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Bonjour,Le cuirassier n'a pas de de col blance mais son casque et légérement différent.




Désolé je n'ai pas d'autre photos

Bonjour à tous.

Les cuirassers sont très durs à identifier [:nico56:5] si ce n'est grâce à sa cuirasse.
En revenche rien de plus facile que les dragons qui ont non seulement le col blanc mais aussi tous les "parements".
Contrairement à une idée reçue tous les militaires sur photo portant des casques ne sont pas des Dragons ou des cuirassers. Il y a parfois également des chasseurs (d'Afrique par ex).

Bonjour,

Je possède cette photo de dragon, ni datée ni située. Est-il possible de savoir si elle date de la guerre ou d'avant guerre grâce à des détails que je ne connais pas ?

Merci d'avance.

Cordialement,
Frédéric S.

Je pencherais pour une photos de début de guerre, où quelques années avant.

Bonjour pour moi aussi tout début de la guerre ou quelques mois avant.
C'est une photo magnifique car on y voit l'éaquipement type du dragon, équipement qu'il a vite abandonné face aux mitrailleuses.
On peut y voir la pique, arme traditionnelle issue du XVe siècle et un magnigique couvre ches de combat.
[:nico56] de nous avoir fait profiter de ce chef d'oeuvre.
Nico [:nico56:2]

Re
ci joint un casque de cuirassier pour le fun.
JPierre.

Sur les photos, impossible de distinguer le casque, il reste donc le col.

Avec le calot, c'est plus facile, qu'en pensez-vous, Dragon ?

bonjour,
voici une carte postale de Longwy avant 1914
Cordialement
Martial Vanier

Bonsoir
Effectivement facile à reconnaître
Cordialement.
JPierre.

Bonsoir à tous,

Qu'est-ce qui a pu motiver l'exécution du soldat Gaston Léon Eugène BERTHE du 28e régiment de dragons fusillé par les Allemands le 9 mars 1916 à La Capelle (Aisne) ?
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... C=97457082

En consultant l'ouvrage de Marc Blancpain, Quand Guillaume II gouvernait "de la Somme aux Vosges", Librairie Arthème Fayard, 1980, on peut lire dans le chapitre 3 La Chasse aux hommes (page 114) :
"Quelques mois plus tôt, le soldat Poquerus, rentré chez lui à La Ville-au-Bois, est dénoncé par une voisine. Arrêté, il est fusillé à Noircourt et le curé Blériot, qui l'assiste, s'entend signifier qu'il sera fusillé lui aussi si la population apprend la mort de Poquerus.
En janvier 1916, ces "exemples" se multiplient et les affiches apprennent "à bon entendeur" qu'un soldat français "caché" a été fusillé à La Fère, un autre à Saint-Richaumont, un troisième, et un quatrième à Vervins, un cinquième, Moraux, le 9 mars, à La Capelle : Moraux ne s'est pas livré à l'autorité allemande dans les délais prescrits."

La date et le lieu semblent coïncider avec ce dernier cas. Le soldat BERTHE a-t-il été condamné pour les mêmes raisons ? Ou serait-ce le même avec un nom d'emprunt MORAUX ou MOREAUX, nom usité dans les Ardennes ?

Cordialement
Eric