Re: ENSEIGNE HENRY - Contre-torpilleur
Publié : sam. juin 20, 2009 1:22 pm
par olivier 12
Bonjour à tous,
Voici la transcription des premiers télégrammes informant de l'accident (explosion d'une mine) survenu le 31 Décembre 1918 à l'ENSEIGNE HENRY.
Télégramme chiffré reçu 1er Janvier 1919
(par Marine Paris)
"ENSEIGNE HENRY a rencontré ce matin une mine dérivante par 42°51N et 31°29 E. Voie d'eau à l'avant. Le torpilleur flotte en dérive. ALDEBARAN, BISSON et sous-marin anglais RUBIS vont à son secours avec personnel médical. Disparition de trois hommes et quelques blessés."
Télégramme chiffré reçu 2 Janvier 1919
"LE BRAS Jean-François Matelot canonnier 2e dépôt
domicilié à SAINT DERRIEN (Finistère)
GERME Louis Matelot canonnier
domicilié 24 rue Mont Saint Adrien à BOULOGNE sur MER
COLOMB Emile Matelot électricien 5e dépôt
domicilié à SISTERON (Basses Alpes)
tous à bord d'ENSEIGNE HENRY ont disparu le 31 Décembre 1918, tués par l'explosion de la bombe flottante et tombés à la mer.
Familles non prévenues
VIGOUROUX Augustin quartier-maître canonnier
domicilié rue des Jardins à ARCACHON (Gironde)
est décédé à bord du BISSON le 31 Décembre 1918 des suites de ses blessures causées par l'explosion de la bombe.
Famille non prévenue"
Cdlt
ENSEIGNE-HENRY ― Torpilleur d’escadre.
Publié : lun. déc. 07, 2009 8:04 pm
par Rutilius
Bonsoir à tous,
Sauvetage, le 7 octobre 1915, de rescapés du torpillage du cargo mixte Yunnan
par le torpilleur d’escadre Enseigne-Henry
I. ― Torpilleur d’escadre Enseigne-Henry — alors commandé par le lieutenant de vaisseau Denis Félix Maurice ROUGIER —, Journal de bord n° 7 / 1915 — 1er août – 7 oct. 1915 — : Service historique de la Défense, Cote SS Y 184, p. num. 259.
« Jeudi 7 octobre 1915.
.................................................................................................................................
5 h. 10 — Stoppé près du port de Géroliména. Pris les hommes du Yunnan (180 hommes).
22 h. 23 — Mouillé en baie de Milo. »
II. ― Torpilleur d’escadre Enseigne-Henry — alors commandé par le lieutenant de vaisseau Denis Félix Maurice ROUGIER —, Journal de navigation n° 19 / 1915 — 24 août – 15 oct. 1915 — : Service historique de la Défense, Cote SS Y 75, p. num. 1.105 à 1.107.
« 6 octobre [1915] — Appareillage de Milo.
...................................................................................................................................
14 h. 48 — Poste d’appareillage.
14 h. 55 — Avancé la montre d’une heure (Heure de l’Europe orientale).
15 h. 58 — Appareillé avec Cavalier et Spahi pour aller à l’appel de la Fourche qui demande torpilleurs pour effectuer sauvetage des survivants du Yunnan torpillé au Sud de Matapan.
...................................................................................................................................
7 octobre
....................................................................................................................................
5 h. 00 — Aperçu deux cargos dans le N. 20 E.
5 h. 27 — Point : 13,5 milles au N. 85 O. du feu Sud de Cérigo.
5 h 35 — Les deux cargos sont le Yunnan et l’Anglet. Route autour des cargos. Poste de veille contre les sous-marins.
6 h. 27 — Fait route pour reconnaître objets. Ce sont des épaves, un radeau et un canot.
6 h. 50 — Reprise croisière autour des cargos.
8 h. 00 — Continué à croiser autour du Yunnan.
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En marge : « 8 h. 30 — E.-H. [Enseigne-Henry] à C. [Carabinier] : " Bâtiment anglais fait signal de secours. Attaqué par sous-marin L.= 35°45’ / Gr. = 19° 14’." »
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10 h. 30 – Manœuvré pour prendre un homme à bord d’une barque grecque.
