Re: VAUBAN — Éclaireur auxiliaire, ex-chalutier.
Publié : dim. mai 24, 2015 5:42 pm
Bonjour,
L'extrait de texte de Charles Le Goffic, dans la revue Messidor du 20 février, présenté ci-dessus par Rutilius, était publié sous le titre : "Visions de guerre", et pour sous-titre, "autrefois et aujourd'hui".
"Aujourd'hui" : c'étaient les lignes se rapportant à la perte de l'Algorta, suivi de celle de l'Ymer avec l'odyssée du canot de l'île d'Yeu (cf sujet dans le forum). Des navires coulés dont l'équipage est abandonné en pleine mer.
"Autrefois", c'était le combat, le 6 décembre 1779, entre la frégate française La Surveillante et la frégate britannique Québec qui vit le naufrage de cette dernière. Les survivants, recueillis par les Français, contribuèrent aux réparations de La Surveillante et furent reconnus comme naufragés et non comme prisonniers par Du Couëdic, commandant la Surveillante, puis par le ministre Sartine.
L'ensemble du texte était d'abord paru dans le numéro du 13 février 1917 de la dépêche de Brest, sous le titre : "Sur la côte bretonne".
Cordialement.
L'extrait de texte de Charles Le Goffic, dans la revue Messidor du 20 février, présenté ci-dessus par Rutilius, était publié sous le titre : "Visions de guerre", et pour sous-titre, "autrefois et aujourd'hui".
"Aujourd'hui" : c'étaient les lignes se rapportant à la perte de l'Algorta, suivi de celle de l'Ymer avec l'odyssée du canot de l'île d'Yeu (cf sujet dans le forum). Des navires coulés dont l'équipage est abandonné en pleine mer.
"Autrefois", c'était le combat, le 6 décembre 1779, entre la frégate française La Surveillante et la frégate britannique Québec qui vit le naufrage de cette dernière. Les survivants, recueillis par les Français, contribuèrent aux réparations de La Surveillante et furent reconnus comme naufragés et non comme prisonniers par Du Couëdic, commandant la Surveillante, puis par le ministre Sartine.
L'ensemble du texte était d'abord paru dans le numéro du 13 février 1917 de la dépêche de Brest, sous le titre : "Sur la côte bretonne".
Cordialement.