Forum PAGES 14-18

Bonjour à tous

Bonjour Fernande.
J'ai été comme vous un peu surpris de cette.... frivolité sur notre site.
Et pourtant...
J'ai sous les yeux quelques croquis de Pierre Dantoine, avec ses légendes en occitan.
Oui, nos poilus plaisantaient comme nos ancêtres les gaulois. Et je suis sûr que c'était un des moyens pour garder le moral.

L'humour cache parfois le désespoir.

A bientôt Fernande et à tous
Fernand

PS. moi quand je dis que l'eau but éclate, je me fais incendier... je n'ai toujours pas compris

C'est vrai au début ça surprend toujours!
Mais pour répondre à Fernand ; comme disait l'aumonier " mieux vaut le vin d'ici que l'aù -delà "
les journaux de tranchée n'étaient pas si triste que ça,et pourtant !! il n'y avait pas de quoi rire
Alors rions sans contrainte

cordialement
alain

Bonjour,

Décembre 1914... Deux engagés volontaires au fond de leur cagna:
-Hé Auguste! Pourquoi tu t'es engagé toi?
-Ben parce que je suis célibataire et que j'aime la guerre! Et toi?
-Ben... Parce que je suis marié et que je voulais la paix!

Cordialement.

Bonjour,

21 février 1916, une sentinelle française est à son poste dans le secteur de Verdun...
Quelqu'un s'approche:
-Mot de passe!
-Lebel
-C'est bon, tu peux passer!
Un peu plus tard, une autre personne s'approche:
-Mot de passe!
-Faucon.
-Mais non, c'est pas faucon, c'est Lebel... Bon, passe!

Cordialement.

Re bonjour!

C'est le générallissime Joffre qui inspecte les rangs lors d'une grande cérémonie
en mai 1918...
Il s'approche d'un détachement de Tommies prend le fusil d'un soldat
et lui met un grand coup dans de crosse dans le ventre.
Le soldat ne bronche pas et le général lui demande :
- Vous avez mal soldat?
- No Sir!
- Pourquoi n'avez-vous pas mal soldat?
- Parce que les soldats britanniques ne craignent pas la douleur, Sir!
Il s'approche alors d'un détachement de doughboys, prend le colt d'un soldat
et lui met un grand coup dans la machoire. Le soldat ne bronche pas et le général lui demande :
- Vous avez mal soldat?
- No Sir!
- Pourquoi n'avez-vous pas mal soldat?
- Parce que les soldats américains ne craignent pas la douleur, Sir!
Il s'approche alors du détachement français, prend la baïonnette d'un poilu et la lui plante dans le pied.
Le soldat ne bronche pas et le général lui demande :
- Vous avez mal soldat?
- Non mon général!
- Pourquoi n'avez-vous pas mal soldat?
- Parce que je chausse du 39 et ces cons de l'intendance m'ont donné du 45!!!

Cordialement.

Bonsoir,
Je l'ai déjà racontée aussi la mets-je en citation

Vous la connaissez peut-être (surement) et vous me permettrez de la raconter avec un "je" impersonnel, pour faire plus vrai. Bref !
"Mon grand'père -qui avait fait 14- avait l'habitude à la fin des repas de famille de nous raconter sa grande guerre : il s'appropriait un coin de table, et utilisait ce qu'il avait sous la main pour représenter divisions et régiments : tout y passait, et notamment la cafetière, les tasses, et pour les petites unités, les morceaux de sucre. Seulement, pendant ce temps là, le café déjà versé refroidissait, si bien qu'un jour n'y tenant plus, je pris un sucre dans la ligne de front et le plongeait dans ma tasse. La réaction de mon grand' père fut instantanée :
- Aussi c.. que Joffre !"

Cordialement
Alain

Bonsoir à toutes et tous,
et bonsoir Alain,
Celle-ci, je l'adore!!!! Et non, je ne la connaissais pas!
Bien cordialement.

Pappy.