10 h. 50 – Stoppé près du Carabinier.
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En marge : « 10 h. 50 — E.-H. à C. : " Lieutenant du Yunnan (dans voilier grec) prévient seize hommes sont à Matapan. Demande à les faire prendre" ».
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11 h. 05 — C. à E.-H. : " Allez chercher les hommes à Matapan." »
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Midi — Route sur Matapan.
13 h. 12 — Mouillé tribord dans le port Normary. Envoyé le youyou à terre.
13 h. 50 — Appareillage.
14 h. 40 —Stoppé dans le port de Géroliména pour prendre les hommes du Yunnan.
15 h. 15 – Appareillage. Route sur Milo. »
Re: ENSEIGNE HENRY - Contre-torpilleur
Publié : dim. janv. 31, 2010 2:08 pm
par Rutilius
.
Bonjour à tous,
Le sauvetage du torpilleur grec Nea-Genea
(17 janvier 1917)
• Torpilleur d’escadre Enseigne-Henry – alors commandé par le lieutenant de vaisseau Marcel Traub –, Registre historique de la correspondance intéressant le personnel et le matériel du bâtiment – 4 janvier 1916 ~ 3 janvier 1919 –, Service historique de la Défense, S.G.A. « Mémoire des hommes », Cote SS Y 185, p. num. 612 à 614.
Le Lieutenant de Vaisseau Traub (M. E. F.),commandant le torpilleur d’escadre Enseigne-Henry,
à
Monsieur le Contre-amiral, commandant la 2e division de la 2e escadre, Commandant supérieur.
Amiral,
Le mercredi 17 janvier 1917, à 12 h. 28 orientale, me trouvant à 13 milles dans le N. 25 Est du cap Spada, en croisière sur le secteur Ouest, je reçus le télégramme n° 243 de l’Hélène m’ordonnant de me porter au secours du Nea-Genea à 20 milles dans le S. 45 E. de Sapienza.
Je mis à 18 nœuds, fis prendre toutes les dispositions de remorquage et informai par signaux émis en l’air le Nea-Genea que je serais près de lui vers 19 h.
A 16 h., je franchissais le canal entre Odo et Cerigo ; je rencontrai à partir de ce moment une brise de S.S.-E. déjà fraîche et de la mer.
A 18 h. 15, j’atteignis le point indiqué et fis route au Nord ; la nuit était déjà faite. A 18 h. 42, j’aperçus le Néa-Genea, à qui j’avais signalé d’allumer un feu pour faciliter la prise de contact, et à 19 h. 05, je stoppai près de lui. Il était alors à environ 5 milles dans l’Est de Pétra Karavi. Mer d’environ 4 m. ; le Néa-Genea, en travers, roulant bord sur bord ; je passai sous le vent à lui et lui filai ma remorque sur une bouée. Le premier essai fut infructueux, le Nea-Genea ne l’ayant pas aperçu ; le second réussit après que j’eus pris la précaution de compléter mon dispositif d’une boîte de phosphure.
A 20 h., remorque prise et tournée, j’étais en route, tournant pour 5,5 nœuds et marchant 2 nœuds sur le gouv.
Le commandant du Nea-Genea m’ayant exprimé le désir d’aller à Navarin, je gouvernai de façon à faire route au Sud sur le gouv., afin de m’élever, avant toute autre chose, le plus possible au vent. La brise était toujours au S.S-.E., augmentant de force ; la mer grossissait. Je demandai l’envoi d’un remorqueur.
A 20 h. 53, le Richelieu me rallia ; je lui donnai l’ordre de rester près de moi.
Le 18, à 1 h 15, étant à 20 milles dans le S. 45 E. de Sapienza, estimant m’être suffisamment éloigné de la côte, et ayant pris confiance dans la solidité de ma remorque qui avait résisté jusque là, je vins sur la droite par abattées successives jusqu’au N. 70 Ouest pour doubler Sapienza.
A 1 h. 52, dans un grain violent, la remorque cassa sur l’étrave du Nea-Genea ; mer de 6 m. environ, brise toujours au S.S.-E.
