Était régulièrement tenue par René La Bruyère, dans les livraisons de la Revue politique et parlementaire de la période de guerre, une chronique intitulée : « Les événements maritimes ». On y découvre des éléments de fait de cette nature, qui permettent d'éclairer le rôle — et souvent le sort plus ou moins tragique — des bâtiments et des hommes engagés dans le conflit :
« [...] lors des opérations des forces britanniques contre Gaza, le garde-côtes cuirassé Requin et quelques torpilleurs français furent engagés durant les journées des 17, 18, et 19 avril [1917]. Le Requin exécuta des tirs de rafales contre El-Mountar et la redoute d'El-Arish. Il fut canonné sans succès par les batteries ennemies et échappa à la torpille d'un sous-marin.
Un des torpilleurs attaqué par un avion ne fut pas atteint. [...]. »
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« [...] lors des opérations des forces britanniques contre Gaza, le garde-côtes cuirassé Requin et quelques torpilleurs français furent engagés durant les journées des 17, 18, et 19 avril [1917]. Le Requin exécuta des tirs de rafales contre El-Mountar et la redoute d'El-Arish. Il fut canonné sans succès par les batteries ennemies et échappa à la torpille d'un sous-marin.
Un des torpilleurs attaqué par un avion ne fut pas atteint. [...]. »
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