12e régiment d'infanterie territoriale
Citations
J.O. du 4 janvier 1923 page 629
12e rég. d'infanterie territoriale.
BOUDOIS (sic) LIRE BONDOIS (François-Désiré-Paul), matricule 5489, soldat : brave soldat, s'étant vaillamment comporté au feu dès le début de la campagne. Tombé glorieusement, le 11 novembre 1914, à Lombaertzyde. Croix de guerre avec étoile de bronze.
CAILLE (Louis-Joseph-Célestin), matricule 3153, soldat : soldat courageux et dévoué. Tombé glorieusement pour la France, le 11 novembre 1914, en Belgique. Croix de guerre avec étoile de bronze.
NEURREUIL (Henri), matricule 5081, soldat : brave Soldat. Tombé glorieusement à son poste de combat, le 11 novembre 1914, en Belgique, en faisant son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.
PRIEUR (Julien-Félix), matricule 2098, soldat : excellent soldat. Tombé au champ d'honneur, le 11 novembre 1914, à Lombaertzyde en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.
TROCME (Théodule-Marius-Arthur), matricule 017090, soldat : brave soldat. Glorieusement tombé pour la France, le 11 novembre 1914, en Belgique. Croix de guerre avec étoile de bronze.
VASSEUR (Edouard-Arthur), matricule 1965, soldat : brave soldat. Tombé glorieusement pour la France, le 11 novembre 1914, en Belgique. Croix de guerre avec étoile de bronze.
12e régiment d'infanterie territoriale
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Eric ABADIE
Eric ABADIE
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12e régiment d'infanterie territoriale
François Désiré Paul BONDOIS
Mort pour la France le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde (Belgique)
Né le 4 juin 1876 à Picquigny (Somme)
soldat de 2e classe au 12e régiment d'infanterie territoriale (12e RIT)
Classe 1896 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 279
Lieu de transcription du décès : Flixecourt (Somme)
Cultivateur à Fourdrinoy au moment de son passage devant le conseil de révision à ses vingt ans. Il mesure alors 1 mètre 65 avec un degré d'instruction de niveau 3.
Il accomplit une période d'exercices dans les rangs du 12e Territorial du 4 au 12 novembre 1912.
Le décret présidentiel portant ordre de mobilisation générale le rappelle à l'activité. il arrive à la caserne Friant le 4 août 1914 pour rejoindre les rangs du 12e régiment territorial d'infanterie sous le n° matricule au corps : 600.
Il est porté disparu le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde - avis ministériel du 14 mars 1915.
Le décès sera fixé à cette date, par jugement déclaratif rendu par le tribunal d'Amiens le 9 avril 1921 (avis ministériel du 20 mai 1921).
Bondois, François Désiré Paul, né le 4 juin 1876 à Picquigny (Somme), classe 1896, matricule n° 279, Bureau de recrutement d'Amiens 1R882 Archives de la Somme
Louis Joseph CAILLE
Mort pour la France le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde (Belgique)
Né le 30 avril 1881 à Gueschart (Somme)
soldat de 2e classe au 12e régiment d'infanterie territoriale (12e RIT)
Classe 1899 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 1228
Lieu de transcription du décès : Creil (Oise)
Rappelé à l'activité lors de la mobilisation générale du 1er août 1914. Il arrive au 12e régiment territorial d'infanterie à Amiens le 4 août 1914 où il est enregistré sous le n° matricule au corps : 5153. Il rejoint les armées avec son régiment dès le lendemain.
Disparu le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde, d'après avis ministériel du 13 mars 1915 ; serait présumé mort. Le décès sera fixé à cette date, par jugement déclaratif rendu par le tribunal d'Amiens le 25 octobre 1921 par le tribunal de Senlis ; (avis ministériel du 20 décembre 1921).
Caille, Louis Jules Célestin Fernand, né le 30 avril 1881 à Gueschart (Somme), classe 1901, matricule n° 1228, Bureau de recrutement d'Amiens 1R939 Archives de la Somme
Henri NEURREUIL
Mort pour la France le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde (Belgique)
Né le 30 septembre 1879 à Amiens (Somme)
soldat de 2e classe au 12e régiment d'infanterie territoriale (12e RIT)
Classe 1899 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 928
Lieu de transcription du décès : Amiens (Somme)
Journalier à Amiens, le jeune homme mesure 1 mètre 55 et possède un degré d'instruction de niveau 3, au moment de son passage devant le conseil de révision d'Amiens N.O. en 1899
Entre novembre 1900 et septembre 1903, il est incorporé au 120e régiment d'infanterie soit à Péronne soit à Saint-Denis.
Rappelé à l'activité lors de la mobilisation générale du 1er août 1914. Il arrive au 12e régiment territorial d'infanterie à Amiens le 4 août 1914 où il est enregistré sous le n° matricule au corps : 5081. Il rejoint les armées avec son régiment dès le lendemain.
Disparu le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde (Belgique) - avis ministériel du 21 mars 1915.
Décès fixé au 11 novembre 1914 à Lombaertzyde par jugement déclaratif rendu par le tribunal d'Amiens le 5 novembre 1920. "Mort pour la France"
Neurreuil, Henri, né le 30 septembre 1879 à Amiens (Somme), classe 1899, matricule n° 928, Bureau de recrutement d'Amiens 1R919 Archives de la Somme
Ses frères seront aussi mobilisés :
NEURREUIL Alfred, né le 6 janvier 1870 à Amiens, lui aussi fils de Louis Alfred Neurreuil et de Delacloy Marceline, sera aussi rappelé au 12e régiment territorial d'infanterie lors de la mobilisation générale début août 1914. Il arrivera au corps le 12 septembre 1914 (évacué mobilisable) et sera affecté au service des G.V.C. de la subdivision d'Amiens.
