Bonsoir à tous,
Marins blessés lors du naufrage du cargo Léoville
— LAÎNÉ François Joseph, né le 17 août 1880 à Martigné-Ferchaud (Ille-et-Vilaine) et décédé le 21 septembre 1973 à Dieppe (Seine-Inférieure — aujourd’hui Seine-Maritime). Chef mécanicien, officier mé-canicien breveté de 1re classe inscrit au quartier de Dieppe, n° 76 [puis n° 474 H.S.] ; classe 1900, n° 2.324 au recrutement du Havre. Hospitalisé à Ramsgate (Royaume-Uni).
• Fils de Julien LAÎNÉ, né vers 1853 à Ancenis (Loire-Inférieure — aujourd’hui Loire-Atlantique), terrassier, et de Julienne Louise Marie BOUCHET, née vers 1853 à Riaillé (– d° –), débitante de boissons, son épouse (Registre des actes de naissance de la commune de Martigné-Ferchaud, Année 1880, f° 17, acte n° 70).
• Époux de Marie Louise Victoire BASILLE, née le 17 mai 1890 à Saint-Valéry-en-Caux (Seine-Inférieure — aujourd’hui Seine-Maritime), couturière, avec laquelle il avait contracté mariage à Dieppe, le 23 no-vembre 1908 (Registre des actes de mariage de la ville de Dieppe, Année 1908, f° 100, acte n° 194).
□ Par décision du Ministre chargé de la Marine marchande en date du 18 juillet 1935 (J.O. 26 juill. 1935, p. 8.073), lui fut décernée la Médaille d’honneur des marins du commerce.
— MOYON Pierre Augustin, né le 8 décembre 1875 à Nantes (Loire-Inférieure — aujourd’hui Loire- Atlantique). Deuxième mécanicien, officier mécanicien breveté de 1re classe, inscrit le 15 avril 1901 au quartier de Bordeaux, n° 8.821 ; classe 1895, n° 2.469 au recrutement de Bordeaux.
• Fils de Pierre Marie MOYON, né vers 1852, chauffeur [Mécanicien en 1905], et de Berthe Augustine BOUYER, née vers 1856, tailleuse, son épouse (Registre des actes de naissance de la ville de Nantes, Année 1875, 6e canton, suppl. f° 15, acte n° 389).
• Époux de Jeanne DESSARPS, née le 30 novembre 1887 à Saint-Paul-lès-Dax (Landes), avec laquelle il avait contracté mariage à Bègles (Gironde), le 25 octobre 1905 (Registre des actes de mariage de la com-mune de Bègles, Année 1905, f° 98, acte n° 95).
[Avait été classé « Service auxiliaire » pour « Vue insuffisante » par le Conseil de révision de la Gironde le 10 décembre 1914.]
