Bonjour
Christophe, je suis naturellement preneur des préposés des 68 et 90e et de leurs réserves.
N'hésite pas à penser à moi (ce que tu as d'ailleurs fait dans l'annonce). Je t'en suis déjà reconnaissant
Cordialement
Jérôme Charraud (qui prévoit un colis pour bientôt)
Bonsoir Jérôme,
Tu penses bien que je n'ai pu résister au plaisir d'indiquer un des régiments objet de ton attention !
Pour le 68 RI :
BES A expéditionnaire à Poitiers, lieutenant au 68è RI : A fait prendre avec calme, au cours d'un vif bombardement ennemi, des mesures de sécurité indispensables, évitant ainsi des pertes à sa compagnie. (Ordre du régiment 19-12-1915)
JOYET H surnuméraire à Paris-Téléphone, soldat téléphoniste au 68è RI : En réparant les lignes téléphoniques, le 25 septembre, a été légèrement blessé par un obus. A conservé tout son sang-froid et n'a consenti à aller se reposer qu'une fois sa mission terminée et la communication rétablie. (Ordre du régiment 31-10-1915)
Pour le 90 RI :
BEYT expéditionnaire à Châteauroux était présumé prisonnier, inscrit pour la Médaille militaire et titulaire de la citation suivante : Sous-officier remarquable par son courage et son sang-froid. A fait preuve, pendant les journées des 21 et 22 avril, de qualités exceptionnelles d'initiative et de décision. A brillamment contribué à la belle tenue de sa section. (Ordre de la brigade 02-05-1916)
Pour le 290 RI :
DARDANT G facteur rural à Mézières en Brenne (Indre), sergent au 290è RI : Tué à l'ennemi le 28 avril 1915 pendant l'attaque des positions allemandes (ordre de la brigade 08-04-1916)
Pour le 268 RI :
BOUTIN PJ facteur des postes à Créteil (Seine), sergent au 268è RI : Sous-officier très brave, très énergique et courageux. A fait preuve de beaucoup de sang-froid en maintenant ses hommes sous un violent bombardement d'obus de gros calibre, dasn les journées des 27 et 28 avril 1916. (ordre de la brigade 10-05-1916)
Voilà, pour l'instant c'est toi qui gagne le jackpot
Merci d'avance pour le cadeau qui est toujours le bienvenue, j'ai aussi quelque chose pour toi.
Amicalement,
Christophe