A compter du 1er juillet 1915, il sera détaché aux fonderies de Saint-Nazaire. Il rentrera au dépôt le 16 janvier 1917 et sera relevé pour inaptitude physique et classé service auxiliaire. Il finira par être renvoyé dans ses foyers le 10 février 1917.
Neurreuil, Alfred, né le 6 janvier 1870 à Amiens (Somme), classe 1890, matricule n° 935, Bureau de recrutement d'Amiens 1R814 Archives de la Somme
et NEURREUIL Léon Louis - celui-ci fera campagne contre l'Allemagne du 4 août 1914 au 5 février 1919. Rappelé comme ses frères au 12e régiment territorial d'infanterie n° matricule au corps : 15832 (12e R.I.T., il passe au 115e d'infanterie le 8 octobre 1914 puis au 32e régiment territorial d'infanterie le 19 mai 1915.
Neurreuil, Léon Louis, né le 29 novembre 1874 à Amiens (Somme), classe 1894, matricule n° 800, Bureau de recrutement d'Amiens 1R859 Archives de la Somme
Julien Felix PRIEUR
Mort pour la France le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde (Belgique) Disparu
Né le 10 ou 19 juin 1877 à Maromme ou Houlme (Le) (Seine-Maritime) (ex Seine-Inférieure)
soldat de 2e classe au 12e régiment d'infanterie territoriale (12e RIT)
Classe 1897 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 1300
Lieu de transcription du décès : Amiens (Somme)
Ouvrier de ferme, il demeure au 264, route d'Abbeville à Amiens au moment de son passage devant le conseil de révision. Il mesure 1 mètre 64. Son degré d'instruction est évalué au niveau 3.
Ajourné en 1898, il est déclaré "Bon pour le service", l'année suivante.
Il passe dans l'armée territoriale, le 1er octobre 1911 avec une affectation au 12e régiment territorial d'infanterie.
Il accomplit une période d'exercices au sein du 12e régiment territorial entre le 29 mai et le 6 juin 1912
Rappelé à l'activité par décret présidentiel ordonnant la mobilisation générale le 1er août 1914. Il arrive au corps le 4 août suivant n° matricule au corps : 2098. Parti en renfort le 2 octobre 1914 (au 72e R.I. ou plutôt au 12e Territorial.
Disparu le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde - avis ministériel du 21 mars 1915.
Décès fixé à cette date par jugement déclaratif rendu par le tribunal d'Amiens le 15 juillet 1921.
Prieur, Julien Félix, né le 19 juin 1877 à Maromme (Seine-Maritime), classe 1897, matricule n° 1300, Bureau de recrutement d'Amiens 1R896 Archives de la Somme
et
Prieur, Julien Félix, né le 19 juin 1877 à Le Houlme (Seine-Maritime), classe 1897, matricule n° 1300, Bureau de recrutement d'Amiens 3U2_2135 Archives de la Somme
Arthur Théodule Marius TROCME
Mort pour la France le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde (Belgique) Tué à l'ennemi
Né le 5 avril 1875 à Chaulnes (Somme)
soldat au 12e régiment d'infanterie territoriale (12e RIT)
Classe 1895 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 928
Lieu de transcription du décès : Saint-Just-en-Chaussée (Oise)
Employé de bureau, il demeure au 66, rue de la Castille à Amiens alors qu'il se présente devant le conseil de révision en 1895. L'année suivante, il est incorporé au 72e d'infanterie pour une durée d'un an.
Il accomplit une période d'exercices au 12e régiment territorial d'infanterie entre le 25 mai et le 2 juin 1910.
Le décret ordonnant la mobilisation générale du 1er août 1914, lui enjoint de se présenter à la caserne Friant d'Amiens le 4 août courant. Ce jour là, après s'être fait enregistré sous le n° matricule : 17091, il est employé à la réquisition des chevaux. Il est vraisemblable qu'il part aux armées dans les jours suivants.
Il disparaît le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde. Son décès sera fixé à cette date par jugement déclaratif rendu par le tribunal de Clermont en date du 21 mars 1921.
Trocmé, Arthur Théodule Marius, né le 5 avril 1875 à Chaulnes (Somme), classe 1895, matricule n° 928, Bureau de recrutement d'Amiens 1R871 Archives de la Somme
Edouard Arthur VASSEUR
Mort pour la France le ??? 1914 à Lambaertzyde (sic), (Belgique) Disparu au combat
Né le 22 juillet 1877 à Amiens (Somme)
soldat au 12e régiment d'infanterie territoriale (12e RIT)
Classe 1897 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 845
Date de transcription du décès le 12-06-1920
Lieu de transcription du décès : Amiens (Somme)
Coupeur de chausseurs, rue des parcheminiers dans le quartier Saint-Leu à Amiens au moment de son passage devant le conseil de révision du canton d'Amiens N.E.
C'est au 72e de ligne d'Amiens qu'il fait son service militaire entre novembre 1898 et septembre 1899. Il est l'ainé d'une famille de 8 enfants.
Il accomplit une période 'exercices au sein du 12e Territorial entre le 29 mai et le 6 juin 1912.
