Forum PAGES 14-18

Acuité visuelle ! Acuité visuelle ! L'acuité visuelle de qui . . . .

Il est écrit :

"les deux hommes casqués, dont les numéros de régiments sont assez probablement lisibles"

Car, de toute évidence, les pattes de col du troisième soldat casqué avaient assez peu de chance d'être lisibles, même avec un très bon scan !

C'est une vrai histoire de paille et de poutre, ça !

C'est une vrai histoire de paille et de poutre, ça !

bonjour Michel : donc mon pseudo curé ne sera pas inutile ( je n'ai pas su résister à la tentation de "la" placer, celle - là, mille excuses).
ok ok, [:geneamar:9]
bien à vous
Brigitte

Bonjour

Il ne s'agit pas d'un bonnet d'ane mais du port "fantaisie " du bonnet de police en bataille ( comme le bicorne de Napoléon) et non réglementairement en colonne comme les autres soldats Ce genre de fantaisie de retrouve sur les pères 100 etc..

Architecture du bâtiment typique allemand donc bien après 18

Cordialement

bonjour et merci à Taconet pour la précision concernant le bonnet de police. Je ne sais pas ce que signifie "les pères 100"
bien à vous
Brigitte

Re-bonjour à tous,

Merci aux un(e)s et aux autres pour vos remarques et vos commentaires.

Merci tout particulier à vous, Arnaud, concernant la date. 1925 est certainement la bonne année. Mais, dans l'écrit, le "2" ressemble tellement au "1" ! Pourvu que personne ne me tienne rigueur d'avoir mal évalué la graphie, car je rencontre actuellement un problème de vue (passager, je l'espère).

D'autre part, je ne sais pas comment traiter l'image. C'est vraiment ballot, non ? Je ne dois pas avoir le logiciel adéquat... ou je dois être incompétente. Oui, c'est plutôt ça... Enfin, ce n'est pas une carte issue de mes archives personnelles, mais une trouvaille dans une brocante

Bon, après tout ça, je sens que je vais être de corvée de patates...

Bien sincèrement,
Marie-José

Brigitte,

Le père cent ! ! Cent jours avant la fin du service militaire ! La quille, quoi !

Marie-José,

Pour l'image :
1° méthode (sans moyens numériques) :
Prendre une loupe un peu sérieuse pour regarder directement si les numéros sont lisibles sur les pattes de col.

1° méthode (avec moyens numériques et sans aucun traitement d'image !)
Utiliser un appareil photo numérique en mode macro (la petite fleur sur ce type d'appareil), et faire une photo
recadrée sur les deux têtes (ça devrait être suffisant).

Connaître l'unité devrait permettre de confirmer l'année (ou au moins la période) de cette photo.

Après 1918, les unités ont assez régulièrement occupé une nouvelle garnison (en particulier en Alsace- Lorraine) et, connaître
ce numéro permettrait, connaissant la garnison du régiment avant et après guerre, de situer votre photo dans la bonne fourchette !

A plus - Michel

Le père cent ! ! Cent jours avant la fin du service militaire ! La quille, quoi !

ah "mais oui bien sûr"
merci Michel!
bien à vous
Brigitte

Bonjour Michel
OK, mon manque de compréhension vient de cette virgule après le mot casqués, et qui n'aurait pas dû s'y trouver.
C'est elle qui entraine la confusion.
Une toute petite paille, en effet. Mais aucune poutre à l'horizon.
Bien que votre message ait été quelque peu abrupt, je résiste pas, quant à moi, au plaisir de me conformer aux usages du forum :
- Je commence par Bonjour Michel
- Je signe même de mon vrai nom
- Et je n'hésite pas à vous dire

Bien amicalement

Bonjour,

Indubitablement un cliché des années 20-30.

Les capotes sont en fait des manteaux de cavalerie (d'où leur fermeture droite). Les pattes de col sombres identifient d'ailleurs cette arme. Peut-être des dragons (n° blancs).

Les bonnets de police sont du modèle 18, leur port pointes rentrées est typique des années 30 (elles faisaient trop penser à des cornes...pour des hommes loin de leurs fiancées).

Le port d'insigne de calot, la teinte très sombre des casques et l'absence de moustaches renforce une datation post 1918 de cette photo.

Cordialement,
Marc

Bonjour Marc(us) et merci !

Comme d'habitude, observation et analyse brillantes. J'ai encore appris avec l'anecdote sur les pointes rentrées... et fort apprécié !

Bien sincèrement,
Marie-José