Je donnai ordre au Richelieu de prendre le Nea-Genea à la remorque et à la disposer à nouveau ; mes opérations ne furent terminées qu’à 3 h. 45. J’étais moi-même tombé en travers ; j’avais en effet, pour rentrer ma remorque, dû stopper la machine tribord et mettre l’autre en avant à petite vitesse ; dans ces conditions, malgré la barre toute, je ne gouvernai plus.
A 4 h. 52, la mer ayant un peu molli au cours d’un orage d’une extrême violence, le Richelieu réussit à donner la remorque au Nea-Genea. Je lui signalai de s’élever le plus possible au vent pour doubler Sapienza.
Le Nea-Genea était en grand danger ; la brise était toujours au S.S.-E., malgré une légère tendance à tourner au S.S.-O. ; il risquait, en cas de nouvelle rupture de la remorque, de dériver de nouveau sur la côte ; il était urgent de lui faire doubler aussitôt que possible Sapienza ; ce cap franchi, étant donné le vent régnant, il était hors de danger.
Je signalai à nouveau la situation au Commandant en chef et renouvelai ma demande d’envoi d’un remorqueur. J’estimais en effet que seul un bâtiment disposé à cet effet, muni de remorques à l’abri de toute rupture, pourrait tirer le Nea-Genea de sa position critique et j’espérais, malgré les nouvelles ruptures de remorque que je prévoyais et les pertes de temps qui s’ensuivraient, pouvoir empêcher le torpilleur d’aller à la côte jusqu’au moment où le remorqueur demandé arriverait.
A 7 h. 10, je fus rallié par la Gracieuse, mais le bâtiment, étant donné l’état du temps, et malgré l’entrain et l’allant de son commandant, ne pouvait m’être d’aucun secours ; il ne pouvait que remplir une mission de protection.
A 8 h., le convoi se trouvait à 7 milles dans le S. 13 E. de Petra Karavi, route au S. 75 Ouest.
Depuis 6 h., la brise jouait et tendait à passer dans le quadrant S.-O. ; à 8 h. 30, elle s’établissait à l’O. ¼ S.-O. en forçant ; les grains augmentaient de violence et de fréquence ; mer de 6 m. en moyenne, atteignant souvent 7 mètres.
A 9 h., je renonçai à faire route sur Navarin et donnai l’ordre au Richelieu de faire demi-tour et de conduire le torpilleur au mouillage de Koroni. Je ne me dissimulais pas les dangers de ce demi-tour qui pouvait entraîner à nouveau une rupture de la remorque, mais il me parut que cette solution constituerait, pour le Nea-Genea, la seule chance de salut, et je me résolus à en courir les risques. J’étais en effet convaincu que les remorques casseraient toutes au bout d’un temps plus ou moins long et la situation du Nea-Genea, après que nous aurions doublé Sapienza, eût été, avec la brise et la mer désormais fixées à l’O. ¼ S.-O., presque désespérée.
A 10 h., à 6,5 milles dans le S. 12 Ouest de Petra Karavi, le demi-tour terminé et le convoi en route, la remorque cassa de nouveau sur l’étrave du Néa-Genea. Elle fut presque immédiatement reprise par le Richelieu ; mais, par mesure de sécurité, elle fut doublée, et les opérations ne furent terminées qu’à 12 h. 15.
A 16 h. 35, le Nea-Genea était mouillé à Koroni.
Je décidai de passer la nuit à ce mouillage et d’appareiller au jour pour Kalamata, si les avaries du torpilleur m’en démontraient la nécessité. La garde du mouillage fut assurée par la Gracieuse, à qui j’ordonnai de patrouiller au large.
Le 19 au matin, je rappelai la Gracieuse et lui donnai l’ordre de se rendre à Kalamata préparer l’accostage et le ravitaillement en eau du Nea-Genea. Mais, la Savoie-III m’ayant rallié avec 50 tonnes d’eau, et le torpilleur ne souffrant que d’une perte totale de son approvisionnement d’eau douce, je donnai contre-ordre à la Gracieuse et décidai de rester à Koroni, protégé par la Marie-Rose, qui m’avait rallié au jour et que j’envoyai patrouiller au large.