1914, il est rappelé à l'activité par décret de mobilisation général du 1er août 1914. Il arrive au corps (12e régiment d'infanterie territorial) le 4 août. Là, il reçoit un n° matricule le : 1965.
Il est porté disparu le novembre 1914 au combat de Lombaertzyde (Belgique). Son décès sera fixé par jugement déclaratif rendu par le tribunal civil d'Amiens le 18 mai 1920.
Vasseur, Edouard Arthur, né le 22 juillet 1877 à Amiens (Somme), classe 1897, matricule n° 845, Bureau de recrutement d'Amiens 1R895 Archives de la Somme
François Désiré Paul BONDOIS
Mort pour la France le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde (Belgique)
Né le 4 juin 1876 à Picquigny (Somme)
soldat de 2e classe au 12e régiment d'infanterie territoriale (12e RIT)
Classe 1896 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 279
Lieu de transcription du décès : Flixecourt (Somme)
Cultivateur à Fourdrinoy au moment de son passage devant le conseil de révision à ses vingt ans. Il mesure alors 1 mètre 65 avec un degré d'instruction de niveau 3.
Il accomplit une période d'exercices dans les rangs du 12e Territorial du 4 au 12 novembre 1912.
Le décret présidentiel portant ordre de mobilisation générale le rappelle à l'activité. il arrive à la caserne Friant le 4 août 1914 pour rejoindre les rangs du 12e régiment territorial d'infanterie sous le n° matricule au corps : 600.
Il est porté disparu le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde - avis ministériel du 14 mars 1915.
Le décès sera fixé à cette date, par jugement déclaratif rendu par le tribunal d'Amiens le 9 avril 1921 (avis ministériel du 20 mai 1921).
Bondois, François Désiré Paul, né le 4 juin 1876 à Picquigny (Somme), classe 1896, matricule n° 279, Bureau de recrutement d'Amiens 1R882 Archives de la Somme
Louis Joseph CAILLE
Mort pour la France le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde (Belgique)
Né le 30 avril 1881 à Gueschart (Somme)
soldat de 2e classe au 12e régiment d'infanterie territoriale (12e RIT)
Classe 1899 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 1228
Lieu de transcription du décès : Creil (Oise)
Rappelé à l'activité lors de la mobilisation générale du 1er août 1914. Il arrive au 12e régiment territorial d'infanterie à Amiens le 4 août 1914 où il est enregistré sous le n° matricule au corps : 5153. Il rejoint les armées avec son régiment dès le lendemain.
Disparu le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde, d'après avis ministériel du 13 mars 1915 ; serait présumé mort. Le décès sera fixé à cette date, par jugement déclaratif rendu par le tribunal d'Amiens le 25 octobre 1921 par le tribunal de Senlis ; (avis ministériel du 20 décembre 1921).
Caille, Louis Jules Célestin Fernand, né le 30 avril 1881 à Gueschart (Somme), classe 1901, matricule n° 1228, Bureau de recrutement d'Amiens 1R939 Archives de la Somme
Henri NEURREUIL
Mort pour la France le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde (Belgique)
Né le 30 septembre 1879 à Amiens (Somme)
soldat de 2e classe au 12e régiment d'infanterie territoriale (12e RIT)
Classe 1899 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 928
Lieu de transcription du décès : Amiens (Somme)
Journalier à Amiens, le jeune homme mesure 1 mètre 55 et possède un degré d'instruction de niveau 3, au moment de son passage devant le conseil de révision d'Amiens N.O. en 1899
Entre novembre 1900 et septembre 1903, il est incorporé au 120e régiment d'infanterie soit à Péronne soit à Saint-Denis.
Rappelé à l'activité lors de la mobilisation générale du 1er août 1914. Il arrive au 12e régiment territorial d'infanterie à Amiens le 4 août 1914 où il est enregistré sous le n° matricule au corps : 5081. Il rejoint les armées avec son régiment dès le lendemain.
Disparu le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde (Belgique) - avis ministériel du 21 mars 1915.
Décès fixé au 11 novembre 1914 à Lombaertzyde par jugement déclaratif rendu par le tribunal d'Amiens le 5 novembre 1920. "Mort pour la France"
Neurreuil, Henri, né le 30 septembre 1879 à Amiens (Somme), classe 1899, matricule n° 928, Bureau de recrutement d'Amiens 1R919 Archives de la Somme
Ses frères seront aussi mobilisés :
NEURREUIL Alfred, né le 6 janvier 1870 à Amiens, lui aussi fils de Louis Alfred Neurreuil et de Delacloy Marceline, sera aussi rappelé au 12e régiment territorial d'infanterie lors de la mobilisation générale début août 1914. Il arrivera au corps le 12 septembre 1914 (évacué mobilisable) et sera affecté au service des G.V.C. de la subdivision d'Amiens.
A compter du 1er juillet 1915, il sera détaché aux fonderies de Saint-Nazaire. Il rentrera au dépôt le 16 janvier 1917 et sera relevé pour inaptitude physique et classé service auxiliaire. Il finira par être renvoyé dans ses foyers le 10 février 1917.
Neurreuil, Alfred, né le 6 janvier 1870 à Amiens (Somme), classe 1890, matricule n° 935, Bureau de recrutement d'Amiens 1R814 Archives de la Somme
et NEURREUIL Léon Louis - celui-ci fera campagne contre l'Allemagne du 4 août 1914 au 5 février 1919. Rappelé comme ses frères au 12e régiment territorial d'infanterie n° matricule au corps : 15832 (12e R.I.T., il passe au 115e d'infanterie le 8 octobre 1914 puis au 32e régiment territorial d'infanterie le 19 mai 1915.
