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ROSSIGNOL I - Chalutier
Re: ROSSIGNOL - Patrouilleur, ex-baleinier norvégien
Bonjour,
"Le 7 octobre 1917, le Rossignol recueille à cinq milles de Penmarch, une embarcation avec quatre hommes du trois-mâts Saint Jean, coulé à 420 milles à l'ouest d'Ouessant."
"Le 4 novembre 1917, vers 7 heures du soir et par nuit obscure, le Rossignol se trouvait avec les pêcheurs de Port-Louis, à environ 3 milles au sud du phare des Cardinaux, lorsque le bateau n°933 de Lorient, relevant son chalut, aperçut, au milieu des poissons frétillants qu'il ramenait, la masse noire d'une superbe mine allemande. Il prévint aussitôt le chef d'escorte qui, après avoir fait évacuer le bateau par son équipage, le prit en remorque pour le conduire devant une plage de Belle-île en vue d'y échouer la mine.
Vers 9 h 15, la machine du Rossignol stoppe subitement, et le matelot fusilier Morio, envoyé dans le youyou du dundee constate qu'une seconde mine est prise à moins de trois mètres de la fesse du patrouilleur, montrant trois de ses perfides antennes à la surface de la mer. A travers l'eau phosphorescente, il distingue l'orin de la mine raidi et venant de l'arrière, engagé dans une branche de l'hélice.
Sur les indications du courageux marin, la machine est virée alternativement en arrière et en avant, mais toutes les tentatives sont vaines, et le pauvre baleinier reste immobilisé, flanqué du bateau dont il a pris la remorque. Le patron lance un S.O.S. qui met en émoi tous les postes de T.S.F., et de toutes parts des bâtiments de patrouille volent à son secours, sans le trouver d'ailleurs, par suite d'une erreur dans l'indication de sa position. Pendant de longues heures qui paraissent interminables, l'équipage reste ainsi en suspens, s'attendant à être expédié ad patres d'une seconde à l'autre ; mais l'idée ne vient pas à ces braves gens d'abandonner leur navire, dont ils espèrent le salut d'un hasard miraculeux.
Ce miracle se produit heureusement. Ce que les hommes n'ont pu obtenir de leurs manoeuvres, le renversement de marée le produit, et tout à coup le Rossignol part à la dérive : la mine s'est dégagée d'elle-même, et, phénomène encore plus inexplicable, celle du chalut a également disparu. Les condamnés poussent un "ouf !" de soulagement et chacun se félicite d'un dénouement aussi heureux. Il n'en reste pas moins que l'entrée sud du couteau de Belle-île est minée pour la quatrième fois, ce qui met du pain sur la planche pour les dragueurs de l'escadrille."
Source : Marcel Rondeleux, L'apogée de la guerre sous-marine, 1917-1918, Les éditions de France, 1937.
Cordialement.
"Le 7 octobre 1917, le Rossignol recueille à cinq milles de Penmarch, une embarcation avec quatre hommes du trois-mâts Saint Jean, coulé à 420 milles à l'ouest d'Ouessant."
"Le 4 novembre 1917, vers 7 heures du soir et par nuit obscure, le Rossignol se trouvait avec les pêcheurs de Port-Louis, à environ 3 milles au sud du phare des Cardinaux, lorsque le bateau n°933 de Lorient, relevant son chalut, aperçut, au milieu des poissons frétillants qu'il ramenait, la masse noire d'une superbe mine allemande. Il prévint aussitôt le chef d'escorte qui, après avoir fait évacuer le bateau par son équipage, le prit en remorque pour le conduire devant une plage de Belle-île en vue d'y échouer la mine.
Vers 9 h 15, la machine du Rossignol stoppe subitement, et le matelot fusilier Morio, envoyé dans le youyou du dundee constate qu'une seconde mine est prise à moins de trois mètres de la fesse du patrouilleur, montrant trois de ses perfides antennes à la surface de la mer. A travers l'eau phosphorescente, il distingue l'orin de la mine raidi et venant de l'arrière, engagé dans une branche de l'hélice.
