bonsoir,
on le trouve bien dans les tables du 6e bureau liste principale classe 1893 n° matricule 3013 (volume 7) BARBUSSE Adrien Gustave Henri
cordialement
Fiche matricule Henri Barbusse ?
- extraterrestre
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Re: Fiche matricule Henri Barbusse ?
Jacqueline L.
- Jean RIOTTE
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Re: Fiche matricule Henri Barbusse ?
Bonsoir à tou(te)s,
Voilà une affaire rondement bouclée: un peu moins de 3 heures!
Bravo les foromeurs de 14-18!!!
Cordialement,
Jean RIOTTE
Voilà une affaire rondement bouclée: un peu moins de 3 heures!
Bravo les foromeurs de 14-18!!!
Cordialement,
Jean RIOTTE
Re: Fiche matricule Henri Barbusse ?
Bonsoir à tous,
Nécessaire complément :
• Journal officiel du 2 décembre 1915, p. 8.756.

[...]

(p. 8.761)
____________________________
Bien amicalement à vous,
Daniel.
- Jean RIOTTE
- Messages : 5774
- Inscription : sam. nov. 05, 2005 1:00 am
Re: Fiche matricule Henri Barbusse ?
... et cerise sur le gâteau: la citation de Barbusse.
C'est pas beau, çà?
Cordialement,
Jean RIOTTE
C'est pas beau, çà?
Cordialement,
Jean RIOTTE
Re: Fiche matricule Henri Barbusse ?
Bonjour à tous,
Voici ce que l'on trouve au début d'un roman qui vient d'être mis en ligne sur Gallica :

Ce qui fut sera
H. Barbusse
Flammarion, 1930
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6540033w
Yves
Voici ce que l'on trouve au début d'un roman qui vient d'être mis en ligne sur Gallica :

Ce qui fut sera
H. Barbusse
Flammarion, 1930
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6540033w
Yves
- LABARBE Bernard
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- Inscription : mar. juil. 12, 2005 2:00 am
- Localisation : Aix-en-Provence
Re: Fiche matricule Henri Barbusse ?
Bonjour à tous,
Henri Barbusse – Norton Cru - Témoins :
Page 555:
Né à Asnières, Seine, le 18 mai 1873. Suivent diverses sources (comme si c’était Jeanne d’Arc…), la vraie date c’est le 17 mai 1873. Réformé, n’ayant jamais fait de service militaire, Barbusse s’engagea à 41 ans en août 14…
Faux. Engagé en 1893 (voir états services) puis mobilisé en septembre 1914 à 41 ans certes, mais pas engagé et ayant fait « un bout » de service militaire.
Au 35ème RIT et sur sa demande passe au 231 RI oui.
Envoyé au front en décembre 14…. Arrive juste pour assister à l’affaire de Crouy près de Soissons, 11-13 janvier 1915. Appelé en septembre 14, il arrive au front en décembre alors que réserviste pas jeune recrue avec formation préliminaire? Possible, à voir…
Page 556 :
Ses biographes et lui-même n’ont jamais donné les dates de ses diverses affectations…
Mézigue l’a fait, voir plus bas, et je ne suis pas son biographe...
Evacué pour dysenterie. Pour entérite chronique
La biographie militaire de Barbusse n’a pas d’autres dates que ces deux : En décembre 1914 arrivée au front, en juin 1917 réforme… Séjour au front, inconnu…
Pourquoi tant de haine ? (Humour). Tiens si quelqu’un peut se procurer la fiche matricule de Norton, histoire d’en savoir plus sur ses séjours aux tranchées et sans polémique (j’aime bien Norton il a démasqué tellement de pipos)
Fiche matricule BARBUSSE :
- Engagé volontaire pour 3 ans en novembre 1893 à Paris pour le 54 RI
1893, 20 ans, mais c’était encore l’époque du tirage au sort, donc pas tiré le bon numéro ? (Le bon pour être pris), donc il s’engage… Pourquoi alors qu’il prépare une licence ? Il pouvait faire les deux ? Etre soldat et travailler pour sa licence ?