Neurreuil, Léon Louis, né le 29 novembre 1874 à Amiens (Somme), classe 1894, matricule n° 800, Bureau de recrutement d'Amiens 1R859 Archives de la Somme
Julien Felix PRIEUR
Mort pour la France le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde (Belgique) Disparu
Né le 10 ou 19 juin 1877 à Maromme ou Houlme (Le) (Seine-Maritime) (ex Seine-Inférieure)
soldat de 2e classe au 12e régiment d'infanterie territoriale (12e RIT)
Classe 1897 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 1300
Lieu de transcription du décès : Amiens (Somme)
Ouvrier de ferme, il demeure au 264, route d'Abbeville à Amiens au moment de son passage devant le conseil de révision. Il mesure 1 mètre 64. Son degré d'instruction est évalué au niveau 3.
Ajourné en 1898, il est déclaré "Bon pour le service", l'année suivante.
Il passe dans l'armée territoriale, le 1er octobre 1911 avec une affectation au 12e régiment territorial d'infanterie.
Il accomplit une période d'exercices au sein du 12e régiment territorial entre le 29 mai et le 6 juin 1912
Rappelé à l'activité par décret présidentiel ordonnant la mobilisation générale le 1er août 1914. Il arrive au corps le 4 août suivant n° matricule au corps : 2098. Parti en renfort le 2 octobre 1914 (au 72e R.I. ou plutôt au 12e Territorial.
Disparu le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde - avis ministériel du 21 mars 1915.
Décès fixé à cette date par jugement déclaratif rendu par le tribunal d'Amiens le 15 juillet 1921.
Prieur, Julien Félix, né le 19 juin 1877 à Maromme (Seine-Maritime), classe 1897, matricule n° 1300, Bureau de recrutement d'Amiens 1R896 Archives de la Somme
et
Prieur, Julien Félix, né le 19 juin 1877 à Le Houlme (Seine-Maritime), classe 1897, matricule n° 1300, Bureau de recrutement d'Amiens 3U2_2135 Archives de la Somme
Arthur Théodule Marius TROCME
Mort pour la France le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde (Belgique) Tué à l'ennemi
Né le 5 avril 1875 à Chaulnes (Somme)
soldat au 12e régiment d'infanterie territoriale (12e RIT)
Classe 1895 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 928
Lieu de transcription du décès : Saint-Just-en-Chaussée (Oise)
Employé de bureau, il demeure au 66, rue de la Castille à Amiens alors qu'il se présente devant le conseil de révision en 1895. L'année suivante, il est incorporé au 72e d'infanterie pour une durée d'un an.
Il accomplit une période d'exercices au 12e régiment territorial d'infanterie entre le 25 mai et le 2 juin 1910.
Le décret ordonnant la mobilisation générale du 1er août 1914, lui enjoint de se présenter à la caserne Friant d'Amiens le 4 août courant. Ce jour là, après s'être fait enregistré sous le n° matricule : 17091, il est employé à la réquisition des chevaux. Il est vraisemblable qu'il part aux armées dans les jours suivants.
Il disparaît le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde. Son décès sera fixé à cette date par jugement déclaratif rendu par le tribunal de Clermont en date du 21 mars 1921.
Trocmé, Arthur Théodule Marius, né le 5 avril 1875 à Chaulnes (Somme), classe 1895, matricule n° 928, Bureau de recrutement d'Amiens 1R871 Archives de la Somme
Edouard Arthur VASSEUR
Mort pour la France le ??? 1914 à Lambaertzyde (sic), (Belgique) Disparu au combat
Né le 22 juillet 1877 à Amiens (Somme)
soldat au 12e régiment d'infanterie territoriale (12e RIT)
Classe 1897 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 845
Date de transcription du décès le 12-06-1920
Lieu de transcription du décès : Amiens (Somme)
Coupeur de chausseurs, rue des parcheminiers dans le quartier Saint-Leu à Amiens au moment de son passage devant le conseil de révision du canton d'Amiens N.E.
C'est au 72e de ligne d'Amiens qu'il fait son service militaire entre novembre 1898 et septembre 1899. Il est l'ainé d'une famille de 8 enfants.
Il accomplit une période 'exercices au sein du 12e Territorial entre le 29 mai et le 6 juin 1912.
1914, il est rappelé à l'activité par décret de mobilisation général du 1er août 1914. Il arrive au corps (12e régiment d'infanterie territorial) le 4 août. Là, il reçoit un n° matricule le : 1965.
Il est porté disparu le novembre 1914 au combat de Lombaertzyde (Belgique). Son décès sera fixé par jugement déclaratif rendu par le tribunal civil d'Amiens le 18 mai 1920.
Vasseur, Edouard Arthur, né le 22 juillet 1877 à Amiens (Somme), classe 1897, matricule n° 845, Bureau de recrutement d'Amiens 1R895 Archives de la Somme
Dernière modification par ae80 le dim. déc. 31, 2023 6:58 pm, modifié 2 fois.
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 12e régiment d'infanterie territoriale
12e régiment d'infanterie territoriale
G.V.C. (gardes des voies de communication)
BROIZAT Achille Bélizaire est né le 12 mai 1873 à Amiens (Somme). Il est le fils de Jean Joseph BROIZAT et de POIRÉ Hortense Sidonie Félicie domiciliés au Palais de Justice d'Amiens en 1993.