Bonsoir à toutes et tous,

Commençons l'année en fanfare!!!

Trois poilus rentrent du front en piteux état. Ils sont convoqués au Ministère de la Guerre. Un officier supérieur leur dit:
" Soldats, vu vos états de service exceptionnels, Monsieur le Président de la République Poincaré a décidé de prélever une coquette somme sur sa cassette personnelle. Il sera donc versé une prime exceptionnelle à chacun d'entre vous. Pour en déterminer le montant, vous allez choisir une distance entre deux points de votre corps. Le major, ici présent, la mesurera et la multipliera par cent. Cela donnera le montant de votre prime."
Le médecin se dirige vers le premier soldat:
" Je choisis la distance de mon nez au pied qui me reste, Major ! "
Le médecin mesure:
" 150 cm! "
Le médecin se dirige vers le second poilu qui lève soudainement le bras qui lui reste:
" Je choisis la distance de mes orteils au bout de mon majeur, Major ! "
Le colonel se dit que cet homme est très malin...
Le médecin se dirige enfin vers le dernier poilu...
Le poilu réfléchit un instant, baisse son pantalon et dit :
" Mesurez la distance du bout de mon sexe jusqu'à mes bijoux de famille, Major. "
Le colonel est surpris et pense que le soldat va faire une bien mauvaise affaire ...
Le médecin prend son mètre, le pose sur le bout du sexe du soldat et s'écrie :
- " Mais !!!! Où sont vos "attributs" soldat??????!!!!!!!! "
- " A Salonique, Major !!!! ".

Bien cordialement.

Pappy.

Bonsoir à toutes et tous,

Lors d'une commémoration, dans les années 60, un jeune homme accompagne son grand-père... Vient le moment de l'apéritif offert par la municipalité...
A force de siroter des sodas américains, le jeune homme va aux toilettes. Il remarque que le vieux Monsieur du pissoir d'à côté, a deux jets.
- Heu... Excusez-moi Monsieur mais comment se fait-il que....?
- Ah ça mon p'tit gars c'est une blessure de guerre! De la Grande Guerre!!!
Une heure plus tard, il revient aux toilettes et voit un autre vieux Monsieur, au pissoir d'à côté, qui fait trois jets.
- Heu... Excusez-moi Monsieur mais comment se fait-il que....?
- Ça? C'est une vieille blessure de guerre, gamin! De la Grande Guerre!!!
Encore une heure après, il y retourne et voit un autre vieux Monsieur qui a quinze jets de pipi. Il lui demande:
- C'est une vieille blessure de la Grande Guerre, vous aussi?
- Non, c'est juste que je suis trop bourré pour baisser ma braguette...

Cordialement

Pappy

Bonjour à toutes et à tous,

1917, une compagnie du 42ème R.I. au repos...
Un sergent réunit ses hommes sur la place du rapport.
-Gaaaaaaaarde à vous! Repos! Gaaaaaaarde à vous! Repos! Gaaaaaarde à vous! Présenteeeeeeeeeez arme! Reposeeeeeeez arme! Repos...
Après vérification, deux soldats manquent à l'appel. Tout à coup le sergent aperçoit à une des fenêtre du bâtiment d'en face une abominable paire de fesses toute poilue qui s'agite...
-Ah cré vin diou de cré vin diou! Tas de salauds! Vous allez me payer ça!!!!!
Le sergent se dirige vers le bâtiment en question, monte les escaliers quatre à quatre et pénètre dans la pièce en question. Là il aperçoit deux gars dont un est en train de remonter son bénard.
-Tas de cochons! J'vais vous apprendre à vivre moi!!! Vous m'ferez huit jours!!! Et vous avez de la chance que le lieutenant n'ai pas vu ça!!!!
-Ben... Justement sergent... Le lieutenant est passé... Et... Il a vu...
-Sacré bon dieu de sacré bon dieu!!!! Et qu'est-ce qu'il a dit????
-Ben il a dit: Bonjour sergent!!!!!!

Cordialement

Pappy