Re: aide parcours soldat 18e sim
Publié : sam. janv. 30, 2016 10:31 am
Bonjour Benoît.
Comme il l'a été dit par Jean-Pierre dans un des messages précédents, la 18e section d'infirmiers militaires était la formation qui administrait le personnel du service de santé du 18e corps d'armée (et également de la 18e région militaire, il ne faut pas l'oublier).
Pour s'en tenir au corps d'armée, le personnel de cette section pouvait tout aussi bien se retrouver dans un des 3 groupes de brancardiers (le groupe de brancardiers du corps d'armée ou celui de chacune des deux divisions composant en principe le corps d'armée), ou dans une des ambulances du corps d'armée (il y en avait 8 par corps d'armée si j'ai bonne mémoire), ou encore dans une des sections d'hospitalisation (3 ou 4 par corps d'armée, destinées à créer un hôpital de campagne en s'associant à une ambulance).
Il est donc pratiquement impossible de savoir ce qu'il est advenu d'un soldat appartenant à une SIM si on ne sait pas à quelle formation il a été affecté. De plus, les ambulances ont, pour de multiples raisons, assez rapidement été gérées de façon plutôt autonome, faute de pouvoir coller très étroitement aux déplacements des corps d'armée et des divisions. Ajoutez à cela le fait que la composition des corps d'armée a été très évolutive, une même division passant facilement d'un corps d'armée à un autre au gré des redéploiements de forces, et vus aurez une idée du lien très théorique qu'il pouvait y avoir entre l'appartenance à une SIM et la situation réelle sur le terrain...
Pour les ambulances, les JMO (lorsqu'ils existent) sont conservés au musée du Val-de-Grâce.
Cordialement
Bernard
Comme il l'a été dit par Jean-Pierre dans un des messages précédents, la 18e section d'infirmiers militaires était la formation qui administrait le personnel du service de santé du 18e corps d'armée (et également de la 18e région militaire, il ne faut pas l'oublier).
Pour s'en tenir au corps d'armée, le personnel de cette section pouvait tout aussi bien se retrouver dans un des 3 groupes de brancardiers (le groupe de brancardiers du corps d'armée ou celui de chacune des deux divisions composant en principe le corps d'armée), ou dans une des ambulances du corps d'armée (il y en avait 8 par corps d'armée si j'ai bonne mémoire), ou encore dans une des sections d'hospitalisation (3 ou 4 par corps d'armée, destinées à créer un hôpital de campagne en s'associant à une ambulance).
Il est donc pratiquement impossible de savoir ce qu'il est advenu d'un soldat appartenant à une SIM si on ne sait pas à quelle formation il a été affecté. De plus, les ambulances ont, pour de multiples raisons, assez rapidement été gérées de façon plutôt autonome, faute de pouvoir coller très étroitement aux déplacements des corps d'armée et des divisions. Ajoutez à cela le fait que la composition des corps d'armée a été très évolutive, une même division passant facilement d'un corps d'armée à un autre au gré des redéploiements de forces, et vus aurez une idée du lien très théorique qu'il pouvait y avoir entre l'appartenance à une SIM et la situation réelle sur le terrain...
Pour les ambulances, les JMO (lorsqu'ils existent) sont conservés au musée du Val-de-Grâce.
Cordialement
Bernard