Il mesure 1 mètre 62, a les cheveux et sourcils blonds, les yeux châtains, un menton rond et un visage ovale.
Architecte de profession, son degré d'instruction générale est naturellement élevé puisqu'il porte le niveau 4.
Il est reconnu 'bon pour le service" par le conseil de révision du canton d'Amiens S.E.
Auparavant il sera ajourné à un an en 1894 tout comme en 1895. Il est déclaré "Bon" en 1896 et incorpore le 72e d'infanterie à Amiens, à compter du 12 novembre de la même année - n° matricule au corps : 9646. Le 18 septembre 1897, il est envoyé dans la disponibilité, un certificat de bonne conduite lui étant accordé. Il passe alors dans la réserve de l'armée active.
Il demeure à Paris, de 1897 à 1899, respectivement boulevard du Temple, rue de Malte et rue de Suez. En 1901, on le retrouve à Amiens, rue Dufresne puis en 1906 rue Vulfran-Warmé. En 1909, il habite la rue Enguerrand et enfin, en 1912, le n° 62, de la rue Vatable à Amiens.
1914. Il est convoqué pour une période d'exercices G.V.C. (gardes des voies de communication) (1), le 31 juillet 1914. Le décret présidentiel du lendemain 1er août 1914, ordonnant la mobilisation générale à partir du 2 août 1914, entraine automatiquement son maintien dans l'activité. Un état partiel de son fascicule de mobilisation indique que le soldat BROIZAT Achille Bélizaire fait partie du service de garde des voies de communication - Section C, Groupe 1, poste 5. A cet effet, il ne fera pas usage du chemin de fer, et se rendra à la gare de Saleux (Somme), immédiatement et sans délai. Sa mission terminée, le dénommé sera dirigé sur son corps, le 12e régiment territorial d'infanterie à Amiens - Caserne Friant.
Au 12e Territorial, un n° matricule au corps lui est attribué le 14412.
Il est proposé pour le service auxiliaire par la commission de réforme de Morlaix du 11 février 1915 pour affection cardiaque, névralgies intercostales. Il est classé dans ledit service le même jour. Réformé N°2 par la commission de réforme d'Amiens du 18 septembre 1915.
(1) Voir : https://gvc1418.fr/
Broizat, Achille Bélisaire, né le 12 mai 1873 à Amiens (Somme), classe 1893, matricule n° 136, Bureau de recrutement d'Amiens 1R846 Archives de la Somme
G.V.C. (gardes des voies de communication)
BROIZAT Achille Bélizaire est né le 12 mai 1873 à Amiens (Somme). Il est le fils de Jean Joseph BROIZAT et de POIRÉ Hortense Sidonie Félicie domiciliés au Palais de Justice d'Amiens en 1993.
Il mesure 1 mètre 62, a les cheveux et sourcils blonds, les yeux châtains, un menton rond et un visage ovale.
Architecte de profession, son degré d'instruction générale est naturellement élevé puisqu'il porte le niveau 4.
Il est reconnu 'bon pour le service" par le conseil de révision du canton d'Amiens S.E.
Auparavant il sera ajourné à un an en 1894 tout comme en 1895. Il est déclaré "Bon" en 1896 et incorpore le 72e d'infanterie à Amiens, à compter du 12 novembre de la même année - n° matricule au corps : 9646. Le 18 septembre 1897, il est envoyé dans la disponibilité, un certificat de bonne conduite lui étant accordé. Il passe alors dans la réserve de l'armée active.
Il demeure à Paris, de 1897 à 1899, respectivement boulevard du Temple, rue de Malte et rue de Suez. En 1901, on le retrouve à Amiens, rue Dufresne puis en 1906 rue Vulfran-Warmé. En 1909, il habite la rue Enguerrand et enfin, en 1912, le n° 62, de la rue Vatable à Amiens.
1914. Il est convoqué pour une période d'exercices G.V.C. (gardes des voies de communication) (1), le 31 juillet 1914. Le décret présidentiel du lendemain 1er août 1914, ordonnant la mobilisation générale à partir du 2 août 1914, entraine automatiquement son maintien dans l'activité. Un état partiel de son fascicule de mobilisation indique que le soldat BROIZAT Achille Bélizaire fait partie du service de garde des voies de communication - Section C, Groupe 1, poste 5. A cet effet, il ne fera pas usage du chemin de fer, et se rendra à la gare de Saleux (Somme), immédiatement et sans délai. Sa mission terminée, le dénommé sera dirigé sur son corps, le 12e régiment territorial d'infanterie à Amiens - Caserne Friant.
Au 12e Territorial, un n° matricule au corps lui est attribué le 14412.
Il est proposé pour le service auxiliaire par la commission de réforme de Morlaix du 11 février 1915 pour affection cardiaque, névralgies intercostales. Il est classé dans ledit service le même jour. Réformé N°2 par la commission de réforme d'Amiens du 18 septembre 1915.
(1) Voir : https://gvc1418.fr/
Broizat, Achille Bélisaire, né le 12 mai 1873 à Amiens (Somme), classe 1893, matricule n° 136, Bureau de recrutement d'Amiens 1R846 Archives de la Somme
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 12e régiment d'infanterie territoriale
12e régiment d'infanterie territoriale
Serpette, Léon Paul Henri
Employé de bureau, il demeure rue Neuve-Saint-Louis, 20, à Amiens (S.O.) au moment de son passage devant le conseil de révision en 1893. Il mesure 1 mètre 66 et possède un degré d'instruction de niveau 4. Par la suite il s'établit à Paris. Sa dernière adresse connue se trouve boulevard Denain dans le 10e arrondissement, en 1908.