Sur les indications du courageux marin, la machine est virée alternativement en arrière et en avant, mais toutes les tentatives sont vaines, et le pauvre baleinier reste immobilisé, flanqué du bateau dont il a pris la remorque. Le patron lance un S.O.S. qui met en émoi tous les postes de T.S.F., et de toutes parts des bâtiments de patrouille volent à son secours, sans le trouver d'ailleurs, par suite d'une erreur dans l'indication de sa position. Pendant de longues heures qui paraissent interminables, l'équipage reste ainsi en suspens, s'attendant à être expédié ad patres d'une seconde à l'autre ; mais l'idée ne vient pas à ces braves gens d'abandonner leur navire, dont ils espèrent le salut d'un hasard miraculeux.
Ce miracle se produit heureusement. Ce que les hommes n'ont pu obtenir de leurs manoeuvres, le renversement de marée le produit, et tout à coup le Rossignol part à la dérive : la mine s'est dégagée d'elle-même, et, phénomène encore plus inexplicable, celle du chalut a également disparu. Les condamnés poussent un "ouf !" de soulagement et chacun se félicite d'un dénouement aussi heureux. Il n'en reste pas moins que l'entrée sud du couteau de Belle-île est minée pour la quatrième fois, ce qui met du pain sur la planche pour les dragueurs de l'escadrille."
Source : Marcel Rondeleux, L'apogée de la guerre sous-marine, 1917-1918, Les éditions de France, 1937.
Cordialement.
Memgam
ROSSIGNOL-I — Patrouilleur, ex-baleinier suédois Odin (1916~1919).
Bonsoir à tous,
• Lloyd’s Register of Shipping, 1922~1923, Steamers,
Lettre R., n° 71.647, p. num. 974.
Lettre R., n° 71.647, p. num. 974.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: ROSSIGNOL - Patrouilleur, ex-baleinier norvégien
Bonjour,
Voici un site qui recense le navire ODIN en 1906 (chantier : Kristiansand Mek Verksted AS, Kristiansand - et armateur : Elias Olsen, Florø) :
https://www.skipet.no/skipsbygging/stal ... istiansand
A bientôt.
Voici un site qui recense le navire ODIN en 1906 (chantier : Kristiansand Mek Verksted AS, Kristiansand - et armateur : Elias Olsen, Florø) :
https://www.skipet.no/skipsbygging/stal ... istiansand
A bientôt.
Cordialement / Best regards
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
ROSSIGNOL I - Chalutier
Bonjour
Une annonce de vente du navire ROSSIGNOL I parue dans le journal "L'Echo de Paris" du 1er août 1919 (RetroNews) :
A bientôt.
Une annonce de vente du navire ROSSIGNOL I parue dans le journal "L'Echo de Paris" du 1er août 1919 (RetroNews) :
A bientôt.
Cordialement / Best regards
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Re: ROSSIGNOL I - Chalutier
Cordialement
Alain
Alain
Re: ROSSIGNOL I - Chalutier
Bonjour Alain, bonjour à tous,
Je fusionne les deux sujets.
A bientôt.
Je fusionne les deux sujets.
A bientôt.
Cordialement / Best regards
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
ROSSIGNOL-I — Patrouilleur, ex-baleinier norvégien Odin (1916~1919).
Bonsoir à tous,
Rossignol-I — Patrouilleur, ex-baleinier norvégien Odin (1916~1919).
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Rossignol-I — Patrouilleur, ex-baleinier norvégien Odin (1916~1919).
