Re: 120e et 320e RI
Publié : mar. déc. 30, 2008 9:27 pm
Bonsoir à tous,
après une mauvaise manipulation en ajoutant ce soir le message du dessus sur l'ordre de bataille du 320e régiment d'infanterie je remets l'article sur l'aumônier Saint-Léger que je viens d'effacer.
Henri Edmond SAINT-LÉGER
Aumônier du 120e Régiment d’Infanterie
Le Journal de Marche et des Opérations du service de santé de la 4ème Division d’Infanterie signale pour la journée du 12 avril 1918 :
« L’aumônier Saint-Léger au 120e RI est blessé mais non évacué une plaie du thorax côté gauche région axillaire par balle de mitrailleuses (pas de suites sérieuses à prévoir). » (26N267/10, page 85)
La citation qui comporte l’attribution de la Légion d’Honneur au grade de chevalier – par ordre n° 10781 du général Commandant en chef, en date 23 octobre 1918, nous en dit plus sur les circonstances de sa blessure :
« Aumônier depuis près de 4 ans au Régiment, objet de l’estime et de l’affection de tous, qu’il ne cesse de soutenir et de soigner. Toujours là où il faut secourir, entraider ou consoler, continue à apporter chaque fois qu’il le faut au Régiment, le secours de son ministère bien qu’affecté au Groupe de Brancardiers de Corps d’Armée. Vient d’être blessé en allant voir les hommes du Régiment en 1ère ligne. Deux citations. Trois blessures. »
Bonne soirée
Eric
après une mauvaise manipulation en ajoutant ce soir le message du dessus sur l'ordre de bataille du 320e régiment d'infanterie je remets l'article sur l'aumônier Saint-Léger que je viens d'effacer.
Henri Edmond SAINT-LÉGER
Aumônier du 120e Régiment d’Infanterie
Le Journal de Marche et des Opérations du service de santé de la 4ème Division d’Infanterie signale pour la journée du 12 avril 1918 :
« L’aumônier Saint-Léger au 120e RI est blessé mais non évacué une plaie du thorax côté gauche région axillaire par balle de mitrailleuses (pas de suites sérieuses à prévoir). » (26N267/10, page 85)
La citation qui comporte l’attribution de la Légion d’Honneur au grade de chevalier – par ordre n° 10781 du général Commandant en chef, en date 23 octobre 1918, nous en dit plus sur les circonstances de sa blessure :
« Aumônier depuis près de 4 ans au Régiment, objet de l’estime et de l’affection de tous, qu’il ne cesse de soutenir et de soigner. Toujours là où il faut secourir, entraider ou consoler, continue à apporter chaque fois qu’il le faut au Régiment, le secours de son ministère bien qu’affecté au Groupe de Brancardiers de Corps d’Armée. Vient d’être blessé en allant voir les hommes du Régiment en 1ère ligne. Deux citations. Trois blessures. »
Bonne soirée
Eric