Il est nommé adjudant de réserve le 2 juin 1898. En 1908, il effectue une période d'instruction au 12e régiment territorial du 13 au 12 septembre.
Rappelé à l'activité le 3 août 1914 lors de la mobilisation générale, il est nommé adjudant-chef le 21 décembre 1914. Nommé sous-lieutenant de réserve à titre temporaire par D.M. du 8 février 1915 pour prendre rang du 3 février - maintenu au 12e d'infanterie territorial. Sous-lieutenant à titre définitif le 24 octobre 1916 (décret du 26 novembre 1916).
Officier honoraire de l'infanterie territoriale (D.M. du 12-12-22). Il passe au 65e R.I.T. le 26 janvier 1917. Mis en congé illimité de démobilisation le 16 janvier 1918, se retire boulevard Denain, n° 7, à Paris.
Serpette, Léon Paul Henri, né le 5 juin 1873 à Lille (Nord), classe 1893, matricule n° 801, Bureau de recrutement d'Amiens 1R847 Archives de la Somme.
ANCIENS POILUS DU 12e TERRILORIAL
La flamme ranimée à l'Arc-de-Triomphe
L'Amicale des Anciens poilus du 12e Territorial avait été convoquée pour le samedi 3 décembre pour ranimer la flamme sur la tombe du Soldat Inconnu.
Le comité avait confié la mission cette année au 4e bataillon. Les anciens de ce bataillon très touchés de cet honneur avaient désigné leur ancien adjudant de bataillon à la mobilisation, le lieutenant SERPETTE.
Ce choix fut approuvé par tous, ayant encore à la mémoire les excellentes relations et la bonne camaraderie qui les avaient unis à leur camarade SERPETTE. Le samedi matin, ils avaient conviés à un déjeuner amical tous les anciens du régiment. Parisiens et Amiénois répondirent à leur invitation et après avoir fraternisé comme au temps des mauvais jours, ils se retrouvèrent une cinquantaine autour de la dalle sacrée revoyant par la pensée durant la minute de silence tous ceux du régiment qu'ils avaient vu tomber auprès d'eux pour le même idéal :
"Une France unie et toujours plus grande".
Le Progrès de la Somme, mercredi 7 décembre 1932 N° 19.459
Serpette, Léon Paul Henri
Employé de bureau, il demeure rue Neuve-Saint-Louis, 20, à Amiens (S.O.) au moment de son passage devant le conseil de révision en 1893. Il mesure 1 mètre 66 et possède un degré d'instruction de niveau 4. Par la suite il s'établit à Paris. Sa dernière adresse connue se trouve boulevard Denain dans le 10e arrondissement, en 1908.
Il est nommé adjudant de réserve le 2 juin 1898. En 1908, il effectue une période d'instruction au 12e régiment territorial du 13 au 12 septembre.
Rappelé à l'activité le 3 août 1914 lors de la mobilisation générale, il est nommé adjudant-chef le 21 décembre 1914. Nommé sous-lieutenant de réserve à titre temporaire par D.M. du 8 février 1915 pour prendre rang du 3 février - maintenu au 12e d'infanterie territorial. Sous-lieutenant à titre définitif le 24 octobre 1916 (décret du 26 novembre 1916).
Officier honoraire de l'infanterie territoriale (D.M. du 12-12-22). Il passe au 65e R.I.T. le 26 janvier 1917. Mis en congé illimité de démobilisation le 16 janvier 1918, se retire boulevard Denain, n° 7, à Paris.
Serpette, Léon Paul Henri, né le 5 juin 1873 à Lille (Nord), classe 1893, matricule n° 801, Bureau de recrutement d'Amiens 1R847 Archives de la Somme.
ANCIENS POILUS DU 12e TERRILORIAL
La flamme ranimée à l'Arc-de-Triomphe
L'Amicale des Anciens poilus du 12e Territorial avait été convoquée pour le samedi 3 décembre pour ranimer la flamme sur la tombe du Soldat Inconnu.
Le comité avait confié la mission cette année au 4e bataillon. Les anciens de ce bataillon très touchés de cet honneur avaient désigné leur ancien adjudant de bataillon à la mobilisation, le lieutenant SERPETTE.
Ce choix fut approuvé par tous, ayant encore à la mémoire les excellentes relations et la bonne camaraderie qui les avaient unis à leur camarade SERPETTE. Le samedi matin, ils avaient conviés à un déjeuner amical tous les anciens du régiment. Parisiens et Amiénois répondirent à leur invitation et après avoir fraternisé comme au temps des mauvais jours, ils se retrouvèrent une cinquantaine autour de la dalle sacrée revoyant par la pensée durant la minute de silence tous ceux du régiment qu'ils avaient vu tomber auprès d'eux pour le même idéal :
"Une France unie et toujours plus grande".
