Forum PAGES 14-18

Bonsoir,

S'il n'est pas trop tard, est-il possible dans la foulée de la demande de JCT, d'avoir juste une photo de la tombe de COUTAUD Edmond Georges Emile n°1352 ?

Originaire des Deux Sévres, il est venu s'expatrier à Nantes et y est inscrit aux MAM de la ville (MPLF le 01 Mars 1918).

J'y suis passé en juin dernier, mais je ne l'avais pas encore dans mes listes. J'ai juste besoin de ce cliché.

Si c'est possible, c'est génial, sinon, je patienterai.

Merci quoiqu'il arrive.

Amicalement

Marc

Bonsoir à tous,
Bonsoir Marc,

La commande est enregistrée

Amicalement,
Philippe

Bonsoir,

C'est gentil à vous.

Merci beaucoup par avance.

Amicalement

Marc

Bonsoir Daniel,

Merci pour la fiche de renseignement issue de Sépultures de guerre. J'avais pourtant essayé de retrouver Pierre Montacq sur ce site mais j'ai reçu une "réponse 0".
Peut-être y-a-t-il une procédure d'accès ? J'avoue que je suis novice en la matière.

Je recherche également la sépulture de mon autre grand-oncle, le soldat Top Nestor, 87è Régiment d'Infanterie, mort le 14 Juin 1918 (au combat du Bois de Margival, Somme). Il serait peut être enterré à Sourdon dans la Somme (d'après une lettre d'époque).

Pourrait-tu m'aider?

Amicalement
JCT

Et pourtant !!! " Sépultures de Guerre " (clic)

Cordialement [:daniel ruis:1]
Daniel

Bonjour,

Un remerciement public, après le privé.

Un grand MERCI donc pour la photo.

Amicalement

Marc

Bonjour à tous,

Je remonte ce sujet car nous avons enfin pu nous rendre sur la tombe de mon arrière-grand-oncle à Mourmelon-le-Petit.
Grâce aux photos prises par Philippe Crozet, nous avons la pu trouver très facilement.

Jean-Baptiste Cajat, décédé de ses blessures le 15 avril 1917, est enterré presque tout à gauche d'une rangée où les inhumations se sont faites semble-t-il par ordre chronologique. Aussi, à partir de son "voisin", un tirailleur nord-africain, toute la rangée concerne-t-elle des morts des funestes 16 et 17 avril.
Grâce à un baladeur, avec mon épouse, un écouteur pour chacun, nous avons écouté là la chanson de Craonne, sans que soit pour autant troublé le silence des lieux.
Il faisait gris, il y avait beaucoup de vent, et il y avait Jean-Baptiste et tous ses frères.



Pour ce moment de mémoire, je voulais remercier, une fois de plus Philippe Crozet bien sûr, mais aussi toute la communauté de Pages 14-18 sans laquelle je n'aurais sans doute pas su me consacrer suffisamment à ces recherches.

Cdlt
Cyrille