
Ils prennent le plateau et ainsi aveuglent notre artillerie du nord de la rivière. Un soldat allemand témoigne : "A nos pieds se trouve maintenant toute la vallée de l'Aisne, et pour la première fois, le regard peut embrasser sans obstacle la ville et la cathédrale de Soissons"

La ligne de l'Aisne passe en fait derrière les silos qui nous cachent le pont des anglais.

Cordialement,
Gilles