d'un éclat d'obus à la tête, alors que son poste de commandement était soumis depuis quelques jours à un bombardement des plus violents, n'a quitté son poste qu'après avoir assuré le commandement de son bataillon.
MOSSMANN (Antoine-Jean-Pierre), chef de bataillon au 272e régiment d'infanterie : durant les attaques du 20 au 26 juin 1915, a fait preuve d'une grande énergie en restant pendant quarante-huit heures à la tète de son bataillon, bien que blessé d'un éclat d'obus au pied.
QUENTIN-BAUCHART (Pierre), capitaine au 272e régiment d'infanterie : s'est trouvé avec sa compagnie pendant huit mois dans des circonstances particulièrement critiques. Par sa belle attitude au feu, sa bravoure et son courage ; joints à une mâle énergie, a su maintenir sa compagnie, à hauteur de toutes les épreuves.
DELATTRE (François-Marie-Joseph-Charles), capitaine au 272e régiment d'infanterie : officier de beaucoup de valeur, ayant une grande autorité sur ses hommes. S'est trouvé avec sa compagnie pendant huit mois dans des circonstances particulièrement critiques. Par sa belle attitude au feu, sa bravoure et son courage, joints à une mâle énergie, a su maintenir sa compagnie à hauteur de toutes les épreuves.
CHAILLY (Marie-Marcel), médecin-major de 2e classe au 272e régiment d'infanterie : depuis le début de la guerre, a dirigé le service médical du régiment avec une grande compétence. A fait preuve d'une réelle bravoure en allant visiter les hommes dans les tranchées, quoique souffrant. A montré une indomptable énergie en continuant à assurer son service, dans des conditions particulièrement difficiles. Blessé le 20 juin, ne s'est laissé évacuer que sur l'ordre du médecin divisionnaire.

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PERRUISSEAU-CARRIER (Adolphe-André-Joseph), sous-lieutenant au 272e régiment d'infanterie : sur le front depuis le début de la campagne, a fait preuve dans les circonstances les plus difficiles d'un sang-froid et d'une énergie au-dessus de tout éloge. Le 21 juin, lors d'une contre-attaque faite par l'ennemi, a, par son exemple, entrainé sous un feu violent de bombes et de grenades, la troupe qu'il commandait et a ainsi puissamment contribué à repousser l'ennemi.

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GUIDEZ (Henri), sous-lieutenant au 272e régiment d'infanterie : officier très énergique, sur le front depuis le début de la guerre. Chargé de faire une reconnaissance dans un terrain très dangereux, a accompli sa mission avec intelligence et une très grande bravoure. A été très grièvement blessé, est mort des suites de sa blessure.
Henri
GUIDEZ
Mort pour la France le 26 juin 1915 à Verdun - hôpital n°4, (Meuse)
Né le 26 août 1888 à Troisvilles (Pas-de-Calais)
sous-lieutenant au 272e régiment d'infanterie (272e RI)
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Versailles (Yvelines) Matricule au recrutement : 342
Lieu de transcription du décès : Isle-Adam (L') (Val-d'Oise) (ex Seine-et-Oise)
MOUVEAU (Jean-Baptiste-Henri), sous-lieutenant au 272e régiment d'infanterie : officier très énergique et d'une remarquable bravoure, qui se dépense sans compter aux endroits les plus dangereux. Sait communiquer à ses hommes la plus belle ardeur dont il a fait preuve en maintes circonstances.
RUHAUD (Ulrich), adjudant au 272e régiment d'infanterie : le 21 juin, lors d'une contre-attaque, faite par l'ennemi, a, malgré une blessure reçue à la face, gardé le commandement de sa section et contribué, par son sang-froid et son énergie, à enrayer la contre-attaque ennemie.
Ebéniste dessinateur, Il demeure 40 rue d'Auteuil dan le 16e Arr. de Paris, au moment de on passage devant le conseil de révision. Il réside par la suite à Paris dans différents endroits. En 1914, au n° 5 rue de la Félicité dans le 17e Arr.