« Fiskebåt » (Bateau de pêche) en acier construit en 1906 à Trodhjem (Norvège) par la société Kris-tiansands mekaniske værksted ⅍ (K.M.V), pour le compte de l’armement Elias OLSEN, de Florø (– d° –) ; № de chantier : 119. (1) (2)
Cédé en 1916 à l’État français. Renommé Rossignol-I, puis armé en patrouilleur. Du 1er septembre 1917 au 9 janvier 1918, affecté à la 4e Escadrille de patrouille de la Division des patrouilles de Bretagne, puis, ensuite, à l’Escadrille de patrouille de la Loire, étant basé à Saint-Nazaire. (3) Fut administrati-vement considéré comme bâtiment armé en guerre (4) :
— du 14 novembre 1916 au 10 décembre 1917 ;
— du 7 février au 27 septembre 1918 ;
— du 1er au 27 décembre 1918 ;
— du 17 mai au 24 octobre 1919, date de cessation des hostilités.
Avec 15 autres grands chalutiers (Balsamine, Épervier, Étourneau-I, Eurvin, Fourmi, Furet-I, Girafe-II, Héron-I, Iris, Kangourou, Rusé, Lorientais, Œillet, Pingouin-I et Ville-de-Boulogne), et 11 autres de moindre tonnage (Bossoir, Clinfoc, Esturgeon, Étalingure, Galhauban, Hareng, Hermine, Traver-sière, Trinquette, Truite-I et Zibeline), mis en vente le 27 août 1919 par le Sous-secrétariat à la liqui-dation des stocks dans les locaux de la Préfecture maritime de Toulon selon la procédure d’adjudication publique sur soumissions cachetées. (5) Acquis par l’armateur Paul BESSET établi à Alger (6) ; attaché au port d’Alger. (7)
Sort ultérieur indéterminé.
Caractéristiques générales. — Jauge : 117 tx jb et 51 tx jn. Dimensions : 102.8 x 17.9 x 8.6 ft [31,33 x 5,45 x 2,62 m]. Propulsion : Machine compound comportant deux cylindres et développant 13 nhp. Vi-tesse : 7,5 nd.
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(1) Skipet —> https://www.skipet.no/skipsbygging/stal ... istiansand
(2) Lloyd’s Register of Shipping, 1917~1918, Steamers, Lettre O., n° 90, p. num. 754. ~ Lloyd’s Register of Shipping, 1919~1920, Steamers, Lettre O., n° 22.262., p. num. 779.
(3) Lieutenant de vaisseau Georges Olivier Léon AUBIN : « Historique des patrouilles de Bretagne et de la Loire du 1er septembre 1917 à la fin de la guerre », École de guerre navale, Session 1923∽1924, 74 p. + V an-nexes ― Spécialement : p. 42, p. 45 et Annexe IV.
(4) Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. (Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 762).
(5) La Dépêche de Brest, n° 13.218, Mardi 5 août 1919, p. 4.
Cédé en 1916 à l’État français. Renommé Rossignol-I, puis armé en patrouilleur. Du 1er septembre 1917 au 9 janvier 1918, affecté à la 4e Escadrille de patrouille de la Division des patrouilles de Bretagne, puis, ensuite, à l’Escadrille de patrouille de la Loire, étant basé à Saint-Nazaire. (3) Fut administrati-vement considéré comme bâtiment armé en guerre (4) :
— du 14 novembre 1916 au 10 décembre 1917 ;
— du 7 février au 27 septembre 1918 ;
— du 1er au 27 décembre 1918 ;
— du 17 mai au 24 octobre 1919, date de cessation des hostilités.
Avec 15 autres grands chalutiers (Balsamine, Épervier, Étourneau-I, Eurvin, Fourmi, Furet-I, Girafe-II, Héron-I, Iris, Kangourou, Rusé, Lorientais, Œillet, Pingouin-I et Ville-de-Boulogne), et 11 autres de moindre tonnage (Bossoir, Clinfoc, Esturgeon, Étalingure, Galhauban, Hareng, Hermine, Traver-sière, Trinquette, Truite-I et Zibeline), mis en vente le 27 août 1919 par le Sous-secrétariat à la liqui-dation des stocks dans les locaux de la Préfecture maritime de Toulon selon la procédure d’adjudication publique sur soumissions cachetées. (5) Acquis par l’armateur Paul BESSET établi à Alger (6) ; attaché au port d’Alger. (7)
Sort ultérieur indéterminé.
