Forum PAGES 14-18

Bonsoir

Ok merci vincent .

Bonjour Kévin,

C'est fait. Il me faut juste ton adresse mail. Je t'ai envoyé un message par messagerie personnelle.

Bien à toi

Vincent

PS : le JMO du 5e RI pour ces périodes ne comporte pas de listes nominatives pour les pertes. Dommage.

Bonsoir Vincent

Un grand merci tout d'abord ,j'espere que ces document m'en aprendronts davantages sur les circonstances de sa blessure et le lieu .

Je tai envoyer mon adresse mail par messagerie personelle .

Mon arriere grand pere n'a été que bléssé puis démobilisé par la suite selon ma grand mere .

Merci encore

Kévin

Salut Vincent

J’ai trouvé dans les fiches, celle de CAPITANT, c’est la série 3yb "contrôle des officiers" au S.H.D
Les Eds s’arrêtent au moment ou il est muté au 5ème R.I, bref c’est très incomplet
J’espère quand même que cela va t’apporter des informations !!

Yann

CAPITANT Ernest Marius


Né le 10 mai 1861 à Grenoble
Marié le 27 décembre 1892 à Dlle Marie Amélie Marguerite REY
Enfants :5 Masculin 4, Féminin 1
Cheveux et sourcils châtains, yeux châtains, front grand, nez ordinaire, 1m69

EdS :

Engagé volontaire pour 5 ans à la mairie de Grenoble le 21 octobre 1881
Incorporé à l’école spéciale militaire à compter du 21 octobre 1881
Arrivé à l’école le 21 octobre 1881 durée des services 1 an, 4 mois, 29 jours.
Ecole Spéciale Militaire, caporal, 20 mars 1883, durée des services 6 mois, 11 jours
52ème R.I, sous-lieutenant, 1 octobre 1883, durée des services 3 ans, 9 mois.
A suivi les cours de l’école de tir de la Valbonne 1885
A suivi les cours de l’école normale de gymnastique en 1886
52ème R.I, lieutenant, 1 juillet 1887, durée des services 2 ans, 3 mois, 3 jours
En non activité pour infirmité temporaire, 4 octobre 1889, Durée 11 mois, 21 jours
140ème R.I, 25 septembre 1890, durée des services 3 ans, 9 mois, 15 jours
118ème R.I, capitaine, 10 juillet 1894, durée des services 12 ans, 2 mois, 17 jours
150ème R.I, Chef de Bataillon major, 27 septembre 1906, durée des services 1 an, 11 mois, 27 jours
122ème R.I, Chef de Bataillon, 24 septembre 1908, durée des services 5 ans, 5 mois, 29 jours
5ème R.I, Lieutenant-Colonel, 23 mars 1914

Blessé le 8 juillet 1901 à la suite d’une chute de cheval

Chevalier de la Légion d’Honneur par décret du 31 décembre 1907

Salut THOMAS1

A tous hasard aurais-tu une fiche sur mon arriere grand pere François Emmel (je ne connais pas son grade exactement). Il était au 5e RI pendant la guerre .

Cordialement Kévin

Merci Yann !

Bien à toi

Vincent

Salut Stéphan,

Je regarde ce week-end, mes fiches sont chez mes parents.
74 R.I: hier justement Pierre MACAIGNE

Je te fais un message aprés l'apéro.

Yann

Bonjour,
Ce texte évoquant le lieutenant Pierre Macaigne, dans la Revue Montalembert:

"D’une intelligence remarquable, Pierre Macaigne fit de très brillantes études à Paris. En 1909, il était lauréat de l’Ecole de droit et obtenait la Médaille d’or au concours de doctorat. Entre temps, il s’était fait inscrire au barreau. Il possédait également à un haut degré, les qualités de cœur ; il s’était fait, à la Réunion des étudiants catholiques, de nombreux amis pour lesquels il était un excellent conseiller. Ces qualités s'étaient épanouies sous l'influence d'une vie très sincèrement chrétienne.
Parti dès l’ouverture des hostilités comme lieutenant au 74ème d’infanterie, il fut blessé une première fois au combat de Roselies près Charleroi, d’une balle dans la cuisse. Laissé dans une ambulance et craignant de tomber entre les mains des Allemands, le courageux jeune homme se traîna seul au milieu des bois pour rejoindre son régiment.
Après quelques jours de soins, il retourna au combat. Il était, le 18 septembre, à Loivre, près de Reims, par un bombardement terrible. Un obus éclata à ses côtés, le blessant grièvement et renversant le mur derrière lequel il faisait abriter ses hommes. Retiré des décombres mais trop gravement atteint pour être transporté lorsque son régiment évacua le village, il fut laissé au poste de secours de Bourgogne où il s’éteignit en bon soldat et en bon chrétien, admirable de résignation, faisant le sacrifice de sa vie, demandant un prêtre et disant son chapelet. Un de ses chefs écrivait : Sa disparition m’a causé une peine profonde. C’était un cœur d’or, un esprit d’élite, animé du plus beau souffle et des sentiments les plus élevés. Des Français comme lui sont si rares et si précieux !"

(Extrait de la Revue Montalembert. Janvier-février-mars 1915.)
Cdlt
BB

Bonjour Bruno,

Et merci pour cette notice !

Bonne journée.

Stéphan