Passé au 72e régiment d'infanterie compter du 1er octobre 1913 par application de la note confidentielle de M. le Général commandant le 2e Corp d'armée en date du 9 août 1913. Rappelé à l'activité par le décret de mobilisation générale du 1er août 1914, il arrive au corps le 4 août 1914. Nommé caporal le 21 septembre 1914 % du régiment, sergent le 26 octobre 1914, adjudant le 21 décembre 1914 ordre du régiment n° 55 (?)
Tué l'ennemi le 18 juillet 1915 au Bois-Haut (avis officiel "Mort pour la France"
N° matricule au corps : 01506 (272e ou 72e RI)
RUHAUD, Ulrich Francis Benjamin Natalis, né le 22 novembre 1887 à Amiens (Somme), classe 1907, matricule n° 1306, Bureau de recrutement d'Amiens 1R984 Archives de la Somme
RATTIER (Etienne), adjudant au 272e régiment d'infanterie : durant les attaques du 20 au 26 juin, a commandé sa section dans une tranchée soumise à un violent bombardement et plusieurs fois détruite. A su, grâce à son énergie, maintenir chacun à sa place. A été blessé mortellement en observant au-dessus du parapet.
Etienne Jules
RATTIER
Mort pour la France le 22 juin 1915 Éparges (Les) - bois Haut, (Meuse)
Né le 18 juin 1885 à Paris 20e arrondissement
adjudant au 272e régiment d'infanterie (272e RI)
Classe : 1905 - Bureau de recrutement Seine 1er bureau (75) - Matricule au recrutement : 4139
Lieu de transcription du décès : Paris 20e arrondissement
Nommé adjudant le 24 avril 1909. Rappelé à l'activité le 3 août 1914, il rejoint son corps, le lendemain 4 août. N° matricule au régiment d'Amiens : 018003. Il est blessé le 8 octobre 1914 à la Harazée, plaie par éclat d'obus à la jambe gauche.
Tué à l'ennemi, le 22 juin 1915 au Bois-Haut. Secours de 200 francs accordé le 12 septembre 1915 à sa sœur Mlle Rattier.
Sources : archives de la ville de Paris - recrutement militaire de la Seine
RATTIER Etienne Jules matricule 4139 D4R1 1300
GRESSIER (Gaston), sergent au 272e régiment d'infanterie : le 21 juin 1915, lors d'une attaque faite par des troupes d'un autre corps, n'a pas hésite à franchir le parapet pour se mettre à leur tête et combattre avec elles. A été blessé deux fois.
MORO (Jean), sergent au 272e régiment d'infanterie : durant les attaques du 20 au 26 juin, chargé de diriger les travaux de construction d'une tranchée, dans un terrain soumis à un violent bombardement, a, par son exemple et sa belle attitude, doublé l'ardeur de ses hommes. A été grièvement blessé en observant au-dessus du parapet de la tranchée.
BUREAU (Louis), sergent au 272e régiment d'infanterie : le 21 juin 1915, lors d'une attaque faite par des troupes d'un autre corps, n'a pas hésité à franchir le parapet pour se mettre à leur tête et combattre avec elles.
HOLLEVILLE (Aimable), sergent mitrailleur au 272e régiment d'infanterie : le 22 juin, un blockhaus de mitrailleuses, voisin de celui qu'il occupait, ayant été détruit par un obus, le chef de pièce et les deux servants ayant été blessés, est allé dégager la pièce enfouie, malgré la violence du bombardement et d'un feu d'infanterie des plus intenses, et a remis la pièce en batterie. A montré un complet mépris du danger et un sang-froid remarquable.

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BONVALLET (Joseph), caporal au 272e régiment d'infanterie : durant les attaques du 20 au 26 juin, désigné comme chef de demi-section, a montré le plus grand sang-froid et une rare énergie dans une tranchée soumise à un violent bombardement, donnant ainsi à tous un bel exemple de courage. A été mortellement blessé.