Caractéristiques générales. — Jauge : 117 tx jb et 51 tx jn. Dimensions : 102.8 x 17.9 x 8.6 ft [31,33 x 5,45 x 2,62 m]. Propulsion : Machine compound comportant deux cylindres et développant 13 nhp. Vi-tesse : 7,5 nd.
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(1) Skipet —> https://www.skipet.no/skipsbygging/stal ... istiansand
(2) Lloyd’s Register of Shipping, 1917~1918, Steamers, Lettre O., n° 90, p. num. 754. ~ Lloyd’s Register of Shipping, 1919~1920, Steamers, Lettre O., n° 22.262., p. num. 779.
(3) Lieutenant de vaisseau Georges Olivier Léon AUBIN : « Historique des patrouilles de Bretagne et de la Loire du 1er septembre 1917 à la fin de la guerre », École de guerre navale, Session 1923∽1924, 74 p. + V an-nexes ― Spécialement : p. 42, p. 45 et Annexe IV.
(4) Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. (Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 762).
(5) La Dépêche de Brest, n° 13.218, Mardi 5 août 1919, p. 4.
(6) — BESSET Paul Alexis, né le 26 juin 1884 à Mustapha (Algérie)] (Registre des actes de naissance de la commune de Mustapha, Année 1884, f° 85, acte n° 337), décédé le ... à ... (...).
Capitaine au long-cours (Brevet conféré en 1911. Initialement inscrit le 30 novembre 1905 au quartier d’Al-ger, f° et n° 1.824) ; radié de la matricule des gens de mer le 21 mai 1926. Armateur à Alger.
Classe 1904, n° 776 au recrutement d’Alger. Promu au grade d’enseigne de vaisseau de 1re classe auxiliaire à compter du 1er janvier 1918. De cette date au 16 décembre 1918, embarqué sur le croiseur protégé Cassard (Capitaine de frégate Paul Charles Marie FRANQUES, commandant).
• Fils d’Élizé Pierre BESSET, né le 13 janvier 1855 à Albi (Tarn) (Registre des actes de naissance de la ville d’Albi, Année 1855, f° 3, acte n° 14), décédé le 13 mai 1894 à Philippeville — aujourd’hui Skikda — (Départe-ment de Constantine, Algérie), docteur en droit, magistrat [Procureur de la République (1913)]. Et de Marie Azeline GRILLOT, née le 19 décembre 1856 à Koléa (Département d’Alger, Algérie), décédée le ... à ... (...), sans profession. Époux ayant contracté mariage à Alger, le 29 juillet 1880 (Registre des actes de mariage de la ville d’Alger, Année 1880, f° 261, acte n° 261).
• Époux de Gabrielle Suzanne LAPASSET, née le 3 septembre 1892 à Lyon (IIe Arr. ; Rhône), décédée le 20 septembre 1968 à Erquy (Côtes-d’Armor) (Registre des actes de naissance du IIe arrondissement de la ville de Lyon, Année 1892, Vol. II., f° 423, acte n° 2.208), avec laquelle il avait contracté mariage à Sainte-Eugénie (Département de Constantine, Algérie), le 17 janvier 1913.
Fille de Victor Philippe Ferdinand LAPASSET, né le 3 décembre 1860 à Calais (Pas-de-Calais), médecin mili-taire [En 1918, médecin-inspecteur, chef du Service de santé de la VIIe Armée], décédé le 6 janvier 1936 à Bourg-la-Reine (Registre des actes de décès de la commune de Bourg-la-Reine, Année 1936, f° 2, acte n° 4). Et d’Antoinette Pauline Denise GIROT, née le 5 décembre 1870 à Paris (IXe Arr.) (Registre des actes de nais-sance du IXe arrondissement de la ville de Paris, Année 1870, f° x, acte n° 2.134), sans profession. Époux ayant contracté mariage à Paris (VIe Arr.), le 27 janvier 1891 (Registre des actes de mariage du VIe arrondis-sement de la ville de Paris, Année 1891, f° 34, acte n° 66).