A 9 h., je renvoyai la Gracieuse et le Richelieu. Toute la journée du 19 fut employée à épuiser l’eau qui avait envahi les chaufferies du Nea-Genea et à lui donner 30 tonnes d’eau douce. Les chaudières furent remises en état pendant la nuit.
Je fixai l’appareillage à 6 h du matin le 20, mais des incidents successifs dans l’allumage des feux du Nea-Genea m’amenèrent à le retarder par la suite.
Le 20, à 9 h. 42, nous levâmes l’ancre pour Argostoli, comme nous en avions reçu l’ordre. J’avais, en prévision de nouvelles avaries, conservé la Marie-Rose que j’avais envoyée en avant, vers Sapienza, et gardé la Savoie-III près de moi.
A 10 h. 10, le Nea-Genea était de nouveau stoppé.
A 10 h. 17, je donnai ordre à la Savoie-III de prendre le Nea-Genea à la remorque.
A 11 h. 16, nous étions en marche à 5 n, le Nea-Genea tournant avec une turbine pour alléger le remorqueur.
A 21 h. 40, le Nea-Genea dut stopper définitivement.
A 22 h. 05, le Richelieu, que j’avais demandé à la Mauritanie, me rallia, et je renvoyai la Marie-Rose sur sa croisière.
L’état de la mer, petite houle d’Ouest, favorisa les opérations de remorquage durant toute la nuit, malgré des orages extrêmement violents. A partir de Sapienza, je fis route pour passer dans l’Est de Zante, où je comptais trouver un abri contre la mer et un mouillage en cas de besoin.
Le 21, à 9 h. du matin, étant à 4 n 5 dans le S. 60 Ouest du cap Trepito, la Savoie-III stoppa pour rafraîchir les portages de la remorque ; à la remise en marche, la chaîne que le Nea-Genea avait frappée sur le bout de la remorque en fil d’acier se rompît ; celle-ci n’avait en effet que 120 mètres, ce qui était tout à fait insuffisant, et le torpilleur avait dû filer 75 mètres de chaîne.
Je fis prendre immédiatement la remorque par le Richelieu et remis en route à 9 h. 50. La brise s’étant levée, assez fraîche du N.-E., et le Richelieu étant moins puissant que la Savoie, notre vitesse tomba de 5 à 4 nœuds.
A 17 h. 45, le convoi passait les barrages d’Argostoli et, à 18 h 30, le Nea-Genea était mouillé.
Je crois en terminant, Amiral, devoir vous signaler la ténacité, l’énergie et les remarquables qualités manœuvrières dont a fait preuve le commandant du Richelieu au cours de ces évènements. C’est en grande partie à lui, au fait qu’il a réussi à donner et reprendre la remorque du Nea-Genea à plusieurs reprises, dans une mer très grosse, que je dois d’avoir pu ramener à bon port le bâtiment dont le sauvetage m’avait été confié.
A bord, Argostoli, le 22 janvier 1917, le lieutenant de vaisseau, commandant,
Signé : Marcel Traub.
Re: ENSEIGNE HENRY - Contre-torpilleur
Publié : mer. juil. 14, 2010 11:53 pm
par Gastolli
Bonsoir à tous,
the damage to Enseigne-Henry on 31.12.1918 is shortly described in british files also:
Report from the British C-in-C Vice-Adm. Seymour, Mediterranean Station, HMS „Superb“, No. Z.1/50323, dated 01.01.1919
...
point 12.
Floating mines are still to be found in the Black Sea. The french destroyer ENSEIGNE HENRY struck one yesterday, 31st December, in Latitude 42°50‘N. Longitude 31°35‘E., sustaining damage and casualties, but remained afloat.
to be found in file ADM 137/1733, The National Archives, Kew, London
Oliver
Re: ENSEIGNE HENRY - Contre-torpilleur
Publié : dim. nov. 07, 2010 11:34 pm
par Yannick2
Auguste Stagnol était menuisier à Trégourez (Finistère). C'était le meilleur des hommes. Il a servi sur l'Enseigne Henry. Le texte qui suit est la retranscription d'un souvenir qu'il m'a confié, au début des années 80.