Joseph Albert Anselme
BONVALET
Mort pour la France le 24 juin 1915 au Bois-Haut (Meuse) Tué à l'ennemi
Né le 4 avril 1883 à Moyenneville (Somme)
caporal au 272e régiment d'infanterie
Classe 1903 - Bureau de recrutement d'Abbeville (Somme) - Matricule au recrutement : 796
Acte de décès transcrit le 24 août 1917 à Paris (15e arrondissement)
Serrurier à Abbeville, c'est un jeune homme d'un mètre 60, d'un degré d'instruction de niveau 3, qui se présente devant le conseil de révision du canton d'Abbeville-Sud en 1903. Il a les cheveux et les sourcils châtains, les yeux gris, le menton rond, sur un visage ovale.
Bon pour le service, il effectue son temps au 6e régiment de chasseurs entre novembre 1904 et juillet 1907.
Il demeure à Paris dès 1908, sa dernière adresse, en 1914, est au 150, rue Félix-Faure, dans le 15e arrondissement.
Il passe au 72e d'infanterie comme conducteur par décision du Général commandant le 2e Corps d'armée en date du 25 mars 1914.
Quatre mois plus tard, il est rappelé à l'activité pour répondre à l'ordre de mobilisation générale du 1er août 1914. Il est nommé caporal, le 1er mai 1915, % du régiment n° 90 du 272e d'infanterie en campagne. Il est tué à l'ennemi, le 24 juin 1915 au combat du Bois-Haut, et inhumé au cimetière de l'ouvrage de Mouilly 11 à 65, fosse N°2 1ère couche fond (sans N°). Le père a reçu, le 10 juin 1916, un secours de cent cinquante francs.
Cité à l'ordre de l'armée le 11 septembre 1915 (Journal officiel du 21 octobre 1915) Croix de guerre avec palme.
Bonvalet, Joseph Albert Anselme, né le 4 avril 1883 à Moyenneville (Somme), classe 1903, matricule n° 796, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R953 Archives de la Somme
BAUDINIERE (Aimé), caporal au 272e régiment d'infanterie : placé à un poste des plus périlleux, y est resté pendant six jours, du 20 au 26 juin, malgré un feu particulièrement violent d'artillerie et d'infanterie. A donné à ses hommes un bel exemple de courage et d'énergie. A été grièvement blessé.
BAUDINIERE (Aimé)Né le 23 mars 1876 à Lauthiers (Vienne)
Rappelé à l'activité lors de la mobilisation au 69e régiment territorial d'infanterie le 7 août 1914 - N° matricule 732 au corps (69e RIT), il passe au 12e R.I.T. le 11 décembre 1914. Tant sa fiche "Mémoire de Hommes" que on feuillet matricule conservé aux archives départementales de la Vienne lui donnent une appartenance au 12e régiment d'infanterie territorial n° matricule 250 bis. Mais d'évidence, ce gradé (caporal), a bien été versé au 272e d'infanterie à une date inconnue.
Décédé le 21 juin 1915 au Bois de Paleroix (Meuse) des suites de blessure de guerre, il est inhumé au cimetière de la clairière de Paleroix tombe Z 3 C 116 - avis ministériel C E n°11111 du 1er juillet 1915 - "Mort pour la France". secours immédiat de 150 francs accordé le 2 décembre 1915 à sa veuve résidant à Rhodon (Loir-et-Cher)
Acte de décès transcrit le 13 août 1915 à Rhodon (Loir-et-Cher)
archives départementales de la Vienne - classe 1896 Matricules 500-1000 matricule 631 au recrutement de Châtellerault.
PETIT (Albert), soldat de 2e classe au 272e régiment d'infanterie : d'une bravoure et d'un courage remarquables. Tireur excellent, a, pendant les attaques de l'ennemi dans les journées des 21, 22 et 23 juin 1915 occupé un poste des plus périlleux, au-dessus du parapet et tué de sa main plusieurs ennemis.
(ordre du 11 septembre 1915)

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J.O. du 7 juin 1921 page 2564 et suivantes
21 juin 1915
COUTILLARD (Raphaël-Louis), matricule 17888, soldat : soldat courageux et dévoué. Tombé glorieusement, le 21 juin 1915, au bois Haut, en accomplissant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.