(7) Lloyd’s Register of Shipping, 1920~1921, Steamers, Lettre R., n° 7.058, p. num. 1.010. ~ Lloyd’s Register of Shipping, 1921~1922, Steamers, Lettre R., n° 29.127, p. num. 1.068.~ Lloyd’s Register of Shipping, 1922~ 1923, Steamers, Lettre R., n° 71.647, p. num. 974.
Capitaine au long-cours (Brevet conféré en 1911. Initialement inscrit le 30 novembre 1905 au quartier d’Al-ger, f° et n° 1.824) ; radié de la matricule des gens de mer le 21 mai 1926. Armateur à Alger.
Classe 1904, n° 776 au recrutement d’Alger. Promu au grade d’enseigne de vaisseau de 1re classe auxiliaire à compter du 1er janvier 1918. De cette date au 16 décembre 1918, embarqué sur le croiseur protégé Cassard (Capitaine de frégate Paul Charles Marie FRANQUES, commandant).
• Fils d’Élizé Pierre BESSET, né le 13 janvier 1855 à Albi (Tarn) (Registre des actes de naissance de la ville d’Albi, Année 1855, f° 3, acte n° 14), décédé le 13 mai 1894 à Philippeville — aujourd’hui Skikda — (Départe-ment de Constantine, Algérie), docteur en droit, magistrat [Procureur de la République (1913)]. Et de Marie Azeline GRILLOT, née le 19 décembre 1856 à Koléa (Département d’Alger, Algérie), décédée le ... à ... (...), sans profession. Époux ayant contracté mariage à Alger, le 29 juillet 1880 (Registre des actes de mariage de la ville d’Alger, Année 1880, f° 261, acte n° 261).
• Époux de Gabrielle Suzanne LAPASSET, née le 3 septembre 1892 à Lyon (IIe Arr. ; Rhône), décédée le 20 septembre 1968 à Erquy (Côtes-d’Armor) (Registre des actes de naissance du IIe arrondissement de la ville de Lyon, Année 1892, Vol. II., f° 423, acte n° 2.208), avec laquelle il avait contracté mariage à Sainte-Eugénie (Département de Constantine, Algérie), le 17 janvier 1913.
Fille de Victor Philippe Ferdinand LAPASSET, né le 3 décembre 1860 à Calais (Pas-de-Calais), médecin mili-taire [En 1918, médecin-inspecteur, chef du Service de santé de la VIIe Armée], décédé le 6 janvier 1936 à Bourg-la-Reine (Registre des actes de décès de la commune de Bourg-la-Reine, Année 1936, f° 2, acte n° 4). Et d’Antoinette Pauline Denise GIROT, née le 5 décembre 1870 à Paris (IXe Arr.) (Registre des actes de nais-sance du IXe arrondissement de la ville de Paris, Année 1870, f° x, acte n° 2.134), sans profession. Époux ayant contracté mariage à Paris (VIe Arr.), le 27 janvier 1891 (Registre des actes de mariage du VIe arrondis-sement de la ville de Paris, Année 1891, f° 34, acte n° 66).
(7) Lloyd’s Register of Shipping, 1920~1921, Steamers, Lettre R., n° 7.058, p. num. 1.010. ~ Lloyd’s Register of Shipping, 1921~1922, Steamers, Lettre R., n° 29.127, p. num. 1.068.~ Lloyd’s Register of Shipping, 1922~ 1923, Steamers, Lettre R., n° 71.647, p. num. 974.
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Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.