- Envoyé en congé 10 mois plus tard en septembre 1894 (licence es-lettres en 1894)
- Passé dans réserve armée active en novembre 1896
- Classé service auxiliaire par commission réforme en février 1907
- Classé service armé par commission réforme le 5 août 1914
- Appelé et convoqué, rejoint le 35 RIT le 12 septembre 1914 (41 ans), affecté le même jour au 231 RI jusqu’au 16 novembre 1915.
JMO 231 RI - 1914 et 1915 pages 9 à 37
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... iewer.html
JMO 1915 pages 2 à 12
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... iewer.html
- Au 8 RIT du 16 au 30 novembre 1915
JMO 8 RIT page 33
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... iewer.html
- Du 30 novembre 1915 au 23 janvier 1917, à la 20 S.E.M.R. ? D’après texte Norton, semble être 20ème Secrétaire d’Etat- Major de Région.
- Du 23 janvier au 1er juin 1917 au 30 RIT
JMO 30 RIT pages 4 à 14
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... iewer.html
Réformé le 1er juin 1917 pour entérite chronique, amaigrissement et mauvais état général après 17 mois de front.
http://www.mediafire.com/view/417v59755 ... sse-1.jpeg
http://www.mediafire.com/view/cls6n9e3a ... sse-2.jpeg
http://www.mediafire.com/view/kswzaju9p ... sse-3.jpeg
Cordialement,
Bernard
Henri Barbusse – Norton Cru - Témoins :
Page 555:
Né à Asnières, Seine, le 18 mai 1873. Suivent diverses sources (comme si c’était Jeanne d’Arc…), la vraie date c’est le 17 mai 1873. Réformé, n’ayant jamais fait de service militaire, Barbusse s’engagea à 41 ans en août 14…
Faux. Engagé en 1893 (voir états services) puis mobilisé en septembre 1914 à 41 ans certes, mais pas engagé et ayant fait « un bout » de service militaire.
Au 35ème RIT et sur sa demande passe au 231 RI oui.
Envoyé au front en décembre 14…. Arrive juste pour assister à l’affaire de Crouy près de Soissons, 11-13 janvier 1915. Appelé en septembre 14, il arrive au front en décembre alors que réserviste pas jeune recrue avec formation préliminaire? Possible, à voir…
Page 556 :
Ses biographes et lui-même n’ont jamais donné les dates de ses diverses affectations…
Mézigue l’a fait, voir plus bas, et je ne suis pas son biographe...
Evacué pour dysenterie. Pour entérite chronique
La biographie militaire de Barbusse n’a pas d’autres dates que ces deux : En décembre 1914 arrivée au front, en juin 1917 réforme… Séjour au front, inconnu…
Pourquoi tant de haine ? (Humour). Tiens si quelqu’un peut se procurer la fiche matricule de Norton, histoire d’en savoir plus sur ses séjours aux tranchées et sans polémique (j’aime bien Norton il a démasqué tellement de pipos)
Fiche matricule BARBUSSE :
- Engagé volontaire pour 3 ans en novembre 1893 à Paris pour le 54 RI
1893, 20 ans, mais c’était encore l’époque du tirage au sort, donc pas tiré le bon numéro ? (Le bon pour être pris), donc il s’engage… Pourquoi alors qu’il prépare une licence ? Il pouvait faire les deux ? Etre soldat et travailler pour sa licence ?
- Envoyé en congé 10 mois plus tard en septembre 1894 (licence es-lettres en 1894)
- Passé dans réserve armée active en novembre 1896
- Classé service auxiliaire par commission réforme en février 1907
- Classé service armé par commission réforme le 5 août 1914
- Appelé et convoqué, rejoint le 35 RIT le 12 septembre 1914 (41 ans), affecté le même jour au 231 RI jusqu’au 16 novembre 1915.
