Re: livre d'or de l'institut Sainte Marie,de Bordeaux Caudéran
Publié : lun. sept. 18, 2006 5:29 pm
Bonjour à tous,
Hugues, alors là !... Bon, je commence par le plus important, laissant de côté pour l'instant la balle dans le poignet du sergent Fronsac...
Tu dis que j'ai "lamentablement échoué devant la grotte du point G" ? Quelles sont tes sources ?!
J'ai seulement dit qu'elle n'était pas facile d'accès, enfin pas toujours pour le premier poilu venu, mais je décrivais bien l'endroit exact (au plafond).
Et puis en tant qu'ex marin, "échoué" je n'ai jamais connu ça heureusement (salut Franck
). "Echouer", on dit aussi pour un bateau " se mettre au sec" ou "aller au sec"... Toucher le fond et y rester coincé quoi ! Un collègue qui avait vécu ça (le bateau planté) a eu cette phrase: "Tu sens soudain l'étreinte inexorable du fond...".
Bon le pauvre Fronsac, non seulement il a eu le poignet brisé [ce qui n'est déjà pas rigolo (surtout dans la marine)] mais il a été touché à nouveau, bref il a été tué, parmi les nombreux de la 5ème Cie le 23 août 14.
Médaille militaire et croix de guerre... Obtenues à titre posthume, longtemps après évidemment, par demande de la famille sans doute, et/ou d'une association du 57. Cela nous ramène au sujet sur les "citations", depuis les aviateurs aux croix de guerre qui arrivent au genou jusqu'aux officiers palmés et légionhonorés. Comme le capitaine Thomire, du 144ème RI, toujours pareil, à Lobbes le 23 août 14, tué par un obus de 75... Une bavure qui lui vaut une stèle et la légion d'honneur. Que l'on me comprenne bien, tous ces braves ne les ont pas volées, leurs décos, mais bon... Vaste sujet...
C'est l'heure de la sieste, je vais me poser sur le fond.
Bernard
Hugues, alors là !... Bon, je commence par le plus important, laissant de côté pour l'instant la balle dans le poignet du sergent Fronsac...



Tu dis que j'ai "lamentablement échoué devant la grotte du point G" ? Quelles sont tes sources ?!


J'ai seulement dit qu'elle n'était pas facile d'accès, enfin pas toujours pour le premier poilu venu, mais je décrivais bien l'endroit exact (au plafond).
Et puis en tant qu'ex marin, "échoué" je n'ai jamais connu ça heureusement (salut Franck

Bon le pauvre Fronsac, non seulement il a eu le poignet brisé [ce qui n'est déjà pas rigolo (surtout dans la marine)] mais il a été touché à nouveau, bref il a été tué, parmi les nombreux de la 5ème Cie le 23 août 14.
Médaille militaire et croix de guerre... Obtenues à titre posthume, longtemps après évidemment, par demande de la famille sans doute, et/ou d'une association du 57. Cela nous ramène au sujet sur les "citations", depuis les aviateurs aux croix de guerre qui arrivent au genou jusqu'aux officiers palmés et légionhonorés. Comme le capitaine Thomire, du 144ème RI, toujours pareil, à Lobbes le 23 août 14, tué par un obus de 75... Une bavure qui lui vaut une stèle et la légion d'honneur. Que l'on me comprenne bien, tous ces braves ne les ont pas volées, leurs décos, mais bon... Vaste sujet...
C'est l'heure de la sieste, je vais me poser sur le fond.

Bernard