GALLET (Alfred-Oscar-Arthur), matricule 3617, soldat : soldat courageux et dévoué, d’une bravoure réputée. Tué à son poste de combat, dans la tranchée, au cours d’un violent bombardement, le 21 juin 1915, au bois Haut. Croix de guerre avec étoile d’argent.
OSTERMANN (Auguste-Emile), matricule 4020, soldat : soldat brave et dévoué. Tué au cours d’un violent bombardement, le 21 juin 1915, au Bois Haut, en accomplissant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile d’argent.
22 juin 1915
DUHAUPAS (Antoine-Adolphe), matricule 017781, soldat : soldat brave et dévoué. Tué, le 22 juin 1915, au Bois Haut, en accomplissant courageusement son devoir sous un violent bombardement. Croix de guerre avec étoile de bronze.
GANDON (Adolphe-Alphonse-Joseph), matricule 14391 bis, soldat : soldat courageux et dévoué, frappé mortellement à son poste de combat, Le 22 juin 1915, au bois Haut, en résistant à une contre-attaque allemande. Croix de guerre avec étoile de bronze.
23 juin 1915
GOSSARD (Edouard), matricule 012225
bis, soldat : bon et brave soldat. Tué, le 23 juin 1915, au bois Haut, en accomplissant courageusement tout son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.
24 juin 1915
LE DRÉAN (Louis-Marie), matricule 3623, soldat : soldat courageux et dévoué, remarquable par son entrain et son sang-froid. Mortellement blessé, le 24 juin 1915, au bois Haut, au cours d’une patrouille exécutée dans les lignes ennemies. Croix de guerre avec étoile d’argent.
26 juin 1915
QUENEL (Charles), matricule 010627
bis, soldat : soldat brave et dévoué. Frappé mortellement, le 26 juin 1915, au Bois Haut. Croix de guerre avec étoile de bronze.
27 juin 1915
POQUET (Maximilien-Rodolphe) matricule 4532
bis, soldat : bon et brave soldat. Tué le 27 juin 1915, au Bois Haut, en se portant courageusement à l’attaque des positions ennemies. Croix de guerre avec étoile d'argent.
28 juin 1915
DUMONT (Ernest), matricule 3072
bis, soldat : soldat courageux et dévoué. Blessé grièvement, le 28 juin 1915, à son poste de combat, aux Eparges. Croix de guerre avec étoile de bronze.
3 juillet 1915
CRAMPON (Raoul), matricule 017499, soldat : soldat brave et dévoué. Mortellement blessé, le 3 juillet 1915, au bois Haut, en accomplissant tout son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.
9 juillet 1915
HADROT (Alfred-Louis), matricule 02932, soldat : brave soldat. Tué à son poste de combat, dans la tranchée, le 9 juillet 1915, au Bois Haut, au cours d’un violent bombardement. Croix de guerre avec étoile d’argent.
10 juillet 1915
LEMOINE (Emile-Léon-Alfred), matricule 265
bis, soldat : bon et brave soldat. Tué glorieusement, le 10 juillet 1915, au Bois Haut, à son poste de combat. Croix de guerre avec étoile de bronze.
15 juillet 1915
GARLEN (Yves-Marie), matricule 6146, caporal : caporal courageux et dévoué. Blessé grièvement, le 5 juillet 1915, au Bois Haut. Mort pour la France des suites de ses blessures, le 15 juillet 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.
17 juillet 1915
ALIX (Joseph-Marie), matricule 09168 bis, soldat : soldai courageux et dévoué. Tué, le 17 juillet 1915, au bois Haut, en se portant résolument à l’attaque des positions ennemies. Croix de guerre avec étoile d’argent.
DION (Camille-Ambroise), matricule 3583, soldat : bon et brave soldat. Tué, le 17 juillet 1915, au bois Haut, en résistant courageusement à une violente attaque ennemie. Croix de guerre avec étoile d'argent.