Le Progrès de la Somme, mercredi 7 décembre 1932 N° 19.459
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 12e régiment d'infanterie territoriale
PROMOTIONS au grade de 1er sous-lieutenant
M. FRANCHET, sergent au 12e régiment territorial d'infanterie. - Maintenu à dater du 15 octobre 1914.
M. CAFFIN, sergent au 12e régiment territorial d'infanterie. - Maintenu à dater du 15 octobre 1914.
M. GOLDSCHMIDT, adjudant au 12e régiment territorial d'infanterie. - Maintenu à dater du 15 octobre 1914.
Le Progrès de la Somme, édition du 5 décembre 1914
Journal officiel du 1er janvier 1915 page 7
ARMÉE TERRITORIALE
PROMOTIONS ET NOMINATIONS
Infanterie. — Par décision ministérielle en date du 21 décembre 1914, et par application du décret du 26 août 1914, les promotions à titre temporaire et pour la durée de la guerre ci-après sont approuvées : Au grade de capitaine.
M. de L'ÉPINE, lieutenant au 12e régiment territorial d'infanterie - Maintenu à dater du 29 novembre 1914.
M. CAFIN, lieutenant au 12e régiment territorial d'infanterie - Maintenu à dater du 29 novembre 1914.
M. BELENFANT, lieutenant au 12e régiment territorial - Maintenu à dater du 29 novembre 1914.
M. FRANCHET, sergent au 12e régiment territorial d'infanterie. - Maintenu à dater du 15 octobre 1914.
M. CAFFIN, sergent au 12e régiment territorial d'infanterie. - Maintenu à dater du 15 octobre 1914.
M. GOLDSCHMIDT, adjudant au 12e régiment territorial d'infanterie. - Maintenu à dater du 15 octobre 1914.
Le Progrès de la Somme, édition du 5 décembre 1914
Journal officiel du 1er janvier 1915 page 7
ARMÉE TERRITORIALE
PROMOTIONS ET NOMINATIONS
Infanterie. — Par décision ministérielle en date du 21 décembre 1914, et par application du décret du 26 août 1914, les promotions à titre temporaire et pour la durée de la guerre ci-après sont approuvées : Au grade de capitaine.
M. de L'ÉPINE, lieutenant au 12e régiment territorial d'infanterie - Maintenu à dater du 29 novembre 1914.
M. CAFIN, lieutenant au 12e régiment territorial d'infanterie - Maintenu à dater du 29 novembre 1914.
M. BELENFANT, lieutenant au 12e régiment territorial - Maintenu à dater du 29 novembre 1914.
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Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 12e régiment d'infanterie territoriale
12e régiment d'infanterie territoriale
GOLDSCHMIDT Edmond Rodolphe
Né le 10 avril 1878 à Paris (10e arrondissement) (ex-Seine)
N° matricule au recrutement : 981 - Classe 1895
Rappelé à l'activité par décret présidentiel ordonnant la mobilisation générale du 1er août 1914 au 12e régiment territorial d'infanterie, il arrive au corps à Amiens, le 4 août 1914 - n° matricule au corps : 8064 ou 18064.
Le jour de son arrivée, il est nommé sergent (4 août 1914). Le 19 août 1914, il prend les galons de sergent-major, puis ceux d'adjudant, le 11 septembre 1914.
Il est promu sous-lieutenant à titre temporaire, par décision ministérielle, du 16 novembre 1914, pour prendre rang du 15 octobre 1914. Il devient sous-lieutenant à titre définitif par décret du 18 mars 1915, pour prendre rang du 7 mars de la même année 1915.
Le sous-lieutenant GOLDSCHMIDT a quitté le régiment avant le printemps 1916.
Désigné pour l'escadrille C. 34 VIIe Armée - (Décision N° 6802 du 11 avril 1916 du service aéronautique du GQG) le 12 avril 1916.
Blessures :
Blessé le 21 juin 1916 dans un combat au-dessus de Thann - plaie du bras droit en séton par balle."
Entré à l'hôpital militaire - Place de Belfort - du 23 juin au 17 août 1916, pour : "Plaie en séton par balle de mitrailleuse, orifice 1/3 inférieur de l'omoplate droite, orifice de sortie largement ouvert 1/3 supérieur face interne du bras ; lésion du plexus nerveux. Convalescence de deux mois accordée par la commission des congés de convalescence de Belfort, le 10 août 1916.
Promu lieutenant à titre définitif - rang du 7 mars 1917 (décision du 18 mars 1917).
Décorations :
Journal officiel du 11 août 1916 page 7302
Légion d'honneur pour chevalier
(Pour prendre rang du 19 juillet 1916.)
GOLDSCHMIDT (Edouard-Rodolphe) (sic), sous-lieutenant pilote à l'escadrille C. 34 : pilote très brave. Le 22 juin 1916, a attaqué résolument un fokker qui menaçait un appareil de reconnaissance; surpris lui-même par un second appareil ennemi, et atteint d'une très grave blessure, a fait preuve d'une rare énergie en ramenant dans nos lignes son observateur lui-même blessé et son appareil criblé de balles. Perte de l'usage du bras droit.
J.O. du 21 septembre 1916 page 8350
Erratum au Journal officiel du 11 août 1916, tableau spécial de la Légion d'honneur (chevalier) : page 7302, 2e colonne, au lieu de : « Goldschmidt (Edouard-Rodolphe), pilote à l'escadrille, C. 34 », lire : "Goldschmidt (Edmond-Rodolphe)".
Chevalier de la Légion d'honneur - Médaille commémorative de la Grande Guerre - Médaille de la Victoire.
Campagne contre l'Allemagne du 4 août 1914 au 16 septembre 1919.
A cette dernière date se retire à Bruxelles 6, rue des Croisades.