Tu vois, me dit Auguste Stagnol, dans la cuisine de son penn-ti de Trégourez, on parle de la guerre 14-18, mais c’est 14-19 qu’il faudrait dire : moi, jusqu’en 19, j’ai été dans les Dardanelles. J’étais dans la marine, sur l’Enseigne Henry…
Notre mission, c’était de canonner les moulins à vent. On n’a jamais compris pourquoi.
On longeait les rives. Les gens savaient ce qu’on faisait, alors avant qu’on arrive, ils quittaient leur bicoque en emportant le peu qu’ils avaient sur leurs ânes.
Les artilleurs pointaient, on se bouchait les oreilles avec les mains quand le coup partait, et tout de suite après, le moulin s’écroulait.
Les artilleurs, eux, pour se protéger les oreilles, ils se les bouchaient avec du coton. Une fois, un d’entre eux, ça s’est infecté en-dessous, et quand on a voulu lui retirer le coton, les tympans sont venus avec. Le type hurlait.
On a continué comme ça à démolir les moulins, jour après jour.
Un soir, j’étais accoudé au bastingage en regardant vaguement le rivage.
Le commandant est venu s’appuyer à côté de moi et il m’a dit :
-« Vous savez, jeune homme, ce que nous faisons là n’est pas humain »
Re: ENSEIGNE HENRY - Contre-torpilleur
Publié : mar. nov. 09, 2010 8:17 pm
par Rutilius
Bonsoir Yannick,
Bonsoir à tous,
« Un soir, j’étais accoudé au bastingage en regardant vaguement le rivage. Le commandant est venu s’appuyer à côté de moi et il m’a dit : " Vous savez, jeune homme, ce que nous faisons là n’est pas humain." »
Ce commandant que ses scrupules honorent était très vraisemblablement le capitaine de corvette Edmond Alexandre Laurent BOURDET (V. « Officier parmi tant d’autres... », p. 48), qui commandait le contre-torpilleur Enseigne-Henry début 1919.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Re: ENSEIGNE HENRY - Contre-torpilleur
Publié : sam. mars 29, 2014 2:29 pm
par Jean-M
913fbb242e
... extrait du "post" du 14/07/2008 à 08:07 ...
Joseph JOUANNIC - Guillaume ÉLIAS - Eugène MINGAM - Enseigne Paul HENRY - S-Lieutenant OLIVIERI - François MARREC - Pierre PRIGENT - Antoine QUEFFURUS -
Franois M CALLAC - Dominique CAMBIAGGI - Louis CONSTANZA - Joseph DAVID - Ernest DELMAS - Pierre DERRIEN - Guillaume FAY - Georges Albert FRANCK -
? GUEZENNEC - Jean Marie LALÈS - Yves LE COZE - Joseph LE GOFF - Albert LEHOUX - Michel LE QUÉRÉ - Ange LE RAY - Pierre Marie LE SEC'H -
Grégoire LOUARN - Jean Louis PEUZIAT - Alexandre REBOURS - Jean RUELLO - Louis Marie SÉNÉCHAL - Jean SOUVE - Henry STÉPHANY - Jules URCOURT -
Juste pour GENEAMAR, le prénom du chauffeur auxiliaire GUÉZENNEC est
Clet-Yves, il était originaire de Cléden-Cap Sizun.
Pour information je suis en train de remettre en forme (au format EPUB non protégé) le livre de l'oncle de l'Enseigne de Vaisseau Paul HENRY, monsieur Léon HENRY,
"Le siège du Pé-T'ang dans Pékin en 1900 - Le commandant Paul Henry et ses 30 marins".
Ce livre a été édité par l'imprimerie P. NICOLAS de Niort et a été distribué par la librairie française du Pé-T'ang. Ce livre (scan de pas très bonne qualité) est consultable sur le site Galica de la Bibliothèque Nationale de France mais très difficilement lisible.
Les personnes intéressées peuvent me contacter...