NEUREUIL (Alfred), matricule 3482, soldat : brave soldat, d'une belle attitude au feu. Tué glorieusement à son poste de combat, le 17 juillet 1915, au bois Haut. Croix de guerre avec étoile d’argent.
THOMAS (François), matricule 01901 bis, soldat : soldat brave et dévoué. Tué le 17 juillet 1915, au Bois Haut, en accomplissant courageusement son devoir, au cours d une charge à la baïonnette. Croix de guerre avec étoile d’argent.
TOULLEC (Jean-Pierre), matricule 06021, adjudant : vaillant sous-officier, modèle de sang-froid et d’abnégation. tué, le 17 juillet 1915, au Bois Haut, en entraînant sa section à l'assaut d’une tranchée ennemie, que l’exemple de son sacrifice contribua à enlever à l’ennemi. Croix de guerre avec étoile d'argent.
ALLE0SSE (François), matricule 5624, soldat : brave soldat. Mortellement blessé, le 17 Juillet 1915, au Bois Haut, en accomplissant avec courage et dévouement ses fonctions d’agent de liaison. Croix de guerre avec étoile de bronze.
ANGOT (Charles-Alexandre), matricule 14154, soldat : soldat courageux et dévoué. Tué à son poste de combat, le 17 juillet 1915, au Bois Haut, en accomplissant courageusement tout son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.
BAILLON (Abel-Marie-Charles-Georges), matricule 18017
bis, caporal : caporal très courageux et très dévoué. Tué glorieusement, le 17 juillet 1915, au Bois Haut. Croix de guerre avec étoile de bronze.
COIGNARD (Jean-Louis), matricule 18108, soldat : brave soldat. Tué à son poste de combat, le 17 juillet 1915, au Bois Haut, en accomplissant courageusement son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.
DEJARDIN (Albert-Paul-Eugène), matricule 929, soldat : soldat brave et dévoué. Mort glorieusement pour la France, le 17 juillet 1915, au Bois Haut. Croix de guerre avec étoile de bronze.
GUIZIER (Jean-Baptiste), matricule 15020, soldat : bon et brave soldat. Tué, le 17 Juillet 1915, au Bois Haut, en résistant courageusement à une attaque ennemie. Croix de guerre avec étoile de bronze.
TOUL (Jean-Louis-Marie), matricule 34827
bis, soldat : brave soldat. Tué, le 17 juillet 1915, au Bois Haut, en résistant courageusement à une attaque ennemie. Croix de guerre avec étoile de bronze.
18 juillet 1915
PARIS (Félix-Victor), matricule 016273, soldat : soldat ayant eu au feu une belle attitude. Tombé au champ d’honneur pour le salut de la patrie, le 18 juillet 1915, au Bois Haut. Mort en brave. Croix de guerre avec étoile d’argent.
GORLIEZ (Paul-Georges), matricule 013816, soldat : brave soldat. Tué à son posta de combat, le 18 juillet 1915, au Bois Haut, au cours d’un violent bombardement où il fit vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.
LE NAOUR (François-Charles Marie-Joseph), matricule 15702
bis, soldat : soldat brave et dévoué. Tué à son poste de combat, le 18 juillet 1915, au Bois Haut, en accomplissant courageusement tout son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.
19 juillet 1915
DELATOUCHE (Alphonse), matricule 10182, caporal : caporal courageux et dévoué, d’une superbe attitude au feu. Tué, le 19 juillet 1915, au Bois Haut. Croix de guerre avec étoile de bronze.
J.O. du 7 juin 1921 page 2565
14 août 1915
ERARD (Constant-Jules Marie), matricule 5708, soldat : brave soldat. Tué à son poste de combat, le 14 août 1915, au bois des Chevaliers *, en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.
* Bois des Chevaliers (près Vaux-lès-Palameix)
J.O. du 4 janvier 1915 page 109
MILAN (Gustave-Désiré), matricule 01225, caporal : brave caporal. Tombé pour la France en accomplissant avec courage une mission périlleuse au cours du combat des Hauts-de Meuse, la 21 juin 1915. A été cité.