Sources : archives de la ville de Paris - recrutement militaire de la Seine - cote D4R1 1002
GOLDSCHMIDT Edmond Rodolphe - matricule 981
GOLDSCHMIDT Edmond Rodolphe
Né le 10 avril 1878 à Paris (10e arrondissement) (ex-Seine)
N° matricule au recrutement : 981 - Classe 1895
Rappelé à l'activité par décret présidentiel ordonnant la mobilisation générale du 1er août 1914 au 12e régiment territorial d'infanterie, il arrive au corps à Amiens, le 4 août 1914 - n° matricule au corps : 8064 ou 18064.
Le jour de son arrivée, il est nommé sergent (4 août 1914). Le 19 août 1914, il prend les galons de sergent-major, puis ceux d'adjudant, le 11 septembre 1914.
Il est promu sous-lieutenant à titre temporaire, par décision ministérielle, du 16 novembre 1914, pour prendre rang du 15 octobre 1914. Il devient sous-lieutenant à titre définitif par décret du 18 mars 1915, pour prendre rang du 7 mars de la même année 1915.
Le sous-lieutenant GOLDSCHMIDT a quitté le régiment avant le printemps 1916.
Désigné pour l'escadrille C. 34 VIIe Armée - (Décision N° 6802 du 11 avril 1916 du service aéronautique du GQG) le 12 avril 1916.
Blessures :
Blessé le 21 juin 1916 dans un combat au-dessus de Thann - plaie du bras droit en séton par balle."
Entré à l'hôpital militaire - Place de Belfort - du 23 juin au 17 août 1916, pour : "Plaie en séton par balle de mitrailleuse, orifice 1/3 inférieur de l'omoplate droite, orifice de sortie largement ouvert 1/3 supérieur face interne du bras ; lésion du plexus nerveux. Convalescence de deux mois accordée par la commission des congés de convalescence de Belfort, le 10 août 1916.
Promu lieutenant à titre définitif - rang du 7 mars 1917 (décision du 18 mars 1917).
Décorations :
Journal officiel du 11 août 1916 page 7302
Légion d'honneur pour chevalier
(Pour prendre rang du 19 juillet 1916.)
GOLDSCHMIDT (Edouard-Rodolphe) (sic), sous-lieutenant pilote à l'escadrille C. 34 : pilote très brave. Le 22 juin 1916, a attaqué résolument un fokker qui menaçait un appareil de reconnaissance; surpris lui-même par un second appareil ennemi, et atteint d'une très grave blessure, a fait preuve d'une rare énergie en ramenant dans nos lignes son observateur lui-même blessé et son appareil criblé de balles. Perte de l'usage du bras droit.
J.O. du 21 septembre 1916 page 8350
Erratum au Journal officiel du 11 août 1916, tableau spécial de la Légion d'honneur (chevalier) : page 7302, 2e colonne, au lieu de : « Goldschmidt (Edouard-Rodolphe), pilote à l'escadrille, C. 34 », lire : "Goldschmidt (Edmond-Rodolphe)".
Chevalier de la Légion d'honneur - Médaille commémorative de la Grande Guerre - Médaille de la Victoire.
Campagne contre l'Allemagne du 4 août 1914 au 16 septembre 1919.
A cette dernière date se retire à Bruxelles 6, rue des Croisades.
Sources : archives de la ville de Paris - recrutement militaire de la Seine - cote D4R1 1002
GOLDSCHMIDT Edmond Rodolphe - matricule 981
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 12e régiment d'infanterie territoriale
12e régiment d'infanterie territoriale
Alfred PLOMET, employé de bureau, degré d'instruction de niveau 4.
Avant guerre il demeure au 107, rue de Beauvais à Amiens.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale au 12e régiment territorial d'infanterie, il arrive au corps le 4 août 1914 N° matricule : 17569.
Employé à la réquisition des chevaux ce même jour, 4 août 1914 - commission n° 23.
Aux armées du 5 août au 11 novembre 1914.
Disparu le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde (Belgique).
En captivité du 12 novembre 1914 au 30 janvier 1918.
Kriegsgefengenenlager
Il se trouve le 1er décembre 1917 au Reservelazarett Stuttgart III Rollschuhbahn stuttgart (Allemagne) - Württemberg
Il est rapatrié Dans le courant de janvier 1918 (?)
A l'intérieur du 31 janvier 1918 au 5 février 1919.
Plomet, Alfred, né le 28 novembre 1875 à Amiens (Somme), classe 1895, matricule n° 665, Bureau de recrutement d'Amiens 1R871 Archives de la Somme
Alfred PLOMET, employé de bureau, degré d'instruction de niveau 4.
Avant guerre il demeure au 107, rue de Beauvais à Amiens.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale au 12e régiment territorial d'infanterie, il arrive au corps le 4 août 1914 N° matricule : 17569.
Employé à la réquisition des chevaux ce même jour, 4 août 1914 - commission n° 23.
Aux armées du 5 août au 11 novembre 1914.
Disparu le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde (Belgique).
En captivité du 12 novembre 1914 au 30 janvier 1918.
Kriegsgefengenenlager
Il se trouve le 1er décembre 1917 au Reservelazarett Stuttgart III Rollschuhbahn stuttgart (Allemagne) - Württemberg
Il est rapatrié Dans le courant de janvier 1918 (?)
A l'intérieur du 31 janvier 1918 au 5 février 1919.
Plomet, Alfred, né le 28 novembre 1875 à Amiens (Somme), classe 1895, matricule n° 665, Bureau de recrutement d'Amiens 1R871 Archives de la Somme
Cordialement
Eric ABADIE
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