Re: 2 RMLE 8 fusillés le même jour? (Fusionné avec "Révolte juin 1915")
Publié : lun. nov. 21, 2016 5:13 pm
Bonjour,
dans le récit publié dans les nouvelles socialistes traitant de meric et de sembat, il y a suffisamment d'incohérence pour penser que le témoin ne l'était pas. La confusion entre le 2/2 et le 2/1 (qui lui est engagé à carency est fréquente) or il est impossible que des soldats du 2/2 aient parlé de cette affaire qui a lieu dans le nord (du cote de la crête de Vimy) où le 2/2 n'a jamais été, autrement dit le témoin mélange deux regiments de marche. Autrement dit sa relation de ses conversations avec "TIMANXIAN" relèvent d el'affabulation la plus totale.
Meric parle aussi de missions aussi dangereuses qu'inutiles et qu'on le sfaisaits tuer systématiquement, la lecture des JMO fait plutôt apparaitre un régiment plutôt moins exposé que beaucoup d'autres (dont le 2eme de marche du 1ere Etranger)
dans la relation des évènements il est écrit que le lieutenant sandré aurait roué de coups les legionnaires russes ivres. Tout est toujours possible, mais Sandré est le commandant de la 3eme compagnie, le slégionnaires cités ne font pas partie de son unité, mais j'avoue avoir du mal a voir un offcier de légion rouer de coups des ivrognes, d'abord le systeme légion permet de faire executer ce genre de correction par un sous officier ou un gradé, mais en outre ce n'est pas dans le mode de "fonctionnement" de la légion étrangère, l'officier commande et délègue,
Concernant les interrogatoires, la relation des faits tels qu'on peut la lire dans le compte rendu faisant partie du dossier MDH ne correspond pas a ce qui semble s'être passé, le témoin aurait du voir la révolte de sprévenus (qui peut se comprendre) elle a d'ailleurs semble t'il été suffisamment importante pour que la lecture du jugement ait été faite hors la présence des prévenus. Meric affirme avaoi pu parler avec "Timanxian" après la condamnation celle ci a eu lieu de nuit sans la présence des condamnés, difficile dans ce cas de parler, et l'affirmation d'envoyer un télégramme, dans la zone de l'avant par un prévenu laisse rêveur!
Par ailleurs Meric mélange les temps, en effet M Sembat n'est ministre que de 1914 au 12 décembre 1916 autrement dit la disparition de stombes aurait eu lieu après l'entrevue, le secrétaire dont il ne donne pas le nom (mais il semble y avoir une proximité entre celui ci et Sembat) ferait penser à son chef de cabinet: Leon Blum, on ne donne pas le nom mais....
Des ordres auraient été donnés pour que l'exécution n'ait pas lieu, Sembat aurait été prévenu par Hervé! si on prend la chronologie de sfaits entre la révolte, la decision de réunir un CGS en réalité quelques heures après les faits, la réunion dans un délai extrèmement court la condamnation et l'exécution dans la foulée, cela semble de splus problématiques, qu'après les faits il y ait eu intervention c'est fort possible, mais entre la condamnation à minuit et l'execution à 15 Heures? un ministre des travaux publics qui n'est pas du même bord que le président n'a vraisemblablement pas porte ouverte à l'élysée. On peut jusqu'à preuve du contraire mettre en doute la relation faite par Meric. Car là encore on se trompe avec Carency, or si hervé a été prévenu, nul doute que son interlocuteur s'est identifie par son unite, sa division et sa localisation or même mauvais en géographie il est difficile de confondre la champagne et le Nord Pas de Calais.
Ce récit est vraisemblablement un récit de "seconde main" (comme celui publié dans l'humanité). mais fait état de faits réels déformés et amplifiés
Cordialement
Pierre
PS je devrai recevoir dans les quinze jours a venir des documents concernant G Elfand
dans le récit publié dans les nouvelles socialistes traitant de meric et de sembat, il y a suffisamment d'incohérence pour penser que le témoin ne l'était pas. La confusion entre le 2/2 et le 2/1 (qui lui est engagé à carency est fréquente) or il est impossible que des soldats du 2/2 aient parlé de cette affaire qui a lieu dans le nord (du cote de la crête de Vimy) où le 2/2 n'a jamais été, autrement dit le témoin mélange deux regiments de marche. Autrement dit sa relation de ses conversations avec "TIMANXIAN" relèvent d el'affabulation la plus totale.
Meric parle aussi de missions aussi dangereuses qu'inutiles et qu'on le sfaisaits tuer systématiquement, la lecture des JMO fait plutôt apparaitre un régiment plutôt moins exposé que beaucoup d'autres (dont le 2eme de marche du 1ere Etranger)
dans la relation des évènements il est écrit que le lieutenant sandré aurait roué de coups les legionnaires russes ivres. Tout est toujours possible, mais Sandré est le commandant de la 3eme compagnie, le slégionnaires cités ne font pas partie de son unité, mais j'avoue avoir du mal a voir un offcier de légion rouer de coups des ivrognes, d'abord le systeme légion permet de faire executer ce genre de correction par un sous officier ou un gradé, mais en outre ce n'est pas dans le mode de "fonctionnement" de la légion étrangère, l'officier commande et délègue,
Concernant les interrogatoires, la relation des faits tels qu'on peut la lire dans le compte rendu faisant partie du dossier MDH ne correspond pas a ce qui semble s'être passé, le témoin aurait du voir la révolte de sprévenus (qui peut se comprendre) elle a d'ailleurs semble t'il été suffisamment importante pour que la lecture du jugement ait été faite hors la présence des prévenus. Meric affirme avaoi pu parler avec "Timanxian" après la condamnation celle ci a eu lieu de nuit sans la présence des condamnés, difficile dans ce cas de parler, et l'affirmation d'envoyer un télégramme, dans la zone de l'avant par un prévenu laisse rêveur!
Par ailleurs Meric mélange les temps, en effet M Sembat n'est ministre que de 1914 au 12 décembre 1916 autrement dit la disparition de stombes aurait eu lieu après l'entrevue, le secrétaire dont il ne donne pas le nom (mais il semble y avoir une proximité entre celui ci et Sembat) ferait penser à son chef de cabinet: Leon Blum, on ne donne pas le nom mais....
Des ordres auraient été donnés pour que l'exécution n'ait pas lieu, Sembat aurait été prévenu par Hervé! si on prend la chronologie de sfaits entre la révolte, la decision de réunir un CGS en réalité quelques heures après les faits, la réunion dans un délai extrèmement court la condamnation et l'exécution dans la foulée, cela semble de splus problématiques, qu'après les faits il y ait eu intervention c'est fort possible, mais entre la condamnation à minuit et l'execution à 15 Heures? un ministre des travaux publics qui n'est pas du même bord que le président n'a vraisemblablement pas porte ouverte à l'élysée. On peut jusqu'à preuve du contraire mettre en doute la relation faite par Meric. Car là encore on se trompe avec Carency, or si hervé a été prévenu, nul doute que son interlocuteur s'est identifie par son unite, sa division et sa localisation or même mauvais en géographie il est difficile de confondre la champagne et le Nord Pas de Calais.
Ce récit est vraisemblablement un récit de "seconde main" (comme celui publié dans l'humanité). mais fait état de faits réels déformés et amplifiés
Cordialement
Pierre
PS je devrai recevoir dans les quinze jours a venir des documents concernant G Elfand