JMO 231 RI - 1914 et 1915 pages 9 à 37
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... iewer.html
JMO 1915 pages 2 à 12
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... iewer.html
- Au 8 RIT du 16 au 30 novembre 1915
JMO 8 RIT page 33
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... iewer.html
- Du 30 novembre 1915 au 23 janvier 1917, à la 20 S.E.M.R. ? D’après texte Norton, semble être 20ème Secrétaire d’Etat- Major de Région.
- Du 23 janvier au 1er juin 1917 au 30 RIT
JMO 30 RIT pages 4 à 14
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... iewer.html
Réformé le 1er juin 1917 pour entérite chronique, amaigrissement et mauvais état général après 17 mois de front.
http://www.mediafire.com/view/417v59755 ... sse-1.jpeg
http://www.mediafire.com/view/cls6n9e3a ... sse-2.jpeg
http://www.mediafire.com/view/kswzaju9p ... sse-3.jpeg
Cordialement,
Bernard
- Jean-Claude Poncet
- Messages : 1305
- Inscription : lun. oct. 18, 2004 2:00 am
Re: Fiche matricule Henri Barbusse ?
Bonjour,
Dans sa correspondance avec Henry CHARPENTIER, Louis KRÉMER cite notamment sa proximité avec Henri BARBUSSE.
Cette correspondance est parue sous le titre "D'Encre de Fer et de Feu" et présentation et notes sont de Laurence Campa.
http://www.decitre.fr/livres/d-encre-de ... 30851.html
Le 231e Régiment d'Infanterie est en Artois, secteur de Souchez et ses arrières, Barbusse aux brancardiers, Krémer secrétaire à la Cie H. R.
Voici ce qu'écrit Louis Krémer le 22 août 1915 :
Chers amis.
Une table commune, en argot militaire "une popote", réunit quelques hôtes choisis du 231e et moi-même et cette table est présidée par le propre gendre de Mendès, par l'époux d'Hélyonne - Henri Barbusse ! Il n'a, au demeurant, bien que vice-président de la Sté des Gens de lettres, rien d'un artiste et les seules pellicules qu'il porte sur lui sont des pellicules photographiques, car il manie volontiers le Kodak. C'est un grand, grand homme maigre, jaune, malade, ridé - l'air d'un long Don Quichotte souffreteux, très taciturne, très flegmatique, terne - est-ce volontairement ? Il remplit les fonctions de brancardier et a été l'objet d'une citation à l'ordre de la brigade pour avoir été relever des blessés au péril de sa vie, car il fait, je crois, très noblement son devoir. [...]
Puis le 20 septembre 1915 :
Mon cher ami,
J'ai lu avec un vif intérêt ta dernière lettre, [mot illisible] les expériences psychiques - c'est psychique que ça [mot illisible] auxquelles vous vous livrez à vos moments perdus. J'aurais voulu les voir, de mes propres yeux être convaincu mais, à vrai dire, en ce moment tout cela me semble [illisible] lointain, inutile et vain.
Je ne sais vraiment quand je pourrai aller en permission - vers novembre ou décembre, vraisemblablement (pas avant) si je suis encore debout à cette époque-là et franchement, j'y tiens fort peu, à cette permission. Je m'effraie à l'idée de quitter le harnais, pour le reprendre quelques jours après. Il me semble que cela sera beaucoup plus dur.
J'avais en effet appris que L. Pergaud et R. Vincent étaient disparus - non pas morts officiellement. Pergaud n'est peut-être que prisonnier. J'ai lu le récit très détaillé de sa disparition dans le Bulletin des écrivains que reçoit Henri Barbusse et qui, avec quelques autres publications analogues, donne les adresses de tous les artistes - en majorité embusqués ; les exceptions sont infimes.
Nous avons, avec Barbusse, des discussions littéraires fort intéressantes. Très au courant des milieux artistiques (il a fait la critique théâtrale au Journal, a ses entrées au Matin, est directeur littéraire de la Librairie Hachette), il connaît fort bien P. Adam, H. de Régnier, P. Louÿs, D'Annunzio, Mme de Noailles, etc., etc. Je recueille de sa bouche mille détails ou anecdotes assez amusants. Nous avons d'ailleurs des journaux en abondance, Le Rire, Fantasio, Le Cri de Paris, La Grande Revue, La Vie parisienne, les Lectures pour tous [...].

Bonne lecture
Jean-Claude Poncet
Dans sa correspondance avec Henry CHARPENTIER, Louis KRÉMER cite notamment sa proximité avec Henri BARBUSSE.
Cette correspondance est parue sous le titre "D'Encre de Fer et de Feu" et présentation et notes sont de Laurence Campa.
http://www.decitre.fr/livres/d-encre-de ... 30851.html
Le 231e Régiment d'Infanterie est en Artois, secteur de Souchez et ses arrières, Barbusse aux brancardiers, Krémer secrétaire à la Cie H. R.
Voici ce qu'écrit Louis Krémer le 22 août 1915 :
Chers amis.
Une table commune, en argot militaire "une popote", réunit quelques hôtes choisis du 231e et moi-même et cette table est présidée par le propre gendre de Mendès, par l'époux d'Hélyonne - Henri Barbusse ! Il n'a, au demeurant, bien que vice-président de la Sté des Gens de lettres, rien d'un artiste et les seules pellicules qu'il porte sur lui sont des pellicules photographiques, car il manie volontiers le Kodak. C'est un grand, grand homme maigre, jaune, malade, ridé - l'air d'un long Don Quichotte souffreteux, très taciturne, très flegmatique, terne - est-ce volontairement ? Il remplit les fonctions de brancardier et a été l'objet d'une citation à l'ordre de la brigade pour avoir été relever des blessés au péril de sa vie, car il fait, je crois, très noblement son devoir. [...]
Puis le 20 septembre 1915 :
Mon cher ami,
J'ai lu avec un vif intérêt ta dernière lettre, [mot illisible] les expériences psychiques - c'est psychique que ça [mot illisible] auxquelles vous vous livrez à vos moments perdus. J'aurais voulu les voir, de mes propres yeux être convaincu mais, à vrai dire, en ce moment tout cela me semble [illisible] lointain, inutile et vain.
Je ne sais vraiment quand je pourrai aller en permission - vers novembre ou décembre, vraisemblablement (pas avant) si je suis encore debout à cette époque-là et franchement, j'y tiens fort peu, à cette permission. Je m'effraie à l'idée de quitter le harnais, pour le reprendre quelques jours après. Il me semble que cela sera beaucoup plus dur.
J'avais en effet appris que L. Pergaud et R. Vincent étaient disparus - non pas morts officiellement. Pergaud n'est peut-être que prisonnier. J'ai lu le récit très détaillé de sa disparition dans le Bulletin des écrivains que reçoit Henri Barbusse et qui, avec quelques autres publications analogues, donne les adresses de tous les artistes - en majorité embusqués ; les exceptions sont infimes.
Nous avons, avec Barbusse, des discussions littéraires fort intéressantes. Très au courant des milieux artistiques (il a fait la critique théâtrale au Journal, a ses entrées au Matin, est directeur littéraire de la Librairie Hachette), il connaît fort bien P. Adam, H. de Régnier, P. Louÿs, D'Annunzio, Mme de Noailles, etc., etc. Je recueille de sa bouche mille détails ou anecdotes assez amusants. Nous avons d'ailleurs des journaux en abondance, Le Rire, Fantasio, Le Cri de Paris, La Grande Revue, La Vie parisienne, les Lectures pour tous [...].

Bonne lecture
Jean-Claude Poncet
Re: Fiche matricule Henri Barbusse ?
Bonsoir,
Pour répondre à l'interrogation de Bernard Labarbe s'étonnant que l'intéressé n'ait fait "qu'un bout de service militaire", je suppose (mais c'est à vérifier) que l'intéressé a été "volontaire d'un an".
Cet article 23 de la loi du 15 juillet 1889 était particulièrement prisé des étudiants préparant des examens (licence, etc...), car il permettait à ces fils de la bonne bourgeoisie de pas se confronter trop longtemps aux jeunes du "pays réel", vraiment trop frustes pour envisager avec eux une cohabitation dépassant 12 mois.Le "bon peuple" a donc seul le droit de se concentrer pendant des années sur la noble tâche de future "chair à canon" pendant que les "bourgeois" sont mis en congé au bout d'un an.On est pas encore à l'époque du service militaire dit "universel"
Cordialement,
Guy François.
Pour répondre à l'interrogation de Bernard Labarbe s'étonnant que l'intéressé n'ait fait "qu'un bout de service militaire", je suppose (mais c'est à vérifier) que l'intéressé a été "volontaire d'un an".
Cet article 23 de la loi du 15 juillet 1889 était particulièrement prisé des étudiants préparant des examens (licence, etc...), car il permettait à ces fils de la bonne bourgeoisie de pas se confronter trop longtemps aux jeunes du "pays réel", vraiment trop frustes pour envisager avec eux une cohabitation dépassant 12 mois.Le "bon peuple" a donc seul le droit de se concentrer pendant des années sur la noble tâche de future "chair à canon" pendant que les "bourgeois" sont mis en congé au bout d'un an.On est pas encore à l'époque du service militaire dit "universel"
Cordialement,
Guy François.
- LABARBE Bernard
- Messages : 3839
- Inscription : mar. juil. 12, 2005 2:00 am
- Localisation : Aix-en-Provence
Re: Fiche matricule Henri Barbusse ?
Bonsoir,
Merci Guy François pour cette explication.
Barbusse fils de journaliste on peut penser en effet à une "bonne bourgeoisie". A l'époque, les étudiants fils d'ouvriers ou de paysans devaient être très rares...
Un an par volontariat, ça vaut mieux que la totale si mauvais numéro tiré.
http://www.ancestramil.fr/uploads/01_do ... tement.pdf
Cordialement,
Bernard
Merci Guy François pour cette explication.
Barbusse fils de journaliste on peut penser en effet à une "bonne bourgeoisie". A l'époque, les étudiants fils d'ouvriers ou de paysans devaient être très rares...
Un an par volontariat, ça vaut mieux que la totale si mauvais numéro tiré.
http://www.ancestramil.fr/uploads/01_do ... tement.pdf
Cordialement,
Bernard
- Jean-Claude Poncet
- Messages : 1305
- Inscription : lun. oct. 18, 2004 2:00 am
Re: Fiche matricule Henri Barbusse ?
Bonsoir,
Pour compléter ma communication, pour ceux qui ne connaissent pas bien la littérature française, Barbusse est marié à Hélyonne, et il est donc le gendre de Catulle-Mendès,
Une approche de la vie mouvementée sur le plan affectif de Catulle-Mendès est possible sur le site :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Catulle_Mend%C3%A8s
On y voit le tableau de Renoir représentant les 3 filles (de cette époque) de Catulle-Mendès, dont Hélyonne.
http://commons.wikimedia.org/wiki/File: ... ir_105.jpg
Un fils de Catulle-Mendès, Primice Catulle-Mendès, né d'un autre lit en 1897, filleul de Sarah-Bernhardt, est mort pour la France le 23 avril 1917.
Salutations
Jean-claude Poncet
Pour compléter ma communication, pour ceux qui ne connaissent pas bien la littérature française, Barbusse est marié à Hélyonne, et il est donc le gendre de Catulle-Mendès,
Une approche de la vie mouvementée sur le plan affectif de Catulle-Mendès est possible sur le site :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Catulle_Mend%C3%A8s
On y voit le tableau de Renoir représentant les 3 filles (de cette époque) de Catulle-Mendès, dont Hélyonne.
http://commons.wikimedia.org/wiki/File: ... ir_105.jpg
Un fils de Catulle-Mendès, Primice Catulle-Mendès, né d'un autre lit en 1897, filleul de Sarah-Bernhardt, est mort pour la France le 23 avril 1917.
Salutations
